Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
Association loi de 1901

INFO BRISCARDS


Directeur de la Publication
: Bernard GROLLIER
Rédacteur en Chef : Daniel MERGNY
Secrétaire de Rédaction : Jean-Paul DEBACQ
Comité de Relecture : André CORLAY - Alain LANCEAU
Diffusion : Gérard MEREL

Numéro 67 - 27 janvier 2005

 Sommaire :

Éditorial.

-  Compte rendu de la réunion du 27 janvier  2005

- Humour

H.B.T.Y. et Valeur des parts des FCP

Prochain rendez-vous.

E d i t o  

Le bureau, à travers la plume de l'éditorialiste, vous offre ses meilleurs vœux, ainsi qu’à vos proches, pour une nouvelle année de bonheur et surtout une très bonne santé à chacun et chacune.

L’année 2004 avait vu Gérard Fontaine, François Michaud et Robert Bareau nous rejoindre. En cette première séance de 2005, nous avions déjà deux nouvelles recrues : Roger Billy et André Coulon viennent également grossir les rangs de notre digne association. La bonne ambiance qui règne au sein de nos réunions mensuelles n'est sans doute pas étrangère à ces nouvelles adhésions.

C’est ainsi que le sujet proposé aujourd'hui a véritablement passionné chacun d'entre nous. Un grand merci à Daniel pour nous avoir "déniché l'oiseau rare". Journée d'autant plus réussie qu'un excellent repas a, comme chaque année à cette époque, réuni un maximum d'amis venus resserrer des liens, ou se découvrir des affinités communes, ou encore se souvenir de faits quelquefois enfouis dans des mémoires de Briscards auxquelles un bon dépoussiérage n'est jamais nuisible…

Le bureau vous souhaite donc une bonne année à tous et au mois prochain.

 

 
 

Réunion du 27 janvier 2005

 

Présent(e)s: Robert Bareau, Yves Berthelot, Roger Billy, Jeanine & Claude Chartier, Annick & André Corlay, André Coulon, Bénédicte & Bertrand de La Fourniere, Jean Paul Debacq, Joëlle & Louis Drillet, Gérard Fontaine, Jean-Claude Foucault, Jean-André Francois, Jean & Renée Freuchet, Annick & Michel Gaucher, Gérard Genais, Christiane & Bernard Grollier, Annick & Gérard Le Pommelet, Alain & Jeannine Marsollier, Thérèse & Gérard Merel, Marie-Henriette & Daniel Mergny, Arlette & Pierre Moreau, Raymond Ollivaud, Michel Riault, Jeanine & Laurent Royaux, Etienne Schmit, Henri Sourdin, Michelle & Pierre Thomas, Allain Verhoeven

Excusé(e)s: Bernard Barbier, Roger Batard, Marcel Bouancheau, Yves-Antoine Caillaud, Edith Chevalier, Jean-Claude Dardalhon, Alain Delepierre, Alain Ducottet, Jean Claude Fasseu, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon, Monique Guerin Langlois, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Gilbert Lemerle, Daniel Lesage, Jean Marie, Michel Paineau, Romain Prudor, Jean Paul Rocher, Monique Salmon, Joseph Simon,

Absents(es): Claude Bardin, Dominique Bertaux, Yann de La Porte Du Theil, Raymond Dore, Yvette Echappe, Jean-Claude Fauvet, Antoine Gapihan, Josette Lebosse, François Michaud, Jean Neveu, Philippe Pellaumail, Jean Pellerin, Yves Petiteau, Bernard Rey, Pierre Rossi,

Bienvenue à: Roger Billy et André Coulon

Participation: 28

Au déjeuner: 28 et 14 conjoints(e)

 

 

Compte-rendu

 

Informations générales

Accueil et vœux de chacun à chacun pour une excellente année.

De nouveaux venus se joignent à l’assemblée :

Roger Billy qui fut à l’Agence Inspection Nantes durant 7 ans avant d’être affecté à Paris.. Est retraité depuis peu.

André Coulon, lui aussi, à l’Inspection Nantes avant d’opter pour le Commercial MB et d’exercer des fonctions de management, puis de revenir prendre sa retraite à Guérande.

Rappel de cotisations 

Environ 15 cotisations restent à percevoir. Merci pour Gérard Mérel, notre trésorier.

Prochaines réunions

Le 17 février dans les locaux d’Arc’Antic, sujet proposé par Henri Sourdin.

Un courrier a été adressé le 19 décembre mais n’a pas provoqué de réponse. Henri va rappeler. Cet organisme effectue la recherche de métaux en mer et est installé près de la Clinique de la Haute-Forêt.

Sud Aviation en mars ou avril par Raymond Ollivaud. A préciser.

La Mutuelle

Bernard Grollier fait remarquer la nouvelle rubrique située dans la colonne « Options » et comportant la perception de 5 euros par bénéficiaire. Des explications vont être demandées sur le sujet.

 


Il fait état d’une augmentation significative de sa cotisation qu’il juge
excessive et demande une intervention explicative du délégué régional représentant les membres transférés dans des filiales.

Malheureusement pour nous, il a cessé sa délégation. Nous essaierons une autre piste.

Rappelons que pour obtenir les cotisations les plus adaptées, il est nécessaire de faire parvenir le relevé familial fiscal avant le 31 octobre. L’envoyer Avenue Montaigne à Noisy-le-Grand à l’attention de Mme Daguerre.

Pour ceux qui disposent d’Internet, le site de la mutuelle IBM permet d’effectuer des simulations que vous pourrez rapprocher du montant réclamé.

A ceux qui se poseraient la question sur les 5 euros par bénéficiaire (colonne "Option) de l'appel de cotisation 2005, ils trouveront une réponse très détaillée dans l'article 16 du nouveau règlement mutualiste daté de Janvier 2005 que tous les adhérents viennent de recevoir. Merci à Romain Prudor qui a su retrouver cette info

Rente dépendance

La plage de revenus permettant l’obtention d’une rente dépendance se situe entre 900 et 2000€

Dans le plafond s’élevant à 2483 € par mois doivent être inclus le revenu du conjoint et le revenu des placements éventuels.

Autant dire que peu d’entre nous pourrons y prétendre. C’est le Conseil Général qui définit les seuils et prestations.

 
 

L’exposé du jour

 

Restauration de tableaux anciens de chevalet

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J-D Depardieu, ami de Daniel Mergny, exerce cette profession depuis 30 ans. Pour y parvenir il
fallait d’abord étudier la peinture aux Beaux-Arts, ce qu’il a fait de 67 à 72.

On ne peut prétendre restaurer sans « savoir ce qu’est un tableau ».

L’apprentissage de la restauration ne peut se faire qu’en dernier lieu, c'est-à-dire après 3 années supplémentaires qu’il a eu la chance d’effectuer sous la conduite d’un maître enseignant au Louvre : M. Jacques PONTIER, tout premier restaurateur dans les années 1950.

Cette profession est récente puisque les bases du métier ont été définies par un aréopage d’experts exerçant dans plusieurs
disciplines : chimistes, biologistes, historiens, artistes. En effet, la guerre avait provoqué la destruction de nombreuses œuvres et rendu
indispensable la mise en place d’une méthodologie sérieuse.. Tout le mérite en revient aux musées du Louvre et de Rome.
Déjà en 1775 avait eu lieu une première concertation sans résultats satisfaisants.

Technique de la restauration

Chaque tableau est un travail différent

Il faut l’analyser pour réunir les paramètres qui vont déterminer le choix de la technique.

A l’inverse de ce que l’on croit généralement, le travail qui en résulte fait surtout appel à la chimie. La peinture proprement dite est
réduite à la réfection des seules pièces manquantes.

Beaucoup de tableaux finissent aux délivres en raison de l’incompétence de la plupart des intervenants : 300 ans de
vieillissement dégradent moins que 3 heures d’incompétence.

Quand on visite un musée on ne retient que le sujet de l’image. Quant à nous, nous allons entrer dans les coulisses. Un tableau est
comme un malade : si la maladie s’aggrave, le tableau disparaît. Il faut donc le soigner.

Les trois éléments constitutifs principaux d’un tableau sont :

  1. le support : tout matériau sur lequel on peut peindre
    Le mur supporte la fresque
    Le bois s’utilise jusqu’à la fin du XV ème
    La toile apparaît en Italie pendant la renaissance, mais seulement plus d’un siècle plus tard dans les pays du Nord.
     
  2. Le pigment : c’est le matériau qui véhicule la couleur, différent en fonction de celle-ci.
    La peinture remonte à la préhistoire où le support n’est autre que la paroi de la grotte.
    Le pigment se trouve alors dans la nature, soit d’origine minérale on trouve le noir dans le charbon, le blanc dans la craie,
    le marron et le rouge dans les terres (notamment du Roussillon), éléments qui sont broyés en poudres, soit d’origine végétale
    ou animale (le jaune dans l’œuf). Aujourd’hui, la chimie fournit des produits de synthèse qui résistent mieux.
     
  3. Le liant : Pour que les pigments tiennent il faut les noyer dans un liant : l’eau, l’urine, la graisse animale,…
    L’argile avec de l’eau donne le pastel, mais il lui faut un papier spécial dont les fibres vont retenir les pigments.
    La gomme arabique, provient de l’acacia et donne la gouache.
    En ajoutant de l’huile, c’est la peinture à… !

La technique à employer dépend donc directement de ces 3 éléments.

Après les peintures rupestres, la véritable origine du tableau remonte à 500 avant JC. On employait alors la cire jaune et l’œuf (Tempera).

Le premier support mobile fut un panneau de bois. Aujourd’hui on le retrouve dans les icônes.

La peinture à l’eau est fragile. En séchant, le rendu va varier. Le vernis va permettre d’en assurer la protection. A partir du XI ème siècle,
on ajoute de l’huile pour la rendre moins vulnérable mais elle est plus longue à sécher. Puis vient l’huile de lin qui sèche au contact de l’air, mais reste épaisse et encore longue à sécher. Ce sont les enlumineurs qui les utilisent.

Au XV ème siècle, la technique de la peinture à l’huile évolue par l’ajout d’essence de térébenthine issue du pin ou celle du mélèze
(à Venise).

Cette huile peut être très diluée, ce qui accélère le séchage de façon sensible : utilisée pour les Aquarelles. Un tableau peint à l’huile
n’est pas vraiment sec avant 100 ans. Plus grave, les tableaux du XIXème peints au bitume exigent 150 ans.

Étapes successives dans la « fabrication » du tableau

  1. On effectue un encollage pour éviter les effets de la porosité du bois ou donner la tension nécessaire à la fibre de la toile
     

  2. Puis on applique une couche de préparation : un enduit à l’eau ou à l’huile qui va jouer un rôle fondamental sur la couleur
    de la peinture. Il est de couleur blanche au début du XVIIème, brun foncé, puis plus clair, rougeâtre ou blanche aujourd’hui,
    selon les époques : cela donne déjà au restaurateur une idée sur la datation de la peinture.
     

  3. Le pigment, c'est-à-dire la peinture, sera ensuite différent selon l’époque du peintre.
     

  4. Un vernis sera ensuite étendu pour protéger toute la surface de la peinture.

Le vernis va bouger dans le temps. Incolore, exposé à la lumière du jour, il se transforme par l’effet des ultraviolets,
s’assombrit progressivement de 25 à 150 ans, pour devenir tout noir au bout de 400 ans

Ce vernis ou résine (gomme arabique soluble à l’eau, et d’autres à l’alcool ou à l’essence) apporte une couleur supplémentaire qui
modifie la couleur de la peinture : les infrarouges vont tendre à dessécher la résine, la rendre opaque et introduire une nouvelle coloration.

Quand l’opacité du vernis devient très forte, la lumière se réfléchit et l’on ne distingue plus les couleurs.

La pollution va ajouter ses effets, et surtout charbons et goudrons provenant de combustions diverses (tabac, feux de bois, …).
altérant - voire même cachant totalement - la peinture, elle a toutefois l’avantage de la protéger de la lumière !

On est passé ensuite du bois à la toile. Par quel cheminement ? A partir d’un support bois, on l’a armé avec de la filasse noyée dans
les fentes, puis des bandes de toile sur les parties comportant des nœuds.

Ensuite des bandes sur la totalité, puis une toile tissée. Enfin, pour bénéficier d’un allègement important, on a évidé la partie bois et
obtenu enfin un cadre, sur lequel on tend la toile.

C’était au XVIème siècle.

Cependant, le châssis se distordant et n’étant pas évolutif, la peinture finissait par se craqueler car la toile, en se détendant,
devenait sensible aux vibrations de l’air.

Est apparu alors le châssis à clés permettant de retendre régulièrement la toile.

Le travail du restaurateur

Le restaurateur procède à l’étude de ces éléments.

La période donne des indications sur la façon dont le tableau a été peint et il va en déduire la technique à utiliser.

1) Nettoyer le vernis en utilisant le produit approprié au type de pollution
A base d’eau avec des cotons pour éviter la destruction du vernis (si pigment à l’essence, pas de dilution).

2) En cas d’opacité importante, régénérer le vernis.

3) Rechercher de la coloration d’origine. Un allègement de vernis par émission de rayons ultraviolets permettra
d’araser progressivement la couche. Les couleurs deviennent déjà plus vives

4) Retirer l’ensemble du vernis sans toucher à la couleur. Le solvant ne doit pas l’atteindre.

5) L’image est entièrement retrouvée. A noter que le peintre ne la reconnaîtrait pas car la couleur d’origine a évolué dans le temps.

6) Rechercher la signature éventuelle et la préserver, sinon il devient impossible de ré-authentifier le tableau, d’où la
chute vertigineuse de sa valeur marchande.

Déchirures

Le tableau doit être toujours tendu. L’hygrométrie, en variant, va tendre et détendre la toile. Les vibrations de l’air vont finir par rompre
les couches les plus dures et provoquer des fissures. Toutes les couches successives seront alors altérées.

Il faut commencer par reconstituer la partie atteinte du support. Si la déchirure est trop grande, on doit démonter le cadre. Aussi
faut-il alors bien connaître les réactions de la fibre.

 a) Pour une petite déchirure, on procède par humidification ou on utilise un fer à repasser pour enlever le pli, en évitant de brûler
 la couche de peinture : On ne bouche pas le trou avec de la peinture.

Il faut :

1) Coller du papier afin de ramener la toile à plat.

2) Utiliser le fer sur l’envers.

3) Boucher le trou en utilisant un morceau de la toile pour en faire un insert, (comme le fait un dentiste en introduisant
un enduit)

4) Coller ensuite un renfort à l’arrière du support.

5) Quand tout est sec, ré-humidifier pour retirer le papier posé sur la blessure.

 b) Si la blessure est grande, c’est une grande pièce que l’on applique sur la totalité. Il faut désentoiler mais le reste de la technique
 est inchangé.

Les « manques », c'est-à-dire les trous dans la peinture, vont être reconstitués. C’est ici qu’il faut les connaissances d’un artiste peintre.
Si la peinture est à l’huile, la couleur va changer très vite. Il faut donc utiliser des gouaches à l’eau. Ceci permet de les effacer si le
résultat n’est pas satisfaisant. Pour réintégrer la peinture, l’application se fait par petites touches.

Objectif de la restauration

Il faut respecter l’œuvre de l’artiste, éliminer les retouches précédentes, souvent bricolées.

A l’exception des musées, on ne sait jamais qui est le restaurateur.

De tout le travail, c’est le nettoyage qui est le plus passionnant. C’est ce que l’on apprend en dernier. On a le plaisir de redécouvrir ce
qui n’était plus visible depuis 100 ou 200 ans. Il faut que la restauration puisse durer 100 ans.

On ne fait un rapport de restauration que pour les tableaux importants.

Attention ! Pas de travail à la lumière électrique.

Jean Daniel DEPARDIEU propose une visite de la face cachée du Musée des beaux-arts de Nantes et la possibilité de le consulter
sans obligation quelconque en matière de conseils et d'expertise.

Il sera exposant à Vertou avec un groupe d'artisans d'Art durant le salon où il sera possible aux Briscards qui le désireraient d'apporter
les tableaux pour lesquels ils aimeraient être conseillés.

Voici ses coordonnées :

Restaurateur professionnel de tableaux, disciple d'un Maître du Louvre

Spécialiste de l'examen technique des tableaux anciens et modernes

Tél. 02 28 21 87 32

La Brunetterie

44430 LE LANDREAU (LE LOROUX BOTTEREAU)

Merci au secrétaire de séance pour ce merveilleux Compte rendu.

Après un apéritif pris en commun les 42 convives se retrouvent autour de la table pour le repas annuel.

 

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Mise à jour de l’annuaire : André Coulon

coulon.ac@wanadoo.fr

 

 

Information pratique :

Diffusion électronique de l'IB :
 
Transfert de l'IB imprimé au format PDF (1,7MO) :  

 

 

La parole est aux Briscards

 

 

 

 

Humour
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Sites à visiter 

http://www.01net.com/pratique/

Les pages de ce site proposent de nombreux "trucs et astuces" tel que le suivant:

Les fichiers images en mode point sont trop volumineux pour pouvoir être utilisés tels quels. Il faut donc les comprimer. Pour les photos, le format JPEG est le plus adapté. Mais ce dernier est destructeur, car plus la compression est élevée, plus l'image est dégradée. La difficulté consiste donc à trouver le meilleur compromis entre le volume du fichier et la qualité de l'image. Paint Shop Pro, de Jasc, possède, à cette fin, une fonction d'optimisation.

Lorsque votre travail sur une image est terminé, au lieu de l'enregistrer en passant par le menu Fichier/Enregistrer sous, puis en sélectionnant le type JPEG, optez pour la commande Fichier/Exporter/Fichier JPEG optimisé. Une fenêtre vous permet alors de visualiser à la fois le fichier original et le résultat après compression. Choisissez un taux de compression compris entre 1 (minimal) et 99 (maximal). Puis augmentez progressivement ce taux, jusqu'à ce que la qualité de l'image atteigne la limite qui vous parait acceptable.

Partagez vos meilleures adresses en les envoyant au secrétariat. Merci

 

Prochain rendez-vous:

Le 17 février

à 9 h 30

 

 

Au laboratoire de Restauration et de Recherche

Arc’Antique

26 rue de la Haute-Forêt

Près du Bd Michelet

A l’initiative de Daniel Lesage et d’Henri Sourdin

 

  RAPPEL : Les conjoints sont cordialement invités à toutes nos manifestations, où ils/elles seront les bienvenu(e)s
 

Prochaine réunion
micro informatique

Réunion informatique
le 24 févrierl

 

 


Le lieu sera précisé ultérieurement

 

Fonds de Placements:
Le Trésorier communique les valeurs au:
au: 20/01/2005 (en €)

A: 25,75     B: 41,21
C: 47,89     D: 32,71
F: 31,13     G: 35,19
H: 45,11

 
  Les BRISCARDS
  Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
  44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
  Téléphone 02 40 72 03 53


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