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EDITORIAL
La chaîne
téléphonique nous a permis de transmettre la triste nouvelle que
chacun redoutait.
La longue et douloureuse maladie a eu raison de la résistance de
Maurice.
Nous le connaissions tous, il était à la Compagnie bien avant nous et
depuis les premiers balbutiements de notre association, Maurice était
présent. A son habitude, réservant ses paroles, il donnait un avis
très sage auquel nous nous référions souvent.
Son humour discret empreint de bienveillance, nous atteignait surtout
quand son rire communicatif égratignait gentiment l’un d’entre
nous.
A Edith, son épouse qui l’a soutenu inlassablement et courageusement,
ainsi qu’à sa fille Nathalie et à sa famille, les Briscards
présentent leurs sincères condoléances et les assurent de leur
soutien.
C’est ainsi qu’en
moins d’un mois, deux de nos familles sont cruellement atteintes.
Nos amicales pensées vont également vers François Jacquin qui fut
frappé par la disparition de Brigitte, son épouse.
Réunion du 20 juin à Angers
Présent(e)s: Roger
Batard, Edith & Dominique Bertaux, Edith sa maman & Christian Chevalier,
Annick & André Corlay, Yvette & Michel Echappé, Jean-André François,
Renée & Jean Freuchet, Annick & Michel Gaucher, Jean-Louis Gourdon,
Alain Lanceau, Colette & Jean Marie, Thérèse & Gérard Mérel, Marie
Henriette & Daniel Mergny, Annick & Jean Paul Rocher, Pierre & Mme
Rossi, Joseph Simon, Marie Thérèse & Henri Sourdin, Michèle & Pierre
Thomas
Excusé(e)s:
Yves
Berthelot, Jean-Claude Dardalhon,
Bertrand de La Fournière, Maurice Demaret, Jean-Claude Fauvet, Jean-Claude
Foucault, Jacques Gaudry, Anne Lannic, Jean Neveu, Bernard Rey, Allain Verhoeven
Absent(e)s:
Bernard Barbier, Claude Bardin,
Marcel Bouancheau, Yves-Antoine Caillaud, Claude Chartier, Yann de La Porte Du
Theil, Alain Delepierre, Raymond Dore, Louis Drillet, Alain Ducottet, Antoine
Gapihan, Gérard Genais, Bernard Grollier, Monique Guérin Langlois, François
Jacquin, Jean Landrein, Gérard Le Pommelet, Josette Lebossé, Daniel Lesage,
Jean Louis Letemplier, Jeannine Marsollier, Raymond Ollivaud, Michel Paineau,
Philippe Pellaumail, Jean Pellerin, Yves Petiteau, Michel Riault, Monique
Salmon, Etienne Schmit.
Participation: 31 % (des «à jour»).
Au déjeuner: 32 participants
Les Briscards qui
avaient décidé de passer la journée en Anjou se sont retrouvés à 10 h 15 à
saint Barthélemy d’Anjou devant la maison Cointreau.
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COINTREAU, la
célèbre liqueur française, est née au 19ème siècle, alors qu'
Adolphe
Cointreau tenait une confiserie à Angers, dans la riche
vallée de la Loire.
En 1849, le frère d'Adolphe, Édouard-Jean, le rejoignit.
Les deux frères fabriquaient des confiseries à base de fruits provenant des
récoltes des vergers de la région. Ils développèrent une sélection de
liqueurs de fruits, la plus connue étant le Guignolet d'Anjou fabriqué à
partir de cerises d'Anjou.
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UN CADEAU DES ANTILLES
En 1875, le fils d'
Édouard-Jean, Édouard, prit la
succession de son père et de son oncle à la tête de l'affaire.
Au cours de ses voyages à travers l'Europe, Édouard
remarqua la popularité décroissante des liqueurs aux couleurs sombres et aux
arômes indéfinissables.
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| Il entreprit alors de créer une nouvelle liqueur de couleur
claire à l'arôme et aux bouquets délicats. Édouard reçut en cadeau d'ami
des Antilles un lot d'écorces d'une variété unique et commença donc à
expérimenter une liqueur à base d'oranges.
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Il tenta d'assembler le nouveau
mélange avec d'autres écorces, en perfectionna la distillation et créa une
liqueur à l'aspect cristallin et au parfum doux et subtil. Le COINTREAU était
né.
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Afin de célébrer la naissance du COINTREAU, Édouard
demanda la réalisation d'une affiche à son ami Tamagno, illustre portraitiste.
L'affiche de l'artiste représentait le fameux Pierrot qui resta le symbole du COINTREAU
pendant de nombreuses décennies.
La spécialité, à laquelle Edouard donna son nom, allait
connaître un immense succès.
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UNE PERIODE DE RAPIDE EVOLUTION ET DE CHANGEMENTS
La popularité de la nouvelle liqueur s'étendit
rapidement vers les autres pays, si bien que, vers la fin du 19ème siècle, le COINTREAU
était distribué en Belgique, Allemagne, Hollande, Luxembourg, Russie,
Angleterre, Canada et Amérique du Sud. Il fut officiellement introduit aux
États-Unis à l'occasion de l'exposition universelle de Chicago en 1893 et
reçut la Médaille d'or de l'Excellence. COINTREAU fut distribué dans
les villes sélectionnées des États-Unis jusqu'à la promulgation de la loi
sur la Prohibition en 1919.
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A la mort d' Édouard en 1923, Louis et André lui
succédèrent. Guidé par son sens aigu des affaires, Louis ouvrit des filiales
dans de nombreux pays d'Europe. A sa mort en 1934, André COINTREAU dirigea
seul la Société, poursuivant le programme d'expansion de COINTREAU sur
les marchés les plus importants du monde.
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Les ventes de COINTREAU continuèrent de se
développer à travers le monde entier, ce qui nécessita l'agrandissement de
l'ancienne distillerie. Mais bientôt la demande des consommateurs dépassa la
capacité de production.
En 1972, à Saint Barthélemy d'Anjou, près d'Angers, sur un
terrain de 100.000 m2 agréablement planté, une nouvelle distillerie couvrant
45.000 m2 et quadruplant ainsi la superficie de l'ancienne est créée. La
nouvelle installation fait travailler 195 salariés qui produisent plus de 30
millions de bouteilles par an dont 12 millions de COINTREAU à partir de
20 alambics monstrueux. Pour cette production, la
Distillerie utilise 315 tonnes d'écorces d'oranges douces et amères.
En 1990, COINTREAU S.A. fusionne avec la Société REMY
MARTIN pour former le groupe REMY COINTREAU.
En 1999, à l'occasion de son 150ème anniversaire, COINTREAU
crée un musée sur son site de production. A ce jour, la société ne
travaille que sur commande, donc en flux tendu.
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Quelques produits du
groupe REMY COINTREAU
(l'abus d'alcool est dangereux pour
la santé)
- Le Cointreau : liqueur pure comme le cristal est
à base d’écorces d’oranges douces et amères. Se boit pur mais aussi
« on ice ».
- Le rhum Saint-James : grappe blanche, Royal ambré
et rhum vieux.
- Mount Gay : rhum fabriqué à la Barbade.
- Liquore Galliano (de couleur jaune comme le soleil
italien) : à base d’arômes d’herbes et plantes des Alpes
(genièvre ou « herbe d’Eve), de la Méditerranée (lavande, anis
…) et d’espèces tropicales (cannelle, vanille ..). La richesse des
arômes permet de composer les long drinks et les cocktails les plus
simples, les plus savants ou les plus inattendus.
- Armagnac : Clés des Ducs (de 2 à 21 ans d’âge).
- Passoã : à base des fruits de la passion, de
citrons, d’essences de fruits et de plantes des tropiques. Ingrédient
indispensable des cocktails et long drinks.
- Régnier : crème de cassis de Dijon.
- Izarra : jaune et vert, à base de plantes
aromatiques (angélique, cumin, génépi, menthe poivrée) et d’épices
orientales (anis, cardamome, coriandre). L’Izarrazu
est bleu mais sa cote est en baisse…
La fin de la visite donna lieu à la traditionnelle
dégustation. Les photographes amateurs en furent pour leurs frais car la firme
semble souffrir du syndrome de l’espionnite…
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Après un excellent repas à « La Ferme »,
place Freppel, restaurant réputé, quoique abordable, nous franchissons le
pont-levis de l’imposante forteresse que constitue le Château d’Angers.
Accompagnés par un guide de culture exceptionnelle, Marie
Odile Moreau-Saulnier fit preuve de gentillesse et patience à
l’égard de ces 32 Briscards quelque peu indisciplinés, puis nous
introduits dans l’enceinte protégeant Les Tapisseries de l’Apocalypse.
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Vers 1377, Louis Ier, duc d'Anjou, commande une tapisserie
d'apparat à Jean de Bruges, peintre du roi Charles V. Réalisée en laine,
suivant la technique de la tapisserie de lisse, la tenture, de dimension
exceptionnelle, relate les visions fulgurantes de la Révélation de saint
Jean.
Dernier des livres composant la Bible, l'Apocalypse compte parmi les
livres canoniques, c'est-à-dire que l'Église y reconnaît l'œuvre d'un
auteur inspiré.
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Avec elle, le Nouveau Testament s'achève et la Révélation
est close.
L’Apocalypse n’annonce pas, comme on le croit souvent,
la fin du monde.
Le message de l'Apocalypse est doctrinal et tend à
encourager les chrétiens persécutés. Elle leur dévoile l'au-delà de
l'histoire, Dieu gouvernant le monde, et leur annonce le triomphe de la
justice. Son langage est symbolique et cohérent avec la Bible, par son
contenu et son expression (Francis Muel).
Avec ses 103 mètres de longueur, ses 4 ,50 m de hauteur et
ses 70 tableaux, la tenture de l’Apocalypse est aujourd’hui la plus
ancienne tapisserie au monde de cette importance. Elle est située dans une
galerie réaménagée en 1996 offrant toutes les conditions idéales à sa
conservation.
Les sept thèmes suivants ont été choisis pour servir
d'itinéraires à travers le texte biblique. Ils prennent pour point de
départ des sujets universels, relevant de domaines aussi variés que la
nature, la psychologie ou la métaphysique.
Dieu
Les visions de l'Apocalypse comportent plusieurs
manifestations directes de Dieu à travers les trois personnes, Père, Fils et
Saint-Esprit. Saint Jean parle sans cesse des caractères d'éternité, de
toute-puissance et de créateur de Dieu. Ces caractères plus
particulièrement attribués à la première personne de la Trinité,
c'est-à-dire au Père, conviennent également au Fils dont l'Apocalypse est
spécialement la révélation. L'Esprit Saint, troisième personne divine, se
manifeste par l'aspect septiforme de ses lumières, et aspire Lui-même à la
Jérusalem céleste, tabernacle de Dieu avec les hommes.
La colère
Divers personnages évoquent la colère de Dieu, passion
principale dans ce récit de jugements et de combats décisifs,
d'affrontements continuels entre le bien et le mal. Lorsque la colère gronde,
terrorisant les puissants de ce monde à la rupture du septième sceau,
l'appel des justes a déjà retenti. Cependant, le mystère de Dieu est
accompli quand la septième trompette et la septième coupe donnent à leur
tour le signal du jour de la colère de Dieu.
La femme
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Deux personnages féminins interviennent dans l'Apocalypse.
L'un a pour seul nom "la Femme", l'autre est une
parodie et n'a pas d'autre nom que "la prostituée".
Personnage essentiel, la Femme apparaît sous une forme allégorique, "revêtue
du soleil, la lune sous les pieds et sur la tête une couronne de douze
étoiles". A l'opposé, la "grande prostituée",
figure du vice, apparaît "assise sur les grandes eaux".
Elle est mère de tous les vices et chevauche la Bête de la mer. A
Jérusalem, élevée sur la colline de Sion, lieu de la Femme, s'oppose
Babylone la prostituée, symbole des empires païens et persécuteurs.
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Satan
L'idée maîtresse parcourant les visions de l'Apocalypse
est la nécessité de "la patience des saints" dans le
grand combat engagé entre le Christ et le Dragon, l'antique serpent dénommé
le Diable et Satan, le séducteur de l'univers. Satan séduit toute la terre
habitable. Orgueil et puissance le caractérisent. Sa parole est blasphème.
Mais son pouvoir ne durera pas. Lié pour mille ans d'abord, il sera
précipité, pour l'éternité, dans "l'étang de feu"
avec "les timides, les incrédules, les exécrables, les homicides,
les fornicateurs, les empoisonneurs, les idolâtres, et tous les
menteurs".
Les quatre éléments
L'air, la terre, l'eau et le feu, c'est-à-dire les quatre éléments
constituant la nature selon les Anciens, apparaissent dans l'Apocalypse à
maintes reprises. L'eau est, littéralement, l'élément essentiel qu'un
fléau transforme en "absinthe", mais c'est aussi la "fontaine
d'eau vive", allégorie mystique de la vie divine, communiquée
à la Jérusalem nouvelle. Le feu est après l'eau l'élément le plus
présent, qu'il soit symbole de charité, élément de supplice ou de
destruction. L'air, demeure de Dieu et de ses anges, domine l'Apocalypse:
saint Jean reçoit ses visions par une porte ouverte dans le ciel, annonce le
retour du Christ sur les nuées, et voit finalement descendre du ciel la
Jérusalem nouvelle
La justice
Vaste tableau de l'histoire des hommes jusqu'en leurs fins
dernières, l'Apocalypse évoque nécessairement la justice. La justice divine
a pour instrument l'épée que saint Jean voit à deux reprises dans la bouche
du Fils de l'Homme, le Christ. Ses jugements, symbolisés par la moisson de la
terre et la vendange, entraînent châtiments pour les impies, récompenses
pour les innocents et les martyrs.
Les animaux
La tenture est peuplée de nombreux animaux que l'on
rencontre dans l'Apocalypse selon deux catégories, les nobles et les
ignobles. Parmi les premiers se rangent les chevaux dont la course accomplit
les desseins divins quel qu’en soient les cavaliers, l'aigle, l'Agneau du
Christ rédempteur et les quatre animaux évoluant auprès du trône de Dieu:
l'aigle, le taureau, le lion et l'homme. Les animaux qui ne sont pas nobles,
par opposition, sont les "bêtes". Certaines sont ainsi
qualifiées en raison de la monstruosité de leur morphologie, telles la bête
de la mer, et la bête de la terre, le dragon parfois nommé serpent, et les
sauterelles.
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Cette découverte, pour beaucoup, les replongeait dans l’héritage
culturel de l’occident chrétien. Chacun se retrouva dans les jardins du
château, stupéfié par les dimensions gigantesques des fresques, ses
qualités stylistiques et techniques, témoin de l’ambition de son royal
commanditaire.
Une journée qu’il ne fallait pas manquer, dans une
ambiance digne des Briscards.
| Journée
Briscards du 13 juin consacrée à la micro, à ses secrets et à ses virus |
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Pendant
que nos jeunes philosophaient sur l’art et la politique, nous avons planché
sur différents sujets, afin de répondre à ce qui pose question dès que nous
rencontrons un problème avec cet outil, que nous croyons parfois bien
connaître. Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, plus on croit
savoir, plus on prend conscience de ce que l’on ignore.
C’est
d’abord Yvette, qui a ouvert la séance avec son imprimante. Cette
récalcitrante ne fonctionnait plus après qu’elle ait tenté d’installer un
graveur de CD! Yvette n’avait pas oublié d’apporter le moindre élément,
tant matériel, que logiciel. Cette précaution permit aux experts, que je ne
nommerai pas, eu égard à leur modestie, de rétablir toutes les fonctions et
fonctionnalités attendues, à la fois sur le scanner et l’imprimante, mais
aussi sur le graveur.
Les tests
et différents essais ont généré beaucoup de questions, parfois totalement
déviantes par rapport au sujet, mais peu importe, ces rencontres fort amicales
ont pour but de partager nos connaissances, le fruit de nos expériences, pour
mieux tirer parti de son micro. Après quoi, Yvette repartit très satisfaite de
sa journée, après avoir écouté et pris de nombreuses notes.
Il ne
m’est pas possible de relater tous les sujets abordés, pour la bonne raison
que mon stylo était en panne !!!. L’autre sujet abordé concerne les
virus, car même Daniel, tout seul, fut incapable de se débarrasser de son cher
cousin KLEZ.
Comme
beaucoup d’entre nous, vous avez reçu des messages émanant de collègues
Briscards, alors qu’ils n’en étaient pas l’émetteur. Car, installé dans
une machine, le virus se propage de lui-même aux correspondants présents dans
le carnet d’adresse. Il pratique le spoofing (remplacement de l’adresse de
l’émetteur)
La
famille KLEZ* comprend déjà 8 virus et KLEZ.E va s’attaquer aux fichiers de
données (Word, Excel, Photo, Son, Txt, Jpeg, MP3, etc ). Alors pour n’être
ni victime ni vecteur de transmission de virus il est indispensable
d’installer un anti-virus et de le mettre à jour régulièrement. Dans le cas
contraire attendez-vous, le 6 juillet, et tous les 6 des mois
impairs, à une
catastrophe.
Voilà
résumé brièvement notre journée - qui s’est terminée vers 19 heures quand
même -, vous en mesurez tout l’intérêt.
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Moralité !
Ceux qui
ne viennent pas à ces réunions ne savent pas ce qu’ils perdent ni à quelle
sauce ils seront mangés. Pire, à quels dangers ils s’exposent, comme devoir
s’excuser platement auprès de tous ceux qu’ils auront contaminés !
Compte
rendu rédigé par l’élève Jean Marie mais qui est élève et qui est
professeur?
* Cliquer
ici, pour obtenir une page d'informations sur le virus KLEZ
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