REUNION DU 18 OCTOBRE 2014 |
Présent(e)s : Jean Claude Béasse, Marie Christine & Yves Berthelot, Jeanine& Claude Chartier, Edith & Christian Chevalier, Danielle & Pierre Copine,
Annick & André Corlay, André Coulon, Bénédicte & Bertrand de La Fournière,
Elisabeth & Gérard Genais, Jean-Louis Gourdon, Annie Hervy,,Michelle& Michel Lavaud, René Lefaix, Alain & Jeannine Marsollier, Gérard Mérel,
Marie-Henriette & Daniel Mergny, Arlette & Pierre Moreau, Claire & Paul
Mustière, Anne Neuville & Robert Nicolas, Christine & Jean Raynaud,
Jeannine & Michel Riault, Françoise & Bernard Richard, Paulette & Alain
Rouault, Christine & François Tellier
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Robert Bareau, Roger Batard, Yves-Antoine
Caillaud, Jacques Charrance, Jean-Luc Chauvin, Jean-Claude Dardalhon,
Raymond Doré, Louis Drillet, Jean-Claude Fauvet, Daniel Fihey, Gérard
Fontaine, Jacqueline Fourniguet, Jean-André François, Renée Freuchet,
Mireille Gaignet, Annick Gaucher, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois,
Jean Michel Hervy, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Gérard Le
Pommelet, Josette Lebossé, Jean Yvon Leroux, Daniel Lesage, Bruno Jean
Manchon, Jean Marie, Béatrice Martin, François Michaud, Michel Paineau,
Michèle Papon, Jean Pellerin, Michel Ploquin, Jean Paul Rennou, Bernard
Rey, Laurent Royaux, Etienne Schmit, Henri Sourdin, Pierre Thomas
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Claude Bardin, Adrienne Cloitre, Daniel
Corniglion, Henri de Darassus, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre,
Alain Ducottet, Jean Claude Fasseu, Pierre Gallon, Antoine Gapihan,
Annick Le Gal, Gilbert Lemerle, René Lesouef, André Loretz, Jacques Monjoin,
Jean Neveu, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau, Romain Prudor, Hervé
Yves Ribau, Michel Roch, Dominique Ruesche, Michel Saissay, Monique Salmon,
Joseph Simon, Jacques Thibaud
Participation: 45 dont 3 invités
Au déjeuner: 45
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N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et ceux
qui traversent des moments difficiles et qui n’ont pu être parmi
nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements ainsi
qu’à leurs proches. |
Nos amis Briscards ne s’étaient pas laissés décourager par
cette matinée brumeuse et nous étions bien en avance pour
notre rendez vous devant l’Office du Tourisme de la Base
sous-marine. Un bus nous attendait pour nous permettre de
visiter en toute sécurité. |
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STX Chantiers : Les superlatifs se suivent et se bousculent
même dans ce chantier. Le MSC Fantasia, livré en décembre
2008, a été le plus gros paquebot de croisière jamais
commandé par un armateur européen. Le Norwegian
Epic, construit pour l’armateur américain NCL et livré en
juin 2010, a été le plus gros paquebot jamais construit à
Saint-Nazaire... et il sera détrôné par le paquebot dont la
construction vient tout juste de commencer, sous le nom de
coque A34 : le futur "Oasis", sera tout simplement le plus
grand paquebot du monde !
Depuis leur création en 1861, les chantiers navals de Saint-
Nazaire ont construit environ 600 navires dont plus de 110
paquebots parmi lesquels les plus grands transatlantiques
français : Ile de France (1927), Normandie (1935), France
(1962)...
Les paquebots - de croisière cette fois-ci - ont fait un retour
très remarqué depuis la fin des années 1980 avec des
navires comme Mistral, Monarch of the Seas, la série
des Millennium, et bien sûr « la reine », Queen Mary 2,
livré en décembre 2003 après moins de deux années de
construction. Ces dernières années, le chantier STX France
(anciens Chantiers de l’Atlantique) a notamment construit
plusieurs paquebots de croisière pour l’armateur italien
MSC ; le dernier en date, le MSC Preziosa, a quitté Saint-
Nazaire en mars 2013.
Une guide, compétente et enthousiaste, nous a accompagnés
et a su captiver son auditoire par la qualité de ses
explications. Deux arrêts nous ont permis d’accéder aux ateliers et la remise de boîtiers audio guides a permis à
chacun de profiter au mieux des commentaires très intéressants
de notre guide.
Nous n’avons pas pu pénétrer dans l’atelier de découpe dans
lequel les tôles les plus épaisses sont découpées avec des
chalumeaux au plasma (20 000 degrés – il vaut mieux éviter
d’y mettre le doigt !). Nous avons cependant pu observer
des tôles découpées, stockées à l’extérieur, en attente
d’utilisation.
Le premier arrêt s’est effectué devant l’atelier de soudure, pose
des raidisseurs et cloisons, découpe des portes. Nous avons été
surpris d’apprendre que tous les éléments sont disposés à l’envers,
pour faciliter le travail des ouvriers. Nous vous laissons
imaginer les moyens mis en oeuvre ensuite pour redresser les éléments
préfabriqués.
Le second arrêt, devant le A34 (sigle des Chantiers pour désigner
l’OASIS), nous a permis d’apprécier le gigantisme du futur
géant des mers). Les 13 ponts déjà installés étaient impressionnants
et comment imaginer que 8 ponts supplémentaires seront
ajoutés ?... On est dans une CONSTRUCTION XXL (cf JPP).
Une certaine "tradition des records" survit aux chantiers navals
de Saint-Nazaire : avec 362 mètres de long et une capacité de
6 360 passagers l’ "Oasis 3" sera le plus grand paquebot du monde
en 2016, comme Normandie l’était en 1935 et France en
1962, ou encore Queen Mary 2 dans les années 2000.
Les équipements des chantiers nazairiens qui s’étendent sur 108
ha (dont 22 ha de surface couverte) sont parmi les plus modernes
et plus grands au monde, comme par exemple l’atelier des
panneaux plans comportant deux lignes de production, longues de
450 m, équipées de robots de soudage et capables de réaliser
des panneaux de plus de 400 tonnes.
Impressionnant à découvrir : la ligne de construction d’une longueur
de 900 m, constituée d’une plate-forme de montage
(« forme haute ») et d’une « forme profonde » ; c’est là, depuis
une galerie piétonne, que vous découvrez les navires en cours
d’assemblage. Vues spectaculaires garanties ! Le TGP - très
grand portique - d’une largeur de 130 m, enjambe à la fois la
cale de construction et l’aire de prémontage et peut soulever
jusqu’à 1400 tonnes, soit des blocs entiers du navire qui grandit
tel un meccano surdimensionné… Ce portique, installé en début
2014, est entré en service avec l'assemblage du paquebot "Oasis
3", pour l'armateur américain RCI (Royal Cruise International). |
Face à lui, le SEBASTOPOL, petit frère du VLADIVOSTOK en
cours d’essai en mer, semblait moins impressionnant. Et pourtant
le camion citerne, garé à côté, ressemblait à un jouet.
Petite devinette : Savez vous pourquoi l’avant de ce portehélicoptères
est plat ? Notre guide serait très intéressée par
la réponse… Il quittera la forme prochainement. L’OASIS sera
alors déplacé dans la partie basse de la forme, ce qui permettra
d’ajouter les 8 étages manquants.
Avant d'être livrés, la plupart des navires passent les dernières
semaines dans la gigantesque forme-écluse Joubert pour les
derniers travaux d'aménagement.
La forme-écluse Joubert, construite entre 1929 et 1932, est
un ouvrage remarquable.
Ses dimensions
(350 m de long, 50 m
de large et 16,60 m
de haut) en font une
des réalisations les
plus importantes de
son époque. Il fallait
construire un ouvrage
pour créer une troisième
entrée, un lien
direct entre la Loire
et le bassin de Penhoët,
et permettant également d’accueillir les très grands navires en phase d’achèvement.
C’est cette double fonction qui caractérise encore aujourd’hui
la forme-écluse Joubert. En effet, utilisé pour la première
fois en 1932, il y a presque 80 ans, l’ouvrage (qui porte le
nom de Louis Joubert, ancien président de la Chambre de
commerce de Saint-Nazaire) est encore en service. Il sert à
la fois d’entrée et de sortie du port et de bassin
d‘achèvement, notamment pour les paquebots construits aux
chantiers nazairiens. Moins de 12 heures suffisent pour remplir
ou vider la forme-écluse qui peut contenir
jusqu’à 270
000 m3 d’eau…
Entre les deux, un bateau fluvial de croisières, le LOIRE
PRINCESSE, se faisait tout petit. Il est prévu pour naviguer
entre Nantes et Angers : de très faible tirant d’eau (80 cm)
pour lui permettre de remonter la Loire, d’où la nécessité
d’imaginer une propulsion par roues à aube, comme pour les
bateaux d’autrefois.
Ce sera la première fois qu’un bateau de croisière à cabines
naviguera sur la Loire. Ce bateau d’un nouveau genre mesure
90 m de long pour 15 m de large sur 3 ponts. Il abrite 48
cabines spacieuses de 15 m2, toutes avec vues extérieures,
pouvant accueillir 96 passagers. Sur le pont supérieur, elles disposent d’agréables balcons de 3 m x 1,20 m. Cette unité a été conçue avec une dimension écologique ayant un grand respect
pour l’environnement.
Permettant de parcourir la Loire, le MS Loire Princesse naviguera
dès avril 2015 à la découverte d’escales riches en patrimoine
culturel : Nantes, Saint-Nazaire, Ancenis, Angers,
les Châteaux de La Loire, Saumur, Bouchemaine, Nantes.
Peut-être aurez-vous un jour l’occasion d’y embarquer ?
A 12 h 30 il était temps de retrouver le restaurant « LE
PONTON » que nous avions découvert lors de notre« descente de la Loire » il y a deux ans. Le déjeuner y est
toujours aussi bon, copieux (voire trop pour certains), servi
avec diligence. |
Pour la digestion, nous avons embarqué sur
l’Escal'Atlantic.
Le parcours d’Escal’Atlantic invite à découvrir l’univers des
grands transatlantiques : de la vie quotidienne des passagers
aux secrets de la salle des machines, petits et grands sont
acteurs de leur visite.
Escal’Atlantic a un côté un peu magique avec l’embarquement
- nous "quittons la terre ferme" - et l’immersion dans l’univers
des paquebots. Le parcours est directement inspiré de
l’architecture des paquebots, avec ses coursives, ses différents
niveaux... un parcours évoquant tour à tour les espaces
publics d’un paquebot mais également les parties réservées
aux passagers et même la face cachée du navire.
C’est là, au détour des coursives d’Escal’Atlantic, nous découvrons
l’aventure des paquebots, chacun à son rythme. Avec
de multiples dispositifs interactifs et multimédia, la visite
réinventée depuis 2013 reste dynamique.
Les grands paquebots transatlantiques ont marqué l’histoire
des deux siècles passés. Jusqu’au milieu du 20e siècle, il n’y
avait que la voie maritime pour transporter d’un continent à
l’autre, passagers, marchandises et courrier. La révolution de
la propulsion vapeur, rendant possibles des lignes et des horaires
réguliers, a permis de tisser une première « toile mondiale» dès la deuxième moitié du 19e siècle.
Les compagnies maritimes, dont la célèbre Compagnie Générale
Transatlantique ou Transat, implantée entre autres à
Saint-Nazaire, ont écrit les premières pages d’une ouverture
au monde qui, depuis, n’a cessé de s’intensifier.
L’aventure des paquebots, ce fut pour certains voyageurs le
luxe, les loisirs, la gastronomie célèbre des traversées en
1re classe. Certains grands navires transatlantiques français,
Ile-de-France et Normandie en tête, ont ainsi marqué
les esprits des années 1920 et 30, souvent considérées comme
l’âge d’or des grands «liners ». L’expérience du voyage était bien différente pour d’autres voyageurs : les émigrants.
Ils traversaient l’Atlantique par millions autour des années
1900/1910, au plus fort de l’émigration de masse vers l’Amérique.
Pour eux, le paquebot, ce fut l’inconfort de l’entrepont,
l’inquiétude devant un monde nouveau, mais aussi le formidable
espoir d’une vie meilleure dans un pays à construire. |
Pour clore cette visite, un petit film met l’accent sur l’évolution
de l’aviation en tant que moyen de transport, entraînant
la disparition des paquebots transatlantiques.
Cerise sur le gâteau : nous avons embarqué sur des chaloupes
pour redescendre au rez de chaussée et quitter le musée,
sans oublier toutefois de traverser la boutique. La mer était
calme !
Nous nous sommes quittés vers 17 h.
Rendez vous le jeudi 20 novembre prochain pour la visite de
l’Imprimerie Goubault à la Chapelle sur Erdre. |
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PROCHAIN RDV LE 20 NOVEMBRE |
Imprimerie Goubault La Chapelle sur Erdre....info ici>>> |
AG LE 18 /12 avec comme d'habitude un passage de dizaine pour
R. Freuchet, G. Le Pommelet, H. Sourdin, B.J. Manchon, Y de la Porte du Theil, F. Tellier & A. Coulon |
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Fonds de Placements
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A |
B |
C |
D |
F |
G |
H |
30.45 |
64.19 |
77.44 |
47.16 |
51.60 |
47.93 |
69.70 |
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CARA Ouest - Les BRISCARDS
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