CARA Ouest - Les BRISCARDS
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
Association loi de 1901

 
 
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Directeur de Publication : Gérard Genais
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Annie Hervy - Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Jean Pierre Papon
Diffusion papier : Gérard Mérel
WEB : Pierre Copine

Numero : 222

Date : 16 AVRIL 2015

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Quand un Briscard de l'aéronautique rencontre les Briscards de l'Informatique, qu'est-ce qu'il raconte ? Des histoires de Briscards, certes, et ô combien savoureuses, mais aussi son parcours passionnant de pilote de ligne commandant de bord, qui plus est, charismatique Président-Fondateur de l'association "Le Groupement pour la Préservation du Patrimoine Aéronautique". Journée aussi dense que passionnante en terre angevine, montée et animée par une des chevilles ouvrières de cette association, Michel RIAULT. Bravo et merci à lui.
Félicitations aussi à Pierre, ré-élu Trésorier-Adjoint du CARA National, qui nous a brillamment représentés lors de la récente Assemblée Générale................GG

 

REUNION DU 16 AVRIL 2015

Présent(e)s : Jeanine & Claude Chartier, Christian & Edith Chevalier, Annick & André Corlay, Jean Claude Fasseu, Christiane & Daniel Fihey, Gérard Genais, Jean-Louis Gourdon, René Lefaix, Alain & Jeannine Marsollier, Gérard Mérel, Marie-Henriette & Daniel Mergny, Arlette & Pierre Moreau, Jean Paul Rennou, Jeannine & Michel Riault,
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Robert Bareau, Roger Batard, Yves Berthelot, Yves-Antoine Caillaud, Pierre Copine, André Coulon, Jean -Claude Dardalhon, Raymond Doré, Louis Drillet, Gérard Fontaine, Jean-André François, Renée Freuchet, Mireille Gaignet, Pierre Gallon, Annick Gaucher, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Annie Hervy, Alain Lanceau, Anne Lannic, Michel Lavaud, Gérard Le Pommelet, Gilbert Lemerle, Jean Yvon Leroux, Daniel Lesage, Bruno Jean Manchon, Jean Marie, Jean -Paul Martelle, Béatrice Martin, François Michaud, Paul Mustière, Anne Neuville, Michèle Papon, Jean Pellerin, Jean Raynaud, Bernard Rey, Bernard Richard, Michel Roch, Alain Rouault, Laurent Royaux, Etienne Schmit, François Tellier, Pierre Thomas,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Claude Bardin, Jean Claude Béasse, Jacques Charrance, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre, Daniel Corniglion, Henri de Darassus, Bertrand de La Fournière, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Alain Ducottet, Jean-Claude Fauvet, Jacqueline Fourniguet, Antoine Gapihan, Annick Le Gal, Josette Lebossé, René Lesouef, André Loretz, Jacques Monjoin, Jean Neveu, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau, Patrick Pinard, Michel Ploquin, Romain Prudor, Hervé Yves Ribau, Dominique Ruesche, Michel Saissay, Monique Salmon, Joseph Simon, Henri Sourdin, Jacques Thibaud,
Participation: 22 Au déjeuner: 23

COMPTE RENDU DU JOUR

N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et ceux qui traversent des moments difficiles et qui n’ont puêtre parmi nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements ainsi qu’à leurs proches.
Les plus incorrigibles optimistes étaient persuadés que l’aéroport d’une ville aussi importante qu’Angers tant dans son histoire royale que dans sa qualité de siège d’université, Arts-et-métiers, OPPL, voire de pôle médical (Association au Centre anticancéreux Gauducheau), ses liqueurs Cointreau, etc…- Angers, donc, disposait d’un accès par l’autoroute en direction de Tours.
Las, il crurent bon de quitter cette artère ligérienne dès la première barrière et, du coup, le temps leur parut…. longuet pour nous retrouver !
Aussi certains –mis à part un Angevin qui s’offrit le luxe de 4 péages mais arriva à l’heure- manquèrent l’entrée en matière de la présentation faite dans la plus grande simplicité et non moins grande gentillesse, par notre conférencier, Christian RAVEL, commandant de bord en retraite, maître après Dieu aux commandes du Super Jumbo Boeing 747.
Jeanine RIAULT, Arlette MOREAU et Michel RIAULT nous accueillirent de façon royale avec café, thé, croissants, pains au chocolat, dans une ambiance festive.
Le crédo de Christian
C’était le début d’une carrièreà l’ancienne, où l’on "vivait" son appareil, où l’on formait l’Homme, où l’on était pilote
(d’instinct..), avant d’être ingénieur.
Les temps changent. Les IBMers que nous sommes le savent bien !

Ndlr : Antoine de SAINT-EXUPERY, philosophant dans les nuages, (Pique la Lune comme l’appelaient ses compagnons), constatait déjà avec amertume la primauté envahissante de la technique.
Aujourd’hui, sur certains appareils (Airbus), c’est l’ordinateur qui ordonne, le commandant de bord étant bien maître… mais après lui…
Le Métier a-t-il perdu de sa saveur ?

Il est vrai, pour un Briscard de l’Air, après avoir appris le pilotage sur des coucous à peine plus lourds que d’élégants planeurs, avoir côtoyé les vieux pilotes (ceux qui avaient "fait la guerre", l’Indochine, l’Algérie, aux commandes d’appareils dépourvus de PSV -pilotage sans visibilité-, de radars et autres transpondeurs), piquant et redressant au plus près des pâquerettes, on apprenait le fond du métier.
Comment devient-on pilote ?
La formation est nécessairement difficile, eu égard à la responsabilité que représente la vie de plusieurs centaines de passagers entre les mains d’un seul.
Elle est autant théorique que pratique. (Ndlr : dans l’ancienne aéropostale, MERMOZ, GUILLAUMET, SAINT-EXUPERY, devaient d’abord travailler avec les mécanos !)
Le corps médical valide, ou pas, la licence de pilotage. Des examens réguliers très poussés sont effectués au sein du Service de santé de l’Armée de l’Air à Paris.
Par la suite, des entraînements perfectionnent le haut niveau de formation, particulièrement lors de l’apparition de nouveaux avions.
Ainsi est largement employé le Link-Trainer, capable de simuler les principales causes d’avaries plus ou moins graves, afin de conférer au pilote les réflexes appropriés et éliminer toute apparition de stress.
Une fois retraité, tout pilote reste à la disposition de l’Autorité de l’Aviation Civile afin de parer à des situations imprévues à caractère catastrophique ou humanitaire.
Le copilote
Un avion de ligne se pilote à deux.
Avant de devenir commandant de bord, on est copilote, sous les ordres du commandant de bord.
Il faut une longue pratique (15 ans !) pour espérer accéder au poste suprême.
En raison du haut degré d’exigence, de nombreux excellents copilotes ne seront jamais commandants de bord. La sérénité en toutes circonstances, le comportement qui rassure, sont autant de critères décisifs.
Le commandant de bord
Un homme d’expérience
Un commandant de bord c’est, bien entendu, un excellent pilote. Mais c’est aussi un manager pour ses 18 membres d’équipage, un conciliateur rassurant pour ses 500 passagers. Parmi eux, les statistiques retiennent qu’un sur cent est psychopathe ou susceptible de comportement dangereux. Les qualités humaines sont donc indispensables. Le passage à l’état de commandant de bord pour Christian s’est effectué au cours d’un vol sous contrôle d’un autre commandant de bord chargé de son évaluation. A quelques heures de la fin du vol, son examinateur lui agrafa ses propres galons….
Tous les impératifs techniques, économiques et humains ne peuvent interdire au commandant de se priver de son expérience : il reste seul maître de la conduite à tenir.
Un ingénieur
La responsabilité du plan de vol lui incombe. C’est un document déposé par le pilote avant le vol auprès de l'autorité assurant le contrôle de la circulation aérienne. Il permet d'initier le dialogue avec les contrôleurs de la navigation. Il contient des renseignements sur l'identité et les caractéristiques de l'aéronef, le nombre de personnes à bord, la description
de la trajectoire, etc.
Un négociateur
Le chargement et le poids du carburant entrent dans son domaine de responsabilité.
La capacité de kérosène est calculée suivant la météo, les possibilités d’accueil de l’aéroport de destination, le prix local du carburant, la durée du vol. Ce volume est défini du moment où l’appareil a atteint son altitude de croisière, augmentée d’une réserve de sécurité.
Ce plan doit prévoir des aérodromes de dégagement et définir le point de non-retour.
Un ambassadeur.
Il doit représenter dignement sa compagnie, accueillir avec tous leségards les VIP (très importants personnages), et calmer ceux qui imaginent l’être et s’offusquent d’être traités sans plus de ménagement que le simple passager.
Il représente aussi son pays, et se doit de veiller avec autorité bienveillante au maintien de la réputation de l’équipage dont, il est vrai, les éléments sont triés sur le volet.
Limites de son autorité
Se soumettre aux contraintes d’horaires et aux nécessités opérationnelles.
Si l’aérodrome détient l’homologation nécessaire, la seule autorité qui lui échappe au plan aéronautique se situe lors du roulage au sol, à l’autorisation de l’emprunt des pistes, ainsi que celle d’entamer la procédure de décollage ou d’atterrissage.
Bien que Christian ne le prétende pas, c’est un professionnel dont on peut dire … de haut vol et dont la réputation est loin d’être usurpée…
Après avoir répondu à de multiples questions, Christian évoqua avec nostalgie, son passage à la Compagnie UTA, une grande famille où tout le monde se connaissait. Air France qui l’absorba par la suite, lui imposa une vision beaucoup plus administrative.

A l’issue de cette très captivante conférence, Michel et Jeanine nous pilotèrent vers l’Aérogare où le restaurant nous accueillit sous le regard complice du Chef, venu de sa Suède natale.
Excellent repas animé par les conversations des convives dont l’appétit s’est aiguisé à l’évocation des escales sous les tropiques…

Après déjeuner, Christian nous quitta et Michel nous confia à un autre guide, Gilbert HUZEAU, tout aussi passionné.

Ce dernier nous dirigea vers le hall vitré du premier étage de l’aérogare, auprès du tarmac, qui nous offrit la vue sur l’ensemble du terrain. Quelques appareils décollèrent et atterrirent.

Deux appareils d’entraînement de l’Armée de l’Air en stationnement, étaient vérifiés par leurs équipages.
L’unique contrôleur des opérations aériennes officiait du haut de sa tour.
La « manche à air » prenait une pause alanguie car le temps était calme…

Le Musée de l’Air
Parmi les passionnés, membres de l’association, plusieurs bénévoles s’affairaient dans les ateliers autour de modèles en cours de restauration ou de révision.
L’Histoire de l’aviation prenait vie sous nos yeux, commentée avec compétence et simplicité par notre guide.

Voilà les moteurs, depuis l’Anziani de 25 CV qui traversa la Manche avec Louis Blériot, seul moteur alors capable de fonctionner une heure sans avarie, refroidi par air et lubrifié à l’huile de ricin… jusqu’au réacteur qui dévoile ses entrailles bardées d’ailettes et capable d’atteindre plus de 30.000 tours à la minute. Nous passâmes par les dispositions en étoile (Constellation) en ligne avec le fameux Rolls-Royce Merlin des Spitfires de la bataille d’Angleterre. Voilà les cellules, réparées ou en cours de restauration, les appareils historiques dont certains portent les couleurs du Département en Normandie.
Les Briscardes ont apprécié ou tout au moins résisté à l’énoncé de cet éventail extraordinaire de machines volantes dont la nonmoins étonnante possédait des ailes battantes.
Parmi les Briscards, les plus anciens ont retrouvé une part de jeunesse et de rêves.
Que dit-on de ce musée qui est le 2ème de France après le Musée National du Bourget ?
En 1981, pour préserver le patrimoine aéronautique de l'aviation légère et du vol à voile en Anjou, un groupe d'amis se mobilise pour sauver des « machines volantes ». De très belles pièces sont restaurées, comme les planeurs français Nord 1 300 et Fauvel AV-36 et assurent ainsi la reconnaissance des autorités aéronautiques françaises (Direction Générale de l'Aviation Civile
En 1982, le Groupement de Préservation du Patrimoine Aéronautique (GPPA), dispose d'un premier local de faible surface sur l'ancien aérodrome d'Angers-Avrillé En 1983, le projet de restaurer l'aéroplane de René Gasnier (premier vol d'un avion en Anjou, en 1908) apporte une émulation nouvelle. Une des particularités du GPPA est de restaurer, sous les yeux des passionnés ou des curieux, ces machines, souvent retrouvées à l'état « d'épaves ». Le GPPA recevra à ce titre plusieurs hautes récompenses (Coupe Jean-Marie Le Bris distinguant la meilleure restauration européenne d'un planeur ancien).
En mai 1984, le GPPA organise le premier rassemblement de planeurs anciens à Angers, qui sera un franc succès Fin 1988, le hall d'exposition principal de 1 100 m², financé par la
Ville d'Angers, est inauguré à Avrillé. Devant l'accroissement des restaurations et des collections, la municipalité angevine devra, un an plus tard, offrir un hall complémentaire de 400 m².
Au fil des ans, une collection de plus de 150 machines a été constituée, dont une vingtaine sont en état de voler, et une dizaine en cours de restauration. Le musée se veut aussi être le témoin de l'histoire des Hommes, des techniques, des machines et de leur environnement. Aussi, dans le domaine de l'aviation légère et du vol à voile, les chercheurs, historiens, étudiants... ont à leur disposition l'une des plus riches documentations d'Europe, composée de près de 100 000 clichés, négatifs et plaques de verre en cours d'archivage.
Ce patrimoine est mis en valeur dans les nouveaux locaux du Musée Régional de l'Air, situés à l'aéroport d'Angers-Marcé, et inaugurés le 3 septembre 2000.
Depuis cette date, le nouveau Musée Régional de l'Air s'est employé, grâce à son équipe de professionnels et de bénévoles, à promouvoir l'histoire de l'aviation en Anjou. (3500 m² de surface avec 40 avions et planeurs historiques, une dizaine de moteurs, des ateliers de restauration de la documentation, etc.….)
La collection abrite aussi une série de moteurs, des années 1910 au réacteur de Caravelle, et un très important fonds de pièces détachées aéronautiques pour la restauration des avions. Un avion« Broussard » des années 1950 est accessible aux visiteurs qui pourront s'initier au pilotage. Cet avion est utilisé dans le programme pédagogique du Musée Régional de l'Air, qui accueille de nombreux groupes scolaires et des centres de loisirs, tout au long de l'année.
Le Musée Régional de l'Air travaille depuis 2005 à la préservation et la conservation des archives aéronautiques en France, en collaboration avec la Commission patrimoine de l'Aéroclub de France. Ces démarches ont abouti à la signature d'une convention portant sur la préservation du patrimoine aéronautique français avec le Ministère de la Culture le 5 mai 2010 et à la publication d'un manuel d'organisation du patrimoine.
Michel nous fit visiter l’atelier de rentoilage dont il s’est fait la spécialité : il rentoile actuellement un planeur un Breguet 904S où l’on peut apprécier le galbe des cellules et le soin apporté à la restauration. Il nous en détailla les différentes phases et les divers produits : solvants, colles et toiles entrant dans la restauration.
Nous passâmes ensuite à l’atelier de menuiserie où nous accueillit Maurice RETHORE. C’est la voilure du Cessna UC-78 qui est en cours de restauration, dont la carlingue est en attente de rentoilage dans l’atelier précédent.
Tout à côté, attendant son tour, un planeur dont l’histoire est curieuse.
Ce planeur, amené par son constructeur aux US pour concourir, y gagna le premier prix. Il fut racheté par un canadien qui le pilota mais modifia la cellule. Cet amateur le ramena en France car il devait, selon lui, revenir là où il était né… Mais il perdait sa qualité de relique historique. Le Musée le restaure afin qu’il retrouve son statut de « monument historique ».
Pour les mordus, restait l’atelier de mécanique où les cylindres, pistons, manetons et bielles reprenaient leur jeunesse.
Les derniers passionnés s’arrêtèrent au stand des maquettes et nous connaissons certains petits-enfants qui devront se mettre à l’ouvrage…

Pour cette visite particulièrement réussie (c’est une tradition angevine), remercions chaleureusement Michel RIAULT pour sa disponibilité et son efficacité, et Jeanine qui, de plus mérita, grâce à son sourire, une accréditation non usurpée d’hôtesse de l’air particulièrement chargée de passagers aussi exigeants que les Briscards…
Un dernier regard à ce grand Musée « Espace Air Passion » et chacun s’envola en formation libre vers son horizon familier.
INFOS

 

Information AXA-IBM

INFO IBM lors de l'AG

INFO SECURITE SOCIALE(Source ADREP) ...

 

 

A DECOUVRIR

 Un caméraman de la BBC a réalisé ces images extraordinaires d'un oison pour la nouvelle série de documentaires naturalistes "Life Stories".
Dans cette vidéo, vous verrez comment le poussin quitte, pour la première fois, le nid parental...........Hésitant, il saute pourtant d'une hauteur de 120 mètres. La meilleure chance de survivre à ce premier "saut" pour cet oison est d'atterrir sur les rochers sur son ventre...
Le saut paraît dangereux mais le poussin s'en tire sans dommage à l'endroit où ses parents l'attendent...
 
 http://www.youtube.com/embed/0_JoetV3ZTQ/?wmode=opaque

De quoi se régaler...pour ceux qui aiment les années 50  60 70   on trouve toutes les vieilles videos.......faut fouiller !!>  
 
http://www.1959bhsmustangs.com/VideoJukebox.htm

vidéo époustouflante d'un PYGARGUE (aigle) : magnifique. Bravo à la personne qui a filmé ce pygargue ou aigle de mer. Il  ne s'agit pas d'une buse, mais d'un Pygargue Vocifère africain : C'est  un aigle appelé aussi "orfraie" ou "grand aigle de mer"
 - 1ère   séquence : l'aigle attrape environ une demi-douzaine de  poissons d'un seul  coup.
 - 2ème séquence : il plonge en profondeur pour capturer un poisson.
 - 3ème séquence : il attrape un poisson qui semble aussi lourd  que lui.
   
. http://www.youtube.com/embed/nA3LtXnNIto?feature=player_embedded

Un diaporama sur l’Hermione depuis le début de  la construction jusqu’à son départ pour l’Amérique.
https://m.flickr.com/#/photos/yves_jalabert/sets/72157645758963561/

 
PROCHAIN RDV LE 28 MAI
Le 28 mai, le 4ème jeudi et non le 3ème .......LA BRIERE L’horaire et le point de Rendez-vous et les infos vous seront communiqués ultérieurement

H.B.T.Y. !

Passer la souris une seule fois sur la liste des noms
pour faire défiler les portraits
Daniel CORNIGLION
Annie HERVY
Anne LANNIC
Michel LAVAUD
Philippe PELLAUMAIL
Bernard REY

 

Fonds de Placements

A
B
C
D
F
G
H
30.47
86.27
93.98
63.97
69.29
53.43
88.41
Les BRISCARDS - CARA Ouest
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
Téléphone 02 40 72 03 53


E-mail: lesbriscards@lesbriscards.fr
Site: http://www.lesbriscards.fr
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Réalisation : CARA Ouest - Les Briscards
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