Les BRISCARDS - CARA Ouest
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
Association loi de 1901

 
 
Accueil

 

Directeur de Publication : Gérard Genais
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Alain Lanceau
Diffusion : Gérard Mérel
WEB : Pierre Copine

Numero : 141

Date : 21 JUIN 2012

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Le gros de la troupe Briscard, déjà égaillé(e) vers "des pays imbéciles où jamais il ne pleut", n'a donc pu profiter de cette journée, démarrée sous "l'Orage", mais poursuivie sous un soleil qui dissipa vers midi les Gris Bretons, qui plus est, dans la Chaleur de la Forge. Chaude ambiance donc, grâce à l'initiative de notre ami André Coulon, au Four et au Moulin, qui nous
avait concocté ce beau programme et déniché un restaurant de haute qualité.

Bonnes vacances à tous et rendez-vous en septembre sur la Loire, entre Nantes et Saint Nazaire................GG

 

REUNION DU 21 JUIN

Présent(e)s : André Coulon, Martine & Gérard Fontaine, Michel Gaucher, Gérard Genais, Jean Michel & Annie Hervy Cazeres, René Lefaix, Alain & Jeannine Marsollier, Gérard Mérel, Daniel Mergny
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Yves Berthelot, Yves-Antoine Caillaud, Jacques Charrance, Claude Chartier, Pierre Copine, André Corlay, Jean-Claude Dardalhon, Jean-Claude Foucault, Jean-André François, Renée Freuchet, Mireille Gaignet, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Alain Lanceau, Anne Lannic, Daniel Lesage, Bruno Jean Manchon, Jean Marie, François Michaud, Pierre Moreau, Michèle Papon, Jean Pellerin, Christian Pottier, Bernard Rey, Laurent Royaux, François Tellier, Pierre Thomas,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Claude Bardin, Robert Bareau, Roger Batard, Jean Claude Béasse, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre, Daniel Corniglion, Henri de Darassus, Bertrand de La Fournière, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Raymond Doré, Louis Drillet, Alain Ducottet, Jean Claude Fasseu, Jean-Claude Fauvet, Daniel Fihey, Jacqueline Fourniguet, Pierre Gallon, Antoine Gapihan, Jean Paul Jaumouillé, Jean Landrein, Michel Lavaud, Annick Le Gal, Gérard Le Pommelet, Josette Lebossé, Gilbert Lemerle, Jean Yvon
Leroux, André Loretz, Jacques Monjoin, Paul Mustière, Anne Neuville, Jean Neveu, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau, Michel Ploquin, Romain Prudor, Jean Raynaud, Jean Paul Rennou, Michel Riault, Jean Paul Rocher, Alain Rouault, Dominique Ruesche, Monique Salmon, Etienne Schmit, Joseph Simon, Henri Sourdin, Jacques Thibaud,
Participation: 12 dont 3 conjoint(e)s
Au déjeuner: 12

COMPTE RENDU DU JOUR

N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et ceux qui traversent des moments difficiles et qui n’ont pu être parmi nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements ainsi qu’à leurs proches.
La fée « Électricité » aidée de l’orage ayant joué un tour à notre organisateur, celui-ci ne put arriver à temps au rendez-vous au moulin du pont à Sion les Mines: ladite fée l’avait enfermé chez lui. Allez faire confiance à la technique. Merci à toi André, ce fut une journée superbe.
Situé au bord de la Chère, ce moulin à eau cessa son activité industrielle en 1968. Il continue à produire de la farine de blé noir pour le plaisir des visiteurs .
Le moulin du Pont-Godalin est un véritable monument historique:
Construit au Moyen Age, moulin « banal », il fut, dès son origine, possédé par les seigneurs de Sion dont le dernier en date a été, quelques années avant la Révolution, le Prince de Condé. Il est alors vendu aux enchères comme bien national à une famille de paysans aisés de la commune. Ces derniers
l'afferment tout au long du XIXe siècle. Le moulin deviendra la propriété des derniers meuniers à partir de 1911. Il a moulu jusqu'en 1968 .
D'abord doté de 3 paires de meules, il est muni d'appareils à cylindres Ponsart (modèle peu courant) au début des années 30. Il a cependant gardé deux
paires de meules dont une quiécrase encore du sarrasin. L'équipement du moulin comprend aussi une bluterie à pans qui fonctionne et un plansichter. Il est équipé depuis son origine d'une roue à aubes de 5,50 m de diamètre et de 1,25 m de largeur, tournant grâce aux eaux de la Chère, affluent de la Vilaine, avec une chute de 1,50 m. Elle est assistée d'un moteur électrique à partir de 1949.
En 1996, une association de sauvegarde du moulin est créée et négocie sa remise en valeur bien que le moulin appartienne toujours à la famille Cavé. L’association change l'axe de la roue en 1997 et aménage un écomusée présentant le savoir faire de la meunerie. En 2004, c'est l'ensemble de la roue à aubes avec ses engrenages qui est remplacé. Ces travaux permettent de présenter aux visiteurs un moulin pleinement enétat de marche.
La technique de la meunerie (quelle que soit la graine à moudre) Elle permet d'obtenir de la farine et n'a pas changé : il faut broyer le grain, puis séparer la farine du son. D'abord réalisée à la meule, la mouture a ensuite été obtenue par des broyeurs à cylindres (ici installés en 1931) qui assurent un travail plus rapide et plus régulier. La séparation se fait par tamisage dans la bluterie à pans ou dans le plansichter.
La qualité de la farine dépend des nombreux réglages effectués par le meunier, et de la finesse du tamis. La farine de blé était destinée à la fabrication du pain et la farine de blé noir (sarrasin) à celle des galettes.
La visite
On peut découvrir librement les engrenages, la roue, le diaporama, le musée et un film vidéo qui explique parfaitement
son fonctionnement…
Il a conservé l’intégralité de son appareillage malgré sa fermeture en juin 1968 grâce à l’Association. On peut observer :
- Le rez-de-chaussée, coeur du moulin, siège des engrenages qui transmettent l’énergie hydraulique produite par la roue.
- La grande roue à aubes de 5,50 m de diamètre ! Par la manoeuvre d’une vanne, la réserve d’eau, actuellement à son maximum, commence à entraîner la roue de plus en plus vite. La réserve est actuellement si importante que le débit
excessif freine la vitesse de la roue !
- Le musée du moulin qui retrace son histoire et explique de manière ludique les différentes céréales, la production de
l’énergie et le métier de meunier.
- Le diaporama qui conte l’histoire de la famille des meuniers depuis le début du siècle dernier. Pour certains des moins jeunes, cet environnement les replonge dans leur jeunesse..

- L’exposition sur la seconde vie du moulin, théâtre de nombreuses manifestations festives et culturelles.
- La pièce dédiée à la boulangerie, évocation du temps de la boulangerie artisanale.
LE BLE NOIR
On ne broie plus ici que du blé noir.
Le blé noir, qu’on appelle aussi le sarrasin est une céréale qui n’en est pas une !
De la famille des polygonacées et non pas des graminées comme le blé ou l’orge, il se distingue par l’aspect de ses feuilles pointues en forme de coeur et l’absence d’épis. Ses tiges rameuses rougissent quand les fruits mûrissent et, à maturité, ses graines deviennent gris noir, ce qui lui a valu son nom !
Le blé noir est semé de fin avril à fin juin pour être récolté de septembre à octobre. Très rustique, c’est une plante qui supporte les terres pauvres et acides : c’est aussi pour cette raison qu’elle a été très cultivée autrefois.
Introduite en France au XVe siècle, elle se développe en Bretagne, prend de l’importance au XIXe puis sa production s’effondre complètement au XXe siècle en raison de son très faible rendement (8 à 15 quintaux à l’hectare).
Base de la nourriture de générations entières de paysans, sa farine sert à fabriquer les galettes de blé noir (que certains appellent des crêpes) et la bouillie de blé noir.
Autrefois mangées simplement avec du beurre, les galettes se dégustent maintenant accompagnées de fromage, de légumes ou de viande…
Au moulin du Pont, la farine de blé noir est encore produite à partir de sarrasin cultivé dans la région. La mouture est réalisée à la meule de pierre et sa farine est utilisée dans la fabrication des délicieuses galettes que l’on peut déguster lors des fêtes du moulin.
La production du moulin s’établit à près de 2 tonnes par an. Pour obtenir une excellente qualité, le blé noir est stocké pendant un an au premier étage du moulin.
Profitant d’une éclaircie, notre animateur nous fait faire le tour du propriétaire, ce qui nous permet de découvrir la Chère, le bassin de rétention et d’admirer l’immense roue en pleine action.
André Coulon nous donne ses dernières instructions pour atteindre le restaurant « La Diligence » où nous attend un excellent repas.
Le temps devenant plus clément, nous reprenons la direction des Forges de La Hunaudière.
Généralités

La fonderie est un des procédés de formage des métaux les plus anciens. II consiste à couler un métal ou un alliage liquide dans un moule reproduisant une pièce donnée, formes extérieures et intérieures. II s'agit d'une part de fabriquer un moule d'après le dessin d'une pièce et d'autre part, d'élaborer un métal liquide correspondant à la destination de la pièce.
La fonderie est une des industries de base de la métallurgie, elle est souvent méconnue parce que ses réalisations, insérées dans des ensembles,
n'apparaissent pas directement. Ses possibilités sont immenses, il n'y a aucune limite théorique au poids et à la forme des pièces. La gamme des
métaux et alliages utilisables est considérable. Les tolérances dimensionnelles sont serrées, atteignant le dixième et, dans certains cas de fonderie de précision, le centième de millimètre. Les pièces présentent de bons aspects de surface et souvent ne nécessitent aucune opération de finition.
Le Moulage au sable
Le processus général d'élaboration d'une pièce de fonderie comprend lesétapes suivantes:
1) Réalisation par le bureau d'étude de fonderie d'un dessin de la pièce à réaliser en tenant compte des règles et contraintes propres à la fonderie.
2) Confection par l'atelier de modelage, à partir de ce dessin, d'un modèle représentant la pièce à fabriquer. Ce modèle peut être réalisé en bois, en plâtre ou en résine, il peut comporter une ou plusieurs pièces suivant la forme et la complexité de la pièce à réaliser. Ses dimensions seront légèrement supérieures au dessin pour tenir compte du retrait du métal au refroidissement.
3) Le modèle est ensuite utilisé par le mouleur pour réaliser le moule, c'est à dire l'empreinte en creux de la pièce dans du sable, contenu dans un cadre appelé châssis.
4) Le modèle est retiré du moule et le châssis est refermé.
5) Le métal ayant été porté à sa température de fusion dans un cubilot ou dans un four, est versé dans le moule par un système de coulée aménagé dans le moule par le mouleur. C'est l'opération de coulée.
6) Après refroidissement, la pièce est démoulée (décochage). Cette opération entraîne la destruction du moule, mais le sable est en grande partie réutilisé. La pièce est nettoyée, ébarbée pour la débarrasser des excédents de métal, en particulier celui dû au système de coulée ; elle peut recevoir un traitement thermique ou un traitement de surface.
7) La pièce est alors présentée au contrôle.
Le sable
La matière première utilisée est du sable silico‑argileux naturel où l'argile humidifiée joue le rôle de pâte englobant les grains et les agglomérant entre
eux. Utilisé tel quel, il est appelé sable vert. Aujourd'hui on utilise du sable à l'huile synthétique.
L'empreinte laissée par le moule peut être chauffée à la flamme avant la coulée pour lui donner plus de résistance.
Pour la réalisation de grosses pièces (>80 kg), le mouleur utilise du sable à prise chimique, sable mélangé à une résine et à un catalyseur.
Les alliages utilisés en fonderie
La découverte de fonderie comme procédé de reproduction d'objets en métal remonte à 5.000 ans avant notre ère. Les premiers métaux fondus, puis coulés, furent ceux que l'homme pouvait trouver sur ou dans le sol à l'état natif : l'étain, le cuivre, le plomb, l'or.
Environ 2.000 ans avant notre ère, les premiers métallurgistes découvrent les bronzes et les laitons obtenus par fusion simultanée de cuivre et d'étain ou de cuivre et de zinc, alliages se prêtant particulièrement bien au moulage.
La réduction du minerai de fer en métal dans des bas‑fourneaux remonte au 15e siècle avant notre ère, mais le fer ainsi obtenu ne pouvait être fondu, faute de moyens permettant d'obtenir une température suffisante: le fer fond à 1 538°C. II é tait travaillé et façonné par martelage à chaud. Ce n'est qu'au 14e siècle que la découverte du haut fourneau permit l'obtention de la fonte.
La fonte est un alliage de fer et de carbone qui fond à environ 1.300°C et se prête particulièrement bien au moulage.
De nos jours les fontes, les bronzes, les alliages d'aluminium sont les métaux les plus utilisés en fonderie.
D'autres matériaux se prêtent également bien au moulage après fusion, on peut citer, en particulier, les matières plastiques. La plasturgie utilise pour la fabrication des pièces moulées des procédés et des techniques très voisines de celles de la fonderie.
Les divers procédés de fonderie
La technique du moulage au sable et les procédés qui en découlent directement sont encore largement utilisés de nos jours.
L'inconvénient majeur du moulage au sable et de ses dérivés est la destruction inévitable du moule lors du décochage et, de tous temps, on s'est efforcé de réaliser des moules capables de supporter plusieurs coulées consécutives.
La Fonderie dans le Pays de Châteaubriant
Dans le Pays de Châteaubriant, la sidérurgie est une longue tradition qui, commencée avec les premiers bas-fourneaux celtes au 5e siècle avant notre ère, s'est poursuivie du 18e au 19e siècle avec les grandes forges seigneuriales au bois.
La première fonderie de seconde fusion a été créée à Châteaubriant en 1856 par un mouleur entreprenant, Amand Franco. Le fils de celui-ci, ingénieur des arts et métiers, lui a donné un essor considérable et, au début du 20e siècle, elle était considérée comme une des meilleures fonderies de l'ouest de la France.
Vendue en 1929 à Paul Huard, fabricant de machines agricoles qui a fait de Châteaubriant la capitale de la charrue, elle existe encore aujourd'hui, à l'emplacement de sa création, sous le nom de FOCAST et appartient aujourd'hui au groupe VALFONT.
Pour nous, anciens d’IBM, il s’agit d’un nom bien connu puisque HUARD, puis FOCAST étaient parmi nos Clients.
En 1929 Jules LEROY, qui était commis à la fonderie Franco, crée sa propre entreprise qui, après diverses évolutions, est devenue la FMGC et a connu un développement considérable sous l'impulsion de Gérard Piflet qui en était le Président Directeur Général jusqu'au début de l'année 2000.
Elle est implantée à Hochepie sur la commune de Soudan. Ces deux établissements qui comptent respectivement 310 et 330 employés sont actuellement en expansion.
Les animateurs nous ont d’abord rappelé l’histoire du site (que nous avons parcouru, guidés par l’un des bénévoles très documenté), puis les secrets du moulage par un expert, ancien de la Fonderie Huard. Nous avons ensuite pu observer tout le cursus, depuis l’élaboration des moules à partir de l’empreinte de la pièce, provenant par exemple d’un véhicule ancien, ou d’un modèle en bois, parfaitement poli. Le moulage comprend alors 2 coquilles opposées. Ces coquilles sont réunies dans des coffrets, prêts à recevoir la coulée. Pendant ce temps, le métal brut est porté à son degré de fusion, les scories et laitiers sont retirés. Nous avons eu le plaisir d’assister à la coulée qui consisteà verser le métal en fusion dans les orifices pratiqués dans la coquille supérieure.
Après un « certain temps de refroidissement », nous avons assisté au démoulage, moment particulièrement convivial entre ces anciens professionnels bénévoles et les Briscards admiratifs et particulièrement curieux.

Une journée en plein air, avec un peu de pluie et de vent puisqu’il en est ainsi en ce mois de juin 2012, un rendez-vous que certains regretteront d’avoir manqué car il fut très instructif et dans une bonne ambiance.
Bonnes vacances à toutes et tous et au 20 septembre sur la Loire pour la Croisière vers Saint Nazaire...
INFOS

Version électronique de l'IB imprimé Téléchargement de l'IB

Mise à jour de l'annuaire ..........Jean Claude BEASSE jean-claude.beasse@orange.fr

Information pratique Pour les golfeurs et mathématiciens

Sites à découvrir .....Histoire de France > La digue de Cherbourg CLIQUEZ

 
PROCHAIN RDV LE 20 SEPTEMBRE LES 20 ANS DES BRISCARDS
Gérard Genais nous propose : une Croisière sur la Loire

Durant votre croisière, vous descendrez la Loire, guidés par les conférenciers d'ECOPOLE, et découvrirez au fil de l'eau les aspects de ce fleuve majestueux. Notre bateau vous fera découvrir les patrimoines industriel,économique et écologique de la Loire :
· Trentemoult (ancien village de pêcheurs et de marins)
· Basse Indre (ancienne île)
· Fonderie d'Indret
· Tour à plomb de Coueron (classé patrimoine historique)
· Le canal de la Martinière, qui servait autrefois de passage aux plus gros navires
remontant la Loire
· Les zones naturelles
· La centrale EDF de Cordemais surplombant la Loire, l'une des plus importantes
centrales thermiques d'Europe
· Paimboeuf.
· Passage devant les oeuvres d'Estuaire 2007/2009/2012
Puis passage devant les ports de commerce de Donges, Montoir et St Nazaire Arrivée à Saint-Nazaire à 12 h 30. Vous profiterez d’une escale libre de 4 h pour découvrir le port et ses alentours.
Suggestions de visite :
· Déjeuner dans l'un des restaurants du port
· Balade le long des quais ou farniente à la plage, Saint Nazaire s/Mer (plage-mémorial)
· Découverte de l'univers des paquebots à Escal Atlantic, du sous-marin l'Espadon ou de l'Ecomusée de l'histoire maritime du port de St Nazaire (à 10 mn à pied de l'embarcadère).
Retour : départ de Saint Nazaire à 16 h 30, arrivée à Nantes vers 19 h 00.
Maximum 40 personnes
Pour les inscriptions en raison de deux acomptes importants ( 970 euros) demandés par les prestataires de services, une fois n’est pas coutume les inscriptions ne seront prises
qu’accompagnées d’un chèque de 30 euros par personnes.

Prix de la sortie 55 euros Inscriptions comme à l’accoutumé Avant le 2 septembre
dans la limite des 40 places réservées, au delà les inscriptions seront en liste d’attente

Menu
Salade terre-mer
magret,
assiette gourmande.
Kir Breton I/4 de Vin et Café

En attendant septembre bonnes vacances à tous

PROCHAINE REUNION MICRO LE Date micro

H.B.T.Y. !

Passer la souris une seule fois sur la liste des noms
pour faire défiler les portraits
Claude BARDIN
Claude CHARTIER
André CORLAY
Henri de DARASSUS
Gérard GENAIS
Jean Louis GOURDON
Daniel LESAGE
Jeannine MARSOLLIER
Michèle PAPON
Michel PLOQUIN
Monique SALMON

 

Fonds de Placements

A
B
C
D
F
G
H
30.05
50.20
58.43
35.92
38.42
41.78
51.61
CARA Ouest - Les BRISCARDS
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
Téléphone 02 40 72 03 53


E-mail: lesbriscards@lesbriscards.fr
Site: http://www.lesbriscards.fr
Conception/Rédaction : Les Briscards
Réalisation : Les Briscards
Impression : Studio de la Tullaye
Copies :
Publi. Copies