Présent(e)s : Jeanine & Claude Chartier, Christian & Edith Chevalier,
Annick & André Corlay, Jean Claude Fasseu, Christiane & Daniel
Fihey, Gérard Genais, Jean-Louis Gourdon, René Lefaix, Alain &
Jeannine Marsollier, Gérard Mérel, Marie-Henriette & Daniel Mergny,
Arlette & Pierre Moreau, Jean Paul Rennou, Jeannine & Michel
Riault,
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Robert Bareau, Roger Batard, Yves
Berthelot, Yves-Antoine Caillaud, Pierre Copine, André Coulon, Jean
-Claude Dardalhon, Raymond Doré, Louis Drillet, Gérard Fontaine,
Jean-André François, Renée Freuchet, Mireille Gaignet, Pierre Gallon,
Annick Gaucher, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Annie
Hervy, Alain Lanceau, Anne Lannic, Michel Lavaud, Gérard Le
Pommelet, Gilbert Lemerle, Jean Yvon Leroux, Daniel Lesage, Bruno
Jean Manchon, Jean Marie, Jean -Paul Martelle, Béatrice Martin,
François Michaud, Paul Mustière, Anne Neuville, Michèle Papon,
Jean Pellerin, Jean Raynaud, Bernard Rey, Bernard Richard, Michel
Roch, Alain Rouault, Laurent Royaux, Etienne Schmit, François Tellier,
Pierre Thomas,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Claude Bardin, Jean Claude
Béasse, Jacques Charrance, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre,
Daniel Corniglion, Henri de Darassus, Bertrand de La Fournière,
Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Alain Ducottet, Jean-Claude Fauvet, Jacqueline Fourniguet, Antoine Gapihan, Annick Le
Gal, Josette Lebossé, René Lesouef, André Loretz, Jacques Monjoin,
Jean Neveu, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau,
Patrick Pinard, Michel Ploquin, Romain Prudor, Hervé Yves Ribau,
Dominique Ruesche, Michel Saissay, Monique Salmon, Joseph Simon,
Henri Sourdin, Jacques Thibaud,
Participation: 22 Au déjeuner: 23
|
N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et
ceux qui traversent des moments difficiles et qui n’ont puêtre parmi nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements
ainsi qu’à leurs proches. |
Les plus incorrigibles optimistes étaient persuadés que l’aéroport
d’une ville aussi importante qu’Angers tant dans son histoire
royale que dans sa qualité de siège d’université, Arts-et-métiers,
OPPL, voire de pôle médical (Association au Centre anticancéreux
Gauducheau), ses liqueurs Cointreau, etc…- Angers, donc, disposait
d’un accès par l’autoroute en direction de Tours.
Las, il crurent bon de quitter cette artère ligérienne dès la première
barrière et, du coup, le temps leur parut…. longuet pour nous
retrouver !
Aussi certains –mis à part un Angevin qui s’offrit le luxe de 4 péages
mais arriva à l’heure- manquèrent l’entrée en matière de la présentation
faite dans la plus grande simplicité et non moins grande gentillesse,
par notre conférencier, Christian RAVEL, commandant de
bord en retraite, maître après Dieu aux commandes du Super Jumbo
Boeing 747.
Jeanine RIAULT, Arlette MOREAU et Michel RIAULT nous accueillirent
de façon royale avec café, thé, croissants, pains au chocolat,
dans une ambiance festive. |
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Le crédo de Christian
C’était le début d’une carrièreà l’ancienne, où l’on "vivait" son appareil, où
l’on formait l’Homme, où
l’on était pilote
(d’instinct..), avant d’être
ingénieur.
Les temps changent. Les
IBMers que nous sommes
le savent bien !
Ndlr : Antoine de SAINT-EXUPERY,
philosophant
dans les nuages, (Pique la
Lune comme l’appelaient ses compagnons), constatait déjà avec
amertume la primauté envahissante de la technique.
Aujourd’hui, sur certains appareils (Airbus), c’est l’ordinateur qui
ordonne, le commandant de bord étant bien maître… mais après lui…
Le Métier a-t-il perdu de sa saveur ?
Il est vrai, pour un Briscard de l’Air, après avoir appris le pilotage
sur des coucous à peine plus lourds que d’élégants planeurs,
avoir côtoyé les vieux pilotes (ceux qui avaient "fait la guerre",
l’Indochine, l’Algérie, aux commandes d’appareils dépourvus de
PSV -pilotage sans visibilité-, de radars et autres transpondeurs),
piquant et redressant au plus près des pâquerettes, on apprenait
le fond du métier. |
Comment devient-on pilote ?
La formation est nécessairement difficile, eu égard à la responsabilité
que représente la vie de plusieurs centaines de passagers
entre les mains d’un seul.
Elle est autant théorique que pratique. (Ndlr : dans l’ancienne aéropostale,
MERMOZ, GUILLAUMET, SAINT-EXUPERY, devaient d’abord
travailler avec les mécanos !)
Le corps médical valide, ou pas, la licence de pilotage. Des examens
réguliers très poussés sont effectués au sein du Service de
santé de l’Armée de l’Air à Paris.
Par la suite, des entraînements perfectionnent le haut niveau de
formation, particulièrement lors de l’apparition de nouveaux
avions.
Ainsi est largement employé le Link-Trainer, capable de simuler
les principales causes d’avaries plus ou moins graves, afin de
conférer au pilote les réflexes appropriés et éliminer toute apparition
de stress.
Une fois retraité, tout pilote reste à la disposition de l’Autorité de
l’Aviation Civile afin de parer à des situations imprévues à caractère
catastrophique ou humanitaire.
Le copilote
Un avion de ligne se pilote à deux.
Avant de devenir commandant de bord, on est copilote, sous les
ordres du commandant de bord.
Il faut une longue pratique (15 ans !) pour espérer accéder au poste
suprême.
En raison du haut degré d’exigence, de nombreux excellents copilotes
ne seront jamais commandants de bord. La sérénité en toutes
circonstances, le comportement qui rassure, sont autant de
critères décisifs.
Le commandant de bord
Un homme d’expérience
Un commandant de bord c’est, bien entendu, un excellent pilote. Mais
c’est aussi un manager pour ses 18 membres d’équipage, un conciliateur
rassurant pour ses 500 passagers. Parmi eux, les statistiques retiennent
qu’un sur cent est psychopathe ou susceptible de comportement dangereux.
Les qualités humaines sont donc indispensables. Le passage à l’état
de commandant de bord pour Christian s’est effectué au cours d’un
vol sous contrôle d’un autre commandant de bord chargé de son évaluation.
A quelques heures de la fin du vol, son examinateur lui agrafa ses
propres galons….
Tous les impératifs techniques, économiques et humains ne peuvent
interdire au commandant de se priver de son expérience : il reste seul
maître de la conduite à tenir.
Un ingénieur
La responsabilité du plan de vol lui incombe. C’est un document déposé
par le pilote avant le vol auprès de l'autorité assurant le contrôle de la
circulation aérienne. Il permet d'initier le dialogue avec les contrôleurs
de la navigation. Il contient des renseignements sur l'identité et les caractéristiques
de l'aéronef, le nombre de personnes à bord, la description
de la trajectoire, etc.
Un négociateur
Le chargement et le poids du carburant entrent dans son domaine de
responsabilité.
La capacité de kérosène est calculée suivant la météo, les possibilités
d’accueil de l’aéroport de destination, le prix local du carburant, la durée
du vol. Ce volume est défini du moment où l’appareil a atteint son altitude
de croisière, augmentée d’une réserve de sécurité.
Ce plan doit prévoir des aérodromes de dégagement et définir le point
de non-retour.
Un ambassadeur.
Il doit représenter dignement sa compagnie, accueillir avec tous leségards les VIP (très importants personnages), et calmer ceux qui imaginent
l’être et s’offusquent d’être traités sans plus de ménagement que le
simple passager.
Il représente aussi son pays, et se doit de veiller avec autorité bienveillante
au maintien de la réputation de l’équipage dont, il est vrai, les éléments
sont triés sur le volet.
Limites de son autorité
Se soumettre aux contraintes d’horaires et aux nécessités opérationnelles.
Si l’aérodrome détient l’homologation nécessaire, la seule autorité qui
lui échappe au plan aéronautique se situe lors du roulage au sol, à
l’autorisation de l’emprunt des pistes, ainsi que celle d’entamer la procédure
de décollage ou d’atterrissage.
Bien que Christian ne le prétende pas, c’est un professionnel dont on
peut dire … de haut vol et dont la réputation est loin d’être usurpée…
Après avoir répondu à de multiples questions, Christian évoqua avec
nostalgie, son passage à la Compagnie UTA, une grande famille où
tout le monde se connaissait. Air France qui l’absorba par la suite, lui
imposa une vision beaucoup plus administrative.
A l’issue de cette très captivante conférence, Michel et Jeanine nous
pilotèrent vers l’Aérogare où le restaurant nous accueillit sous le regard
complice du Chef, venu de sa Suède natale.
Excellent repas animé par les conversations des convives dont l’appétit
s’est aiguisé à l’évocation des escales sous les tropiques… |
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Après déjeuner, Christian nous quitta et Michel
nous confia à un autre guide, Gilbert HUZEAU,
tout aussi passionné.
Ce dernier nous dirigea vers le hall vitré du
premier étage de l’aérogare, auprès du tarmac,
qui nous offrit la vue sur l’ensemble du
terrain. Quelques appareils décollèrent et atterrirent.
Deux appareils d’entraînement de
l’Armée de l’Air en stationnement, étaient vérifiés par leurs équipages.
L’unique contrôleur des opérations
aériennes officiait du haut
de sa tour.
La « manche à air » prenait une
pause alanguie car le temps était calme…
Le Musée de l’Air
Parmi les passionnés, membres de l’association, plusieurs bénévoles
s’affairaient dans les ateliers autour de modèles en cours
de restauration ou de révision.
L’Histoire de l’aviation prenait vie sous nos yeux, commentée
avec compétence et simplicité par notre guide. |
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Voilà les moteurs, depuis l’Anziani de 25 CV qui traversa la Manche
avec Louis Blériot, seul moteur alors capable de fonctionner
une heure sans avarie, refroidi par air et lubrifié à l’huile de ricin…
jusqu’au réacteur qui dévoile ses entrailles bardées d’ailettes
et capable d’atteindre plus de 30.000 tours à la minute. Nous
passâmes par les dispositions en étoile (Constellation) en ligne
avec le fameux Rolls-Royce Merlin des Spitfires de la bataille
d’Angleterre.
Voilà les cellules, réparées ou en cours de restauration, les appareils
historiques dont certains portent les couleurs du Département
en Normandie.
Les Briscardes ont apprécié ou tout au moins résisté à l’énoncé
de cet éventail extraordinaire de machines volantes dont la nonmoins étonnante possédait des ailes battantes.
Parmi les Briscards, les plus anciens ont retrouvé une part de
jeunesse et de rêves.
Que dit-on de ce musée qui est le 2ème de France après le Musée
National du Bourget ?
En 1981, pour préserver le patrimoine aéronautique de l'aviation
légère et du vol à voile en Anjou, un groupe d'amis se
mobilise pour sauver des « machines volantes ». De très belles
pièces sont restaurées, comme les planeurs français Nord
1 300 et Fauvel AV-36 et assurent ainsi la reconnaissance des
autorités aéronautiques françaises (Direction Générale de
l'Aviation Civile
En 1982, le Groupement de Préservation du Patrimoine Aéronautique
(GPPA), dispose d'un premier local de faible surface
sur l'ancien aérodrome d'Angers-Avrillé
En 1983, le projet de restaurer l'aéroplane de René Gasnier
(premier vol d'un avion en Anjou, en 1908) apporte une émulation
nouvelle. Une des particularités du GPPA est de restaurer, sous les yeux des passionnés ou des curieux, ces machines,
souvent retrouvées à l'état « d'épaves ». Le GPPA recevra à ce titre
plusieurs hautes récompenses (Coupe Jean-Marie Le Bris distinguant
la meilleure restauration européenne d'un planeur ancien).
En mai 1984, le GPPA organise le premier rassemblement de planeurs
anciens à Angers, qui sera un franc succès
Fin 1988, le hall d'exposition principal de 1 100 m², financé par la
Ville d'Angers, est inauguré à Avrillé. Devant l'accroissement des
restaurations et des collections, la municipalité angevine devra,
un an plus tard, offrir un hall complémentaire de 400 m².
Au fil des ans, une collection de plus de 150 machines a été constituée,
dont une vingtaine sont en état de voler, et une dizaine en
cours de restauration. Le musée se veut aussi être le témoin de
l'histoire des Hommes, des techniques, des machines et de leur
environnement. Aussi, dans le domaine de l'aviation légère et du
vol à voile, les chercheurs, historiens, étudiants... ont à leur disposition
l'une des plus riches documentations d'Europe, composée
de près de 100 000 clichés, négatifs et plaques de verre en cours
d'archivage.
Ce patrimoine est mis en valeur dans les nouveaux locaux du Musée
Régional de l'Air, situés à l'aéroport d'Angers-Marcé, et inaugurés
le 3 septembre 2000.
Depuis cette date, le nouveau Musée Régional de l'Air s'est employé,
grâce à son équipe de professionnels et de bénévoles, à
promouvoir l'histoire de l'aviation en Anjou. (3500 m² de surface
avec 40 avions et planeurs historiques, une dizaine de moteurs,
des ateliers de restauration de la documentation, etc.….)
La collection abrite aussi une série de moteurs, des années 1910
au réacteur de Caravelle, et un très important fonds de pièces détachées
aéronautiques pour la restauration des avions. Un avion« Broussard » des années 1950 est accessible aux visiteurs qui
pourront s'initier au pilotage. Cet avion est utilisé dans le programme
pédagogique du Musée Régional de l'Air, qui accueille de
nombreux groupes scolaires et des centres de loisirs, tout au long
de l'année.
Le Musée Régional de l'Air travaille depuis 2005 à la préservation et la conservation des archives aéronautiques en France, en collaboration
avec la Commission patrimoine de l'Aéroclub de France.
Ces démarches ont abouti à la signature d'une convention portant
sur la préservation du patrimoine aéronautique français
avec le Ministère de la Culture le 5 mai 2010 et à la publication
d'un manuel d'organisation du patrimoine.
Michel nous fit visiter l’atelier de rentoilage dont il s’est
fait la spécialité : il rentoile actuellement un planeur un
Breguet 904S où l’on peut apprécier le galbe des cellules
et le soin apporté à la restauration. Il nous en détailla les
différentes phases et les divers produits : solvants, colles
et toiles entrant dans la restauration.
Nous passâmes ensuite à l’atelier de menuiserie où nous accueillit
Maurice RETHORE. C’est la voilure du Cessna UC-78 qui est en
cours de restauration, dont la carlingue est en attente de rentoilage
dans l’atelier précédent.
Tout à côté, attendant son tour, un planeur dont l’histoire est
curieuse.
Ce planeur, amené par son constructeur aux US pour concourir, y
gagna le premier prix. Il fut racheté par un canadien qui le pilota
mais modifia la cellule. Cet amateur le ramena en France car il devait,
selon lui, revenir là où il était né… Mais il perdait sa qualité de
relique historique. Le Musée le restaure afin qu’il retrouve son statut
de « monument historique ».
Pour les mordus, restait l’atelier de mécanique où les cylindres, pistons,
manetons et bielles reprenaient leur jeunesse.
Les derniers passionnés s’arrêtèrent au stand des maquettes et nous
connaissons certains petits-enfants qui devront se
mettre à l’ouvrage…
Pour cette visite particulièrement réussie
(c’est une tradition angevine), remercions
chaleureusement Michel RIAULT pour sa
disponibilité et son efficacité, et Jeanine qui, de plus mérita, grâce à son sourire, une accréditation
non usurpée d’hôtesse de l’air particulièrement chargée de
passagers aussi exigeants que les Briscards…
Un dernier regard à ce grand Musée « Espace Air Passion » et chacun s’envola en formation libre vers son horizon familier. |
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Information AXA-IBM
INFO IBM lors de l'AG
INFO SECURITE SOCIALE(Source ADREP) ...
A DECOUVRIR
Un caméraman de la BBC a réalisé ces images extraordinaires d'un oison pour la nouvelle série de documentaires naturalistes "Life Stories".
Dans cette vidéo, vous verrez comment le poussin quitte, pour la première fois, le nid parental...........Hésitant, il saute pourtant d'une hauteur de 120 mètres.
La meilleure chance de survivre à ce premier "saut" pour cet oison est d'atterrir sur les rochers sur son ventre...
Le saut paraît dangereux mais le poussin s'en tire sans dommage à l'endroit où ses parents l'attendent...
http://www.youtube.com/embed/0_JoetV3ZTQ/?wmode=opaque
De quoi se régaler...pour ceux qui aiment les années 50 60 70 on trouve toutes les vieilles videos.......faut fouiller !!>
http://www.1959bhsmustangs.com/VideoJukebox.htm
vidéo époustouflante d'un PYGARGUE (aigle) : magnifique.
Bravo à la personne qui a filmé ce pygargue ou aigle de mer.
Il ne s'agit pas d'une buse, mais d'un Pygargue Vocifère africain :
C'est un aigle appelé aussi "orfraie" ou "grand aigle de mer"
- 1ère séquence : l'aigle attrape environ une demi-douzaine de poissons d'un seul coup.
- 2ème séquence : il plonge en profondeur pour capturer un poisson.
- 3ème séquence : il attrape un poisson qui semble aussi lourd que lui.
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http://www.youtube.com/embed/nA3LtXnNIto?feature=player_embedded
Un diaporama sur l’Hermione depuis le début de la construction jusqu’à son départ pour l’Amérique.
https://m.flickr.com/#/photos/yves_jalabert/sets/72157645758963561/
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Le 28 mai, le 4ème jeudi et non le 3ème .......LA BRIERE |
L’horaire et le point de Rendez-vous et les infos vous seront communiqués ultérieurement |
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Fonds de Placements
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63.97 |
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Les BRISCARDS - CARA Ouest
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44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
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