Les BRISCARDS - CARA Ouest
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
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Directeur de Publication : Gérard Genais
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Alain Lanceau
Diffusion : Gérard Mérel
WEB & MISE EN PAGE : Pierre Copine

Numero : 136
Date : 19 JANVIER 2012

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Le bureau vous souhaite une très bonne année 2012. Ambiance toujours aussi chaleureuse dans le cadre magnifique du Château de SAZ.
Les conversations allaient déjà bon train dès les cafés-croissants d'accueil et l'échange des bons voeux pour débuter cette vingtième année des Briscards.
Puis le dense auditoire se laissa captiver à l'écoute de notre Briscard-Fellow et non-moins Franc-Maçon, Jean Rudich. Son discours enrichissant suscita de nombreuses et pertinentes questions, qu'il fallut cependant interrompre pour notre traditionnel déjeuner de nouvel an.
Nous remercions les organisateurs du jour, en particulier Annick Corlay et Laurent Royaux, le conférencier Jean Rudich, et le beau geste du Grand Echanson Bertrand et de son Beau-frère Lugonnais.
Une année qui démarre bien............................... G G

 

REUNION DU 19 JANVIER

Présent(e)s : Robert Bareau, Yves Berthelot, Jeanine & Claude Chartier, Pierre Copine, Annick & André Corlay, André Coulon, Bertrand de La Fourniere, Evelyne & Raymond Doré, Joëlle & Louis Drillet, Gérard Fontaine, Jacqueline Fourniguet, Annie Marie Paule & Jean-André François, Jean & Renée Freuchet, Alain & Mireille Gaignet, Danielle & Pierre Gallon, Annick & Michel Gaucher, Gérard Genais, Jean-Louis Gourdon, Jean Michel & Annie Hervy Cazeres, Michelle & Michel Lavaud, Annick & Gérard Le Pommelet, Josette Lebosse, René Lefaix, Anne & Bruno Jean Manchon, Alain & Jeannine Marsollier, Thérèse & Gérard Mérel, Marie-Henriette & Daniel Mergny, Denise & Jacques Monjoin, Arlette & Pierre Moreau, Jean Neveu, Jean-Pierre & Michèle Papon, Annie & Jean Paul Rennou, Bernard Rey, Jeannine & Michel Riault, Annick & Jean Paul Rocher, Jeanine & Laurent Royaux, Etienne
Schmit, Jacques Thibaud, Jean Rudich
Excusé(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Bernard Barbier, Jean Claude Beasse, Yves-Antoine Caillaud, Jacques Charrance, Jean-Claude Dardalhon, Jean- Claude Foucault, Jacques Gaudry, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Gilbert Lemerle, Daniel Lesage, Jean Marie, François Michaud, Paul Mustière, Anne Neuville, Jean Pellerin, Yves Petiteau, Christian Pottier, Jean Raynaud, Alain Rouault, François Tellier, Pierre Thomas, Henri Sourdin.
Absent(e)s: Claude Bardin, Roger Batard, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre, Daniel Corniglion, Henri de Darassus, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Alain Ducottet, Jean Claude Fasseu, Jean-Claude Fauvet, Michèle Figuiere, Antoine Gapihan, Jean Paul Jaumouillé, Annick Le Gal, Jean Yvon Leroux, André Loretz, Henri Maurice-Baron, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Michel Ploquin, Romain Prudor, Gisèle Renault, Dominique Ruesche, Monique Salmon, Joseph Simon
Participation: 63
Au repas annuel : 61

COMPTE RENDU DU JOUR

Au seuil de cette nouvelle année, n’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et ceux qui traversent des moments difficiles et qui n’ont pu être parmi nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements ainsi qu’à leurs proches.
Par une journée marquée par l’humidité, les Briscards ont réussià trouver le bon itinéraire pour accéder au Château du Saz où la réunion de Janvier avait été programmée.
A l’occasion de cette rencontre de janvier, était prévu le repas annuel et une organisation sans faille a été mise en place par Annick Corlay et réglée par le suivi constant de Gérard Mérel, notre trésorier notamment pour les inscriptions.
Dès l’arrivée, le souci de trouver une place de stationnement ne se pose même pas : un grand parking gratuit est à notre disposition.
S’il en était besoin, un petit réconfort nous est offert par les Briscards, le service assuré par le restaurant, permet d’entrer et de se congratuler, d’échanger ses voeux et de se mettre dans l’ambiance. Gérard nous annonçait 65 convives.

Suite à des soucis de santé, 4 n’ont pu se déplacer et se sont excusés. M. Erent, Directeur Régional, était absent car nommé à Paris comme Directeur commercial, Pierre nous apprend qu’il est remplacé par Gildas Mesnard.
Une fois réchauffé, nous montons ensuite à l’étage où la grande salle de réunion, équipée comme une salle de conférence, gracieusement mise à notre disposition, accueille l’assistance.
Notre secrétaire, Pierre COPINE, ouvre la séance en présentant ses voeux et ceux du bureau. Il passe la parole à Gérard GENAIS, notre Président des Briscards, qui renouvelle ses voeux et nous présente le conférencier du jour, en l’occurrence, Jean RUDICH, déjà bien connu des Briscards.
Avant son intervention le point est fait sur les futurs rendez-vous :
16 février : organisé par Henri SOURDIN, avec la collaboration de l’Association AGIRabcd pour une remise à niveau audiovisuelle des règles de conduite et du Code de la Route. (Salle du Tertre, impasse de la Hache ancienne poste, Carquefou). Le programme s’étale sur la journée, mais il est possible de quitter la réunion en fin de matinée (voir  ). La restauration est prévue.
15 mars : à la Paquelais, visite de l’Echo-Musée, du Moulin à blé, où nous pourrons fabriquer notre propre pain. Un repas traditionnel campagnard fait partie du programme. Nous serons pris en charge par les guides bénévoles de l’association.
19 avril : en cours d’étude.
24 mai : organisé par les Angevins, DOUE LA FONTAINE (visite du Zoo et des attractions dont le Chemin de la Rose)
21 juin : organisée par André COULON, visite d’un moulinà eau, toujours en fonctionnement, à SION les Mines, à 50 km au nord de Nantes.
Septembre, à l’occasion des 20 ans des Briscards, NOUS ATTENDONS VOS IDEES !
Jean Rudich est tout de suite très clair. Il se déclare Franc-Maçon : il a été initié et reçu dans une loge régulière. Ses propos ne sont pas placés sous le sceau du secret, puisque le secret maçonnique n'existe pas, et seule la discrétion s'impose.
Son intention aujourd'hui est de tordre le cou aux différentes allégations que l'on trouve dans la presse, dans certains livres, dont l'inénarrable Franc-Maçonnerie pour les Nuls, ou autres interviews télévisées, en particulier du très contestable Alain Poher, ancien Grand Maître du Grand Orient de France
et super conseiller du président de la République actuel.
Les loges maçonniques peuvent être divisées en deux groupes :

les loges régulières qui proclament la croyance à Dieu, le grand architecte de l'univers, les loges irrégulières qui ne se disent pas forcément athées ou libres penseurs, mais refusent toute allégeance à une religion.
C'est dans ces dernières que l'on retrouve une majorité de membres du parti socialiste même si, depuis quelques mois, M. Xavier Bertrand, de l'équipe du président Sarkozy, y a été initié.
La définition que l'on peut donner à la Franc-Maçonnerie est la suivante : Organisation fraternelle et initiatique dont les membres ont pour but d’oeuvrer aux progrès de l'humanité.
Aujourd'hui, se substituent les Francs-Maçons spéculatifs (réflexions philosophiques), aux Maçons Opératifs, constructeurs des cathédrales, mais poursuivent le même but : celui de se rapprocher du Grand Géomètre, le Grand Architecte de l’Univers, qui porte le nom d’Adochem, Dieu ou Allah.
Ainsi, pour un franc-maçon régulier, la croyance en Dieu est la première règle. Les loges régulières, majoritaires dans le monde entier, sont soumises aux règles édictées par la Grande loge d'Angleterre: « Croyez-vous en Dieu ? » est la première question qui sera posée aux postulants.
La franc-maçonnerie dans sa forme actuelle remonte à 1717, année de la fondation de la Grande Loge de Londres. En 1723 le pasteur James Anderson codifie les anciennes chartes des métiers de la construction, qui trouvent elles-mêmes leurs origines au Moyen Âge. À cette époque, tant en Angleterre qu'en France, les bâtisseurs et constructeurs se regroupaient en confréries d'artisans privilégiés appelés franc-mestiers. Le mot« franc » signifie ce qui est libre par rapport à ce qui était servile. Il désigne tout individu libre ou tout bien exempts de redevances et de servitude aux droits seigneuriaux. Le français était alors la langue officielle mais apparaissaient déjà les termes freemasons, maçon de franche pierre (Pierre franche).
Le franc mestier introduisait également une connotation d'honnêteté et de qualité. Le franc-maçon est donc par principe un homme libre et de bonnes moeurs. Les francs métiers prennent leur essor avec l'appui des ordres religieux. Ces ordres leur confient la construction de routes, de ponts démolis et de forteresse. Les Templiers, jusqu'à la mort sur le bûcher du Grand Maître Jacques de Molay, en 1314, puis les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, plus tard appelés Chevalier de Malte, seront un fort soutien pour ces corporations.
Les métiers de la construction au Moyen Âge et à la Renaissance sont donc profondément chrétiens. Chaque confrérie a son saint protecteur. En Allemagne, on trouve 4 saints couronnés Sivère, Sylvérien, Corpophore et Victorien, martyrisés sous Dioclétien pour avoir refusé de réaliser la statue d'une divinité païenne.
Plus généralement, le culte traditionnel va aux deux saints Jean, le Baptiste et l’Evangéliste, annonciateurs de la lumière. Le symbole réside dans ce que, comme eux, les francs-maçons sont à la recherche de la lumière, donc de Dieu.
Rites d’initiation
Le culte professionnel, qui va de pair avec le culte spirituel, a conduit à l'instauration de rites d'initiation.
Avec les Croisades, le Temple de Salomon, à Jérusalem, devient un symbole particulièrement populaire en Europe et constitue le modèle du temple chrétien dont l'église romane est, selon Saint-Bernard, la préfiguration parfaite.
Alors qu'en Angleterre, au début du XVIIIe siècle, la franc-maçonnerie traditionnelle et vivante, en France et en Allemagne, les confréries, suspectée de fomenter des désordres et des factions, se heurtent à l'hostilité des pouvoirs civils et religieux. Elle se referment sur elles-mêmes et opèrent dans une grande discrétion. C’est alors que les Chartes d'Anderson apportent un renouveau sensible de la franc-maçonnerie dans le monde.
En France, des loges de source écossaise, que l'on doit aux Stuarts réfugiésà Saint-Germain-en-Laye et au Régiment des Gardes Royales irlandais, pratiquent des rites dits "écossais anciens". Elles vont connaître un développement prodigieux. Tous les grands noms de France y figurent aux côtés des diverses classes sociales, noblesse, clergé, homme de lettres, bourgeoisie, tous des hommes aspirant à la liberté en réaction contre le règne despotique, et curieux des cinq institutions anglaises que vante Montesquieu.
Des 1771, on compte 154 loges à Paris, 322 en province, et 21 loges de régiments.
Les femmes, qui faisaient l'opinion en ce siècle de la grâce et de l'esprit, seront au premier plan : les loges d'adoption, contournant la règle interdisant d'admettre les femmes à l'initiation, auront à leur tête la Duchesse de Bourbon, la Princesse de Lamballe.
Lafayette, initié en 1775, dans la loge la candeur, reviendra d'Amérique couvert de gloire mais avec la parole et l'engagement maçonnique de George Washington : "un jour, les États-Unis d'Amérique viendront au secours de la France" Parmi les signataires de la déclaration d'indépendance en 1776, 50 des 56 étaient maçons.
George Washington, élu président, prêta serment sur la Bible sur laquelle il avait fait son serment d'initiés.
La part de responsabilité de la franc-maçonnerie dans la révolution française a été fort discutée : liberté, égalité des droits, fraternité humaine sont des idéaux de philosophie auxquels adhèrent les francs-maçons. Les années troubles, la terreur, conduiront de nombreux maçons à l’échafaud,à l'exil ou, au mieux, au retrait discret.
Il faudra attendre 1799 pour que l'Ordre soit reconstitué sous le titre de Grand Orient de France, tandis que les loges écossaises se constituent en Suprême Conseil de France et continuent à pratiquer le rite écossais ancien, à la base de l'actuel Grande Loge Nationale Française.
Un concordat fut tenté mais les accords furent violés par le Grand Orient et dès 1806, la séparation et la rivalité furent définitives.
Sous l'empire, Napoléon protégea la franc-maçonnerie qui le servitégalement tout au long de son règne. La majorité des officiers, des maréchaux (Lefebvre, Mortier, Masséna, Murat, Kellermann Bernadotte) étaient maçons. Ils créèrent partout des loges sur leur passage. Les frères de l'empereur ainsi que Joséphineétaient des initiés. Après 1815, la franc-maçonnerie se rallie aux Bourbons et une importante évolution se dessine. Les bulles du Pape s'appliquent en France catholique aux Francs Maçons qui, peu à peu, sous peine d'excommunication, désertent les loges. En contrepartie, se recrutent de plus en plus des initiés parmi les bourgeois voltairiens, les israélites, les protestants. Tous sont déjà touchés par l'idéologie républicaine. Napoléon III agira comme son oncle à l'égard de la francmaçonnerie. Mais avec la IIIe République, le libéralisme anticlérical se reflète de plus en plus dans l'évolution des loges, alors que l'Eglise se montre au contraire conservatrice et monarchiste. En 1877, le pasteur Frédéric Desmons (qui deviendra président
du Sénat), est alors membre du Grand Orient, fait supprimer de la constitution de cette obédience l'article premier qui fixait comme principe de la maçonnerie l'existence de Dieu et de l'immortalité de l’âme.
La conséquence en fut la séparation du Grand Orient du corps maçonnique universel et la rupture de ses liens fraternels avec des obédiences régulières.
Le 13 août 1940, une loi décrétée par le maréchal Pétain interdit toutes les sociétés dites secrètes et bien entendues, toutes les obédiences maçonniques. Leurs dignitaires se voient d’ailleurs appliquer le statut des juifs.
Durant cette période douloureuse, les nazis en France ont tenté de se servir de l'initiation maçonnique pour conférer au nazisme une apparence de bon aloi.
En 1943, depuis Alger, une ordonnance signée par le général De Gaulle porte sur l'annulation de la loi de Vichy. Il est vrai que les alliés britanniques ont dû peser sur sa décision quand on sait que Winston Churchill et de nombreux officiers du haut état-major britannique étaient des francs-maçons.
Comment devenir franc-maçon
Tout d’abord, la règle consiste à démasquer et rejeter les curieux, les affairistes, les éventuels provocateurs.
Entrer en maçonnerie, c'est manifester la volonté de travailler sur soimême, de transformer "la pierre brute en une pierre polie", qui, une fois aboutie, trouvera sa place dans l'ensemble de l'ouvrage.
Dans la plupart des cas le candidat aura été approché par une« relation » qui estimerait avoir trouvé en lui des valeurs pouvant encourager son admission. Le Vénérable de Loges fera d'abord part de la candidature à l'ensemble de l'Atelier et demandera si quelqu'un connaît déjà le demandeur. Il sera ensuite procédé à trois ou quatre enquêtes. Des maîtres désignés y rencontreront le profane pour des entretiens "à bâtons rompus". Ces entretiens feront l'objet d'un rapport qui sera examiné en Conseil des Maîtres. Il sera alors décidé
d'entendre le profane « sous le bandeau ». Invité à se présenter en séance plénière de la loge, il devra répondre aux questions qui lui seront posées afin de déterminer la qualité de ses sentiments humains, ses valeurs et ses idéaux. Afin de préserver l'identité des francs-maçons présents ainsi que le lieu exact de l'atelier et son aménagement rituel, ses yeux seront recouverts d'un bandeau. Le Conseil des Maîtres décidera ensuite quelle suite donner à la candidature.
Le profane accepté viendra à une cérémonie d'initiation en présence de tous les bancs de loges.
Initié, il pourra progresser d'apprenti en compagnon, puis en maître, occupant peu à peu les différentes fonctions dans une loge que, selon la formule, "trois la dirigent, cinq l’éclairent et sept la rendent juste et parfaite".
Les obédiences en France.
On estime le nombre de maçons à 180 000 initiés répartis dans 30 loges reconnues. On retiendra :
Le Grand Orient, la plus importante et la plus ancienne obédience laïque, avec 50 000 adhérents pour 1100 loges. Le serment est prêté sur la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen.
La Grande Loge Nationale française avec 44 000 membres pour 260
loges. Croyance en Dieu et serment sur la Bible exigée.
La Grande Loge de France, 753 loges pour 28 000 membres, née d'une scission avec la précédente.
Le Droit Humain, 640 loges pour 21400 membres, créée en 1894, et la première obédience mixte et travaille au respect de la dignité humaine.
La Grande Loge Mixte de France, 188 loges et 4000 membres.
La Grande Loge Féminine, 370 loges et 4000 membres.
La Grande Loge Traditionnelle et Symbolique Opéra, 4000 membres pour 300 loges. On y reconnaît les autres obédiences, on y pratique une maçonnerie traditionnelle et on y interdit les discussions politiques ou religieuses, tout en exigeant la croyance en Dieu et les travauxà la gloire du Grand Architecte de l'Univers.
À titre indicatif, aux États-Unis, 50 grandes loges dites régulières sont reconnues et rassemblent plus de 2 millions de membres.
........................................................................................................................CETTE SEMAINE DANS LE POINT


Les réactions passionnées et le nombre de questions posées par l’auditoire ont montré combien le sujet intéressait… et les briscards par leurs applaudissement nourris montrèrent leur satisfaction.

Un apéritif suivait, excellent sauvignon sélectionné par André CORLAY, a régalé et délié les langues des participants.
A 13 h 15, nous passions à table autour d’un repas très apprécié, arrosé du sauvignon d’André suivi du Château de Pardaillan, fourni par Bertrand de La Fournière.

Cerise sur le gâteau : le propriétaire du Château de Pardaillan et Bertrand lui-même, offrent ce nectar aux membres présents. Un tonnerre d’applaudissements saluait cette initiative heureuse.
Après le repas, les discussions se prolongèrent dans la même chaude ambiance.
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