Présent(e)s : Robert Bareau, Danielle & Pierre Copine, Annick & André Corlay, Bertrand
de La Fourniere, Gérard Genais, Annie Hervy Cazeres, Jean Marie, Gérard Mérel,
Marie-Henriette & Daniel Mergny, Jacques Monjoin, Henri Sourdin, Jacques Thibaud,
Excusé(é)s: Yves Berthelot, Yves-Antoine Caillaud, Claude Chartier, Jean-Luc Chauvin,
André Coulon, Jean-Claude Dardalhon, Raymond Doré, Jean-Claude Foucault, Jean-
André François, Renée Freuchet, Michel Gaucher, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon,
Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne
Lannic, Gérard Le Pommelet, Daniel Lesage, Bruno Jean Manchon, Jeannine Marsollier,
François Michaud, Anne Neuville, Jean Pellerin, Bernard Rey, Laurent Royaux, François
Tellier, Pierre Thomas, Allain Verhoeven,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Bernard Barbier, Claude Bardin, Roger Batard,
Jean Claude Beasse, Roger Billy, Jacques Charrance, Adrienne Cloitre, Daniel Corniglion,
Henri de Darassus, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Louis Drillet,
Alain Ducottet, Jean Claude Fasseu, Jean-Claude Fauvet, Michèle Figuiere, Gérard
Fontaine, Jacqueline Fourniguet, Mireille Gaignet, Pierre Gallon, Antoine Gapihan, Jean
Paul Jaumouillé, Michel Lavaud, Annick Le Gal, Josette Lebosse, René Lefaix, Gilbert
Lemerle, Jean Yvon Leroux, André Loretz, Henri Maurice-Baron, Pierre Moreau, Paul
Mustière, Jean Neveu, Michel Paineau, Michèle Papon, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau,
Michel Ploquin, Christian Pottier, Romain Prudor, Jean Raynaud, Gisèle Renault,
Jean Paul Rennou, Michel Riault, Jean Paul Rocher, Alain Rouault, Dominique Ruesche,
Monique Salmon, Etienne Schmit, Joseph Simon,
Participation: 15
Au déjeuner: 13 dont nos deux intervenants
|
N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et
ceux qui traversent des moments difficiles et qui n’ont pu être parmi nous. Nous leur prodiguons tous nos encouragements
ainsi qu’à leurs proches. |
Les Radioamateurs |
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Après l’installation laborieuse d’une antenne géante et de la
station, Gérard Genais nous rappelle que dans bien des cas, nos
propres démonstrations se montraient récalcitrantes…
Pierre Copine nous présente Michel Halabi, président de la section
des Radioamateurs du 44., accompagné de André
Cordier.
Il y a des radioamateurs depuis que la radio, qui s’appelait
TSF (télégraphie sans fil) existe, c’est-à-dire depuis
la fin du XIXème siècle.
Historiquement, les grandes découvertes de l’homme
ont conduit celui-ci à la recherche de la communication
et donc de la radio. |
|
TRES BREF HISTORIQUE
L'histoire des ondes courtes et celle du radioamateur
sont étroitement liées. Quand, au début du siècle, on produisit les premières
ondes électromagnétiques, ce phénomène attira aussitôt les esprits
scientifiques. Très vite, on constata que la portée de ces ondes diminuait
rapidement avec la longueur d'onde. Il fut admis qu'en dessous de 200 m
les ondes courtes étaient inutilisables. C'est ainsi que les amateurs furent
autorisés à utiliser ces longueurs d'ondes.
Multipliant les essais, les amateurs constataient que parfois leurs émissions
couvraient des distances inhabituelles. C'est ainsi qu'en 1921 desémissions d'amateurs américains furent entendues en Europe. Ce fut même
le médecin français Léon Deloy (8AB) qui réalisa la première liaison
transatlantique en communiquant avec l’américain Fred H Schnell, le 26
novembre 1923.
Dès lors les succès se multiplièrent : liaisons établies entre des points de
plus en plus éloignés, utilisation d'ondes de plus en plus courtes. A partir
de 1925, les stations officielles procèdent à des essais sur des ondes inférieuresà 100 mètres et commencent à y écouler du trafic commercial. |
Le service amateur, c’est quoi ?
Chargée de la réglementation et de la planification des télécommunications
dans le monde, l'Union internationale des télécommunications
(U.I.T.) donne les définitions concernant la radio d'amateur.
Service d'amateur : « Service de radiocommunication ayant pour objet l'instruction individuelle, l'intercommunication et les études
techniques, effectué par des amateurs, c'est-à-dire par des
personnes dûment autorisées, s'intéressant à la technique de la
radioélectricité à titre uniquement personnel et sans intérêt pécuniaire
».
Service d'amateur par satellite : « Service de radiocommunication
faisant usage de stations spatiales situées sur des satellites
de la Terre pour les mêmes fins que le service d'amateur ».
Radioamateur : « Opérateur possédant certaines qualifications
techniques et opérationnelles minimales pour assurer l’exploitation
correcte d’une station d’amateur ou d’amateur par satellite
».
L’émission d’amateur est devenue une activité scientifique
qui permet, à ceux qui la pratiquent, d’établir des liaisons hertziennes
(radio) avec les radioamateurs du monde entier.
Elle permet d’acquérir des connaissances techniques dans
les domaines de la radio et de l’électronique et de développer
des liens d’amitiés entre amateurs de pays différents.
Le radio-amateurisme est une activité dirigée par des règles
et des règlements plus que dans la plupart des activités non
lucratives. Tout d'abord, les radioamateurs sont encadrés par
des règles opératoires établies par leurs gouvernements à propos
des fréquences, de la puissance et des limites opérationnelles.
Les radioamateurs disposent de bandes de fréquences harmonisées
au plan international et réservées à leurs services.
Chaque bande a des caractéristiques bien particulières. Certaines
bandes permettent des liaisons à l’échelle locale, d’autres, à
l’échelle mondiale. D’autres donnent de magnifiques résultats
pendant le jour et d’autres, encore… pendant la nuit, par réflexion
des ondes courtes sur les couches ionisées de l’atmosphère
(bandes HF).
Certaines bandes permettent des liaisons régulières, dans
un rayon de 2 à 300 kilomètres (bandes VHF), d’autres ne permettent
les liaisons que si les deux correspondants, ou plus
exactement, si les deux stations sont pratiquement en vue directe
(bandes SHF), donc à plutôt courte distance.
|
Combien sont-ils?
À l'opposé, des pays comme la Tunisie, Vanuatu ou le Laos, ne comptent que
deux ou trois licenciés.
Seuls la Corée du Nord et le Yémen n'autorisent pas le radio amateurisme.
Que font-ils ?
Pour communiquer, les radioamateurs ont utilisé et utilisent encore de nombreux
moyens de communication.
La télégraphie, grâce au code morse, a longtemps été le seul moyen qu’ils
avaient de se joindre, par radio.
La téléphonie, ou communication par la parole, est arrivée ensuite, en AM
(Amplitude Modulée) tout d’abord, puis en BLU (Bande Latérale Unique) et en
FM (Fréquence Modulée) ensuite.
Mais ils ont aussi utilisé des moyens plus évolués, tels que :
Le téléimprimeur (appelé encore radio télétype ou RTTY) : chacun dispose
d’un terminal et d’un clavier qu’il suffit d’activer pour que le destinataire reçoive le message.
La télévision : par un procédé analogue à celui utilisé par notre télévision de
tous les jours, le radioamateur peut transmettre, à distance, des images d’excellente
qualité, même en couleurs. |
|
Dans ce domaine, suivant de très près
les progrès technologiques, la transmission analogique laisse maintenant
largement place à la transmission numérique.
Les transmissions numériques : les moyens puissants de l’informatique permettent
la transmission de données entre radioamateurs. Le packet-radio des
années 80 qui, en utilisant le protocole TCP/IP, a permis de transmettre des
messages puis des fichiers (images ou programmes) à des vitesses plutôt
lentes (de 300 et 1 200 à 9 600 bauds a ouvert la voie à de très nombreux
modes numériques dont certains ont été créés par des radioamateurs.
Le trafic par satellite : Dès 1961, les radioamateurs ont construit des satellites
pour leur usage propre. Certains permettent de relayer les communications
des radioamateurs. Pour trafiquer à l'aide de ces satellites, les techniques
mises en oeuvre sont assez sophistiquées aussi bien dans la prévision
des passages que dans la poursuite des satellites avec les antennes. L’informatique
y joue un rôle essentiel.
La réalisation de chaque satellite amateur est gérée par un club généralement
issu des universités, écoles d’ingénieurs ou de l’industrie aérospatiale, et leur
lancement effectué bénévolement par les agences spatiales. Leur usage en
relais est ouvert à tous les amateurs disposant du matériel adéquat.
L'AMSAT, dont une section existe dans de nombreux pays, a pour mission
de faciliter l'accès aux communications par satellite pour les radioamateurs.
Il est à noter, également dans ce domaine, que des liaisons sont effectuées
régulièrement entre les radioamateurs de la station « ISS » et ceux du monde
entier. Un contact quasi constant est ainsi maintenu avec les cosmonautes
qui sont tous radioamateurs.
De même, ce sont les radioamateurs qui sont chargés d’établir les liaisons
de la station spatiale avec des écoles du monde entier.
L’EME (Earth-Moon-Earth - terre-lune-terre) est une communication
par réflexion des ondes radio, hautes et très hautes fréquences, sur la
Lune et ce, grâce à l’utilisation de grandes puissances et de groupements
d’antennes.
Le Meteor Scatter : Toujours à la recherche des procédés les plus modernes et les plus astucieux, certains radioamateurs communiquent entre eux en
dirigeant leurs antennes vers des essaims de météorites qui, agissant comme
un miroir, réfléchissent les ondes vers la Terre.
Les relais : Pour pallier le manque de propagation, ou les faibles possibilités
de liaisons, les radioamateurs conçoivent, fabriquent, installent et utilisent
des relais, surtout en VHF et UHF. Ces installations, construites par les amateurs,
couvrent tout le territoire. Ce moyen est surtout utilisé par les véhicules
en déplacement.
L’APRS (Automatic Packet Reporting System - système de transmission
automatique par paquets) est un système de radiocommunication numérique
qui permet le partage entre stations d'informations d'intérêt local. L'utilisation
la plus connue d'APRS est la transmission de la position géographique
des stations ou d'autres éléments liés à l'activité des radioamateurs.
APRS est fondé sur le même protocole que le packet radio, AX.25, la version
amateur de X.25.
Les expéditions : Un des buts des radioamateurs est de contacter le plus
grand nombre de radioamateurs possible, dans le plus grand nombre de
lieux et de pays possible. Certains pays, régions ou territoires n’ayant que
très peu de radioamateurs, certains radioamateurs font des expéditions qui
consistent à aller dans ces endroits du monde où il n’y a pas, en permanence,
de radioamateurs.
Ces endroits peuvent être une île déserte comme l’île française de Clipperton,
dans le Pacifique, à 1300 km du Mexique, ou une région désertique, ou
bien une région montagneuse. Ces radioamateurs émettent en direction du
reste de la Terre, afin de permettre aux radioamateurs qui sont à l’écoute,
de contacter l’endroit qu’ils n’ont encore jamais contacté.
La radiogoniométrie sportive : Des radioamateurs profitent de leur passion
pour assouvir également leur goût du sport. La radiogoniométrie sportive,également appelée « chasse au renard » dans sa version ludique, est une
course d'orientation chronométrée qui combine à la fois les techniques de
la radiolocalisation, l'utilisation de cartes topographiques, l'usage d'une
boussole et d'un équipement de radiogoniométrie composé essentiellement
d'un récepteur radio, d'atténuateurs et d'une antenne directive.
Les radioamateurs en cas de catastrophes : Les bandes radioamateurs sont
bien adaptées à une utilisation à bref délai dans les cas d'urgence. C’est
pourquoi l’Union Internationale des Télécommunications (U.I.T.), en 1979
dans sa résolution 640 (Règlement des radiocommunications), reconnaît
l’existence de vastes réseaux de radioamateurs disponibles dans les situations
d’urgence. L’U.I.T. prie instamment les Administrations d’utiliser les
ressources offertes par les radioamateurs en cas de catastrophe.
Les situations d’urgence sont un événement ou/et un ensemble de circonstances
survenant brutalement, de manière souvent inattendue et exigeant
une ou des actions immédiates. Dans la plupart des cas, pour ne pas dire
chaque fois, les structures radioélectriques sont détruites ou inopérantes, s’ils existent cependant, les éléments du réseau encore aptes au fonctionnement
sont totalement saturés.
Donner l’alerte, coordonner rapidement les secours, prévenir les complications…
requièrent des moyens de communication efficaces et de bonne
qualité.
Présents dans plus de 300 pays, c’est dans ce créneau que les radioamateurs
interviennent.
Comment devenir radioamateur ?
Les radioamateurs sont les seuls opérateurs de service radio ayant le droit
de réaliser leur propre équipement sans homologation technique. Ceci impose
un examen de niveau technique dans la plupart des pays pour éviter
les gênes ou brouillages aux autres services ainsi que les risques de sécurité.
L'âge moyen des radioamateurs est proche de 60 ans, beaucoup d'amateurs
obtenant leur licence entre 40 et 50 ans ou au début de la retraite.
Pour lutter contre ce vieillissement, un assouplissement de la licence permettant
d'opérer en novice avec un examen plus simple et des limites de
puissance et de bandes plus réduites a vu le jour dans la plupart des pays
pour encourager et rajeunir le radio amateurisme. En France moins de 1%
des radioamateurs a moins de 25 ans !
Le radioamateur doit obtenir un certificat d’opérateur qui traduit sa compétence
et un indicatif qui permet de l’identifier comme un utilisateur de
fréquences autorisé. Trois classes de certificat d'opérateur des services
d'amateurs ouvrant droit à l'exploitation de différentes bandes de fréquences
peuvent être obtenues en satisfaisant aux épreuves d'examen précisées.
Après réussite aux épreuves, le candidat recevra son certificat d’opérateur
des services d’amateurs et, s’il le souhaite, un indicatif.
Les indicatifs
L'indicatif, délivré par l'administration, est l'identifiant de la station d'amateur,
une sorte de numéro d'immatriculation, et l'opérateur certifié, responsable
de l'utilisation qui est faite de sa station, utilisera cet indicatif pour
transmettre. L'indicatif étant attaché à la station d'amateur, si un opérateur
autre (dit « occasionnel ») souhaite utiliser la station, il devra obtenir l'autorisation
de l'opérateur titulaire, puis, dans son trafic, utiliser l'indicatif de la
station qu'il opère, suivi de son indicatif propre.
C'est le cas lors de l'utilisation d'une station d'amateur de radio-club par
exemple. Chaque opérateur doit respecter les prérogatives (bandes de fréquence,
puissance, type de transmission) de son certificat personnel lorsqu'il
opère sur une station d'amateur. Il utilisera l'indicatif du radio-club
suivi de son propre indicatif lors des transmissions.
Les indicatifs sont constitués de trois éléments :
- le premier est représentatif du lieu déclaré pour l’utilisation de la station, (F pour France Métropolitaine - FG pour Guadeloupe - FM pour Martinique -
FR pour Réunion…) ;
- le second codifie la classe détenue par l’opérateur, (2 - 3 - 5 - 6 - 8 ou 9
pour la classe 1, 1 ou 4 pour la classe 2 et 0 pour la classe 3) ;
- le troisième est composé de deux ou de trois lettres qui permettent d'identifier
la station. (XY ou XYZ).
Les fréquences utilisées
Les radioamateurs peuvent émettre sur une vingtaine de bandes réparties
régulièrement sur tout le spectre radioélectrique. Ces bandes sont globalement
les mêmes dans le monde entier. Cependant, certaines ne sont allouées
aux radioamateurs que dans certaines régions UIT, d'autres voient
leurs limites modifiées selon la région. De plus, les législations nationales
peuvent induire quelques différences entre pays.
Les règlements de l'UIT définissent trois régions :
- Europe, Afrique, l'ouest du Moyen-Orient, le nord de l'Asie (UIT région 1).
- Amérique et Groenland, (UIT région 2).
- Océanie et Asie, (UIT région 3). |
L’utilisation des fréquences
Les ondes décamétriques (HF entre 1,8 MHz et 29,7 MHz) en particulier les
bandes historiques des 80 m, 40 m, 20 m, 15 m et 10 m, permettent des
liaisons lointaines par réflexion ionosphérique, selon la densité des couches
réflectrices, liée elle-même au cycle solaire d'environ 11 ans. Il y a donc des
pics de propagation et des creux, tous les onze ans, plus ou moins prévisibles.
Les bandes au-dessus de 30 MHz permettent surtout des liaisons à vue
optique, avec cependant de nombreuses propagations exceptionnelles, par
exemple sur la couche E sporadique, ou sur les essaims de météorites. La
plus utilisée est la bande 144 MHz–148 MHz (bande des deux mètres), où de
nombreux répéteurs (relais) amateurs permettent d'effectuer des liaisons
lointaines avec un matériel économique.
Les bandes situées au-dessus de 2 300 MHz sont très favorables à l'expérimentation,
tant pour la réalisation du matériel que pour les communications
entre points hauts à relativement grandes distances.
L'équipement d'une station
est très variable, selon le budget, la passion, et les possibilités du terrain ou
de l'environnement. Un débutant peut démarrer avec une antenne dipôle et
un émetteur-récepteur d'occasion, alors qu'une grosse station de club peut
représenter un capital et un volume considérables.
Les premiers amateurs devaient construire leur équipement entièrement,
mais leur nombre croissant a amené des constructeurs à proposer les matériels
de base pour HF et VHF. De plus l'évolution vers des modes de transmissions
plus complexes, bande latérale unique (BLU), RTTY, Packet, où les précisions de fréquence et les filtrages demandent des techniques complexes,
a fait que la majorité des amateurs utilisent du matériel commercial.
Les mordus des fréquences hautes, au-dessus de 2 300 MHz, doivent au
contraire réaliser en grande partie leur équipement, parfois à partir de
récupération. |
Le matériel de base est aujourd'hui un transceiver combinant émetteur et
récepteur, en bandes HF ou VHF, avec une puissance de 100 W environ.
En HF, il est parfois complété par un amplificateur linéaire de 500 W ou
1 000 W.
Malgré la prolifération de matériel commercial, certains radioamateurs
tiennent à fabriquer des appareils de leurs mains. On trouve également
des kits bien réalisés qui permettent de « faire chauffer le fer à souder ».
L’association nationale : le REF-Union
L’association Réseau des Émetteurs Français a été fondée à Paris en avril
1925. L'objet de l'association est de créer un lien amical entre les radioamateurs,
les écouteurs des bandes radioamateurs ou toutes personnes
s’intéressant aux activités radioamateurs et s’engageant à en respecter
les règles. C’est la section française de l'Union internationale des radioamateurs,
IARU, conformément aux décisions du premier congrès de
l'Union internationale des amateurs de TSF tenu à Paris du 14 au 19 avril
1925.
Elle a été agréée par le ministère de la défense sous le n° SAG 12 744 en
décembre 1927 et reconnue d'utilité publique par le décret du 29 novembre
1952, en mémoire des services rendus pendant la guerre par des radioamateurs.
Elle a été agréée par le ministère de l'éducation nationale,
de la jeunesse et des sports le 6 juillet 1964.
Elle regroupe, actuellement, environ 6 000 radioamateurs français.
Bien que l’exposé nécessite quelques développements techniques un peu
abstraits pour certains, bien qu’ils conviennent d’y avoir découvert beaucoup
d’intérêt, l’auditoire un peu restreint, (merci pour l’organisateur…),
ne manqua pas de poser de nombreuses questions… |
Comme de tradition, nos intervenants nous accompagnent au restaurant
l’Auberge de la Chohonière où, malgré un service un peu long en début,
la qualité du repas fut irréprochable.
Le temps imparti à la réunion ne nous a pas permis d’aborder les sujets
habituels. |
Présentation de Michel Halabi > cliquez |
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Version électronique de l'IB imprimé Téléchargement de l'IB
COMPTE RENDU DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DU 3 OCTOBRE à BORDEAUX
Présents : Michèle Alborghetti - Annie Andreoletti - Jean-Claude Blanc - Georges Cambuzat - Pierre Copine - Michel Dazelle - Christian Delcroix - Jean-Pierre Delmas -Gérard Desmettre - Raymond Devant - Michel Duval - Claude Gautier - Michel Gawron - Jacques Gros – Michel Henry – Jean-Marie Jason - Serge Perrot - Michel Prades - André Rodriguez - Daniel Sallé
Absents excusés : Michel Bennetier – Rémi Dupuis - Gérard Moireau .
La réunion démarre à 16h 15.
En l’absence de Rémi Dupuis absent pour raisons personnelles, Michel Dazelle vice président du CARA Sud-ouest souhaite la bienvenue à tous les participants.
Jacques Gros prend la parole en mettant l’accent sur la décroissance des adhérents (environ 5% par an). Il fait part de ses contacts avec les dirigeants de la compagnie IBM pour trouver des solutions de manière à sensibiliser les futurs retraités. Il est envisagé que la compagnie ou le CARA prennent en charge la première cotisation (20€) des nouveaux retraités, le conseil d’administration vote à l’unanimité pour que cette dépense incombe au CARA. Autre possibilité une préparation à la retraite pour mettre le CARA en valeur.
Puis commence le tour des régions :
Chaque président de région fait l’historique de ses adhérents sur les trois dernières années et donne l’état de ses finances. Les points particuliers abordés par chaque régions sont les suivants :
- Paris Nord : Michèle Alborghetti et Gérard Desmettre sont missionnés pour finaliser un flyer et une lettre de bienvenue que recevront les nouveaux adhérents au CARA. La dead line est fixée au 30 novembre 2011.
Michèle Alborghetti fait part de la création d’un lien internet entre les sites du CE Paris et le CARA Paris Nord. Elle a également pris contact avec le club photos du CE Paris pour que les caraistes puissent participer au concours photos.
- Centre-Est : Raymond Devant maintient que le meilleur moyen pour trouver des nouveaux adhérents est le bouche à oreille. Par ailleurs il ne briguera pas un nouveau mandat lors des prochaines élections.
- Sud-Ouest : L’organisation de la journée commémorant les 40 ans de l’usine de Bordeaux , a permis le recrutement de 52 nouveaux adhérents. Bravo Bordeaux !!!
Il faut maintenant faire preuve de créativité pour fidéliser ces jeunes caraistes. Michel Dazelle nous fait part également des problèmes de locaux que rencontre le CARA.
- Est : Michel Henry essaie de recruter par téléphone et fait part des difficultés qu’il rencontre avec l’ASISDI.
- Ouest : Pierre Copine a rencontré le directeur régional pour que lui soit communiqué les coordonnées des IBMer’s quittant la compagnie.
- Nord : Annie Andreoletti a pris contact avec le directeur régional. Elle pense avoir tout essayé pour recruter de nouveaux adhérents sauf peut être l’organisation d’un événement type Bordeaux. Lien créé avec le CE.
- Paris-Sud : André Rodriguez fait part de son inquiétude concernant les locaux. Au 1er décembre 2011 Altis récupère tous les locaux encore occupé par IBM sur le site d’Essonnes . Il cherche activement dans la région de Corbeil.
- Montpellier : Michel Gawron, a rencontré le directeur du site de l’usine qui lui a assuré son soutien jusqu’au moins en 2020. Il doit organiser un cocktail pour le centenaire d’IBM au cours duquel il remettra le livre.
- Orléans : Daniel Sallé organise un repas en fin d’année qui est la principale source de recrutement.
- La Gaude : RAS
Christian Delcroix trésorier du CARA fait un rapide tour d’horizon sur les finances du CARA en signalant que le montant des cotisations est stable par rapport à l’an dernier mais que les frais de fonctionnement sont en hausse.
En ce qui concerne le trop payé sur les livres du centenaire, chaque CARA recevra le remboursement éventuellement minoré des frais d’acheminement des livres.
Enfin Jacques Gros rappelle que les ayants droits du CARA peuvent être élus délégués régionaux.
Pour information il fait part également du lancement du "Cercle IBM des dirigeants d'entreprises « Alumni » qui se déroulera le 18 octobre à Bois-Colombes en présence d’ Alain Bénichou et de 80 dirigeants ex-IBMmer’s. Ce cercle indépendant s'appuiera sur le CARA pour le support (Une cotisation de 20 euros par membre sera reversée au CARA).
Pour clôturer ce conseil d’administration J.F. Pierron, directeur régional nous entretient sur les structures et la stratégie d’IBM en 2011 et se propose de nous aider à trouver de nouveau caraïstes.
La réunion prend fin à 19h30.
Un grand merci au CARA de Bordeaux pour son accueil chaleureux et l’organisation de ces deux journées.
Le prochain conseil d’administration aura lieu en 2012 à Bois-Colombes à une date qui reste à définir.
.............................................Le Secrétaire,Gérard Desmettre 11 octobre 2011 |
INFO MUTUELLE
QUAND FINIRA T’ON DE TRAIRE LES MUTUELLES ?
Voici un an, j’avais intitulé l’éditorial du bulletin de la Mutuelle : « Les Mutuelles sont-elles des vaches à lait ? ». Cela correspondait à la période à laquelle la loi de finance de la Sécurité sociale pour 2011 venait de décider de taxer l’ensemble des complémentaires-santé (assurances, institutions de prévoyance et « vraies » mutuelles) à près de 10% sur toutes les cotisations perçues.
Cette taxe se composait à l’époque du financement de la Couverture Maladie Universelle (CMU), de la prise en compte des vaccins contre la grippe H1N1 et de 50% de la Taxe Spéciale sur les Conventions d’Assurance (TSCA), taxe dont étaient dispensées jusqu’alors les complémentaires-santé qui respectaient les directives du contrat responsable.
Or dans le cadre de la recherche tous azimuts de réduction de la dette de l’Etat, le Gouvernement vient de décider de transformer ce 50% en 100%. La conséquence en est une taxation à partir du 1er octobre 2011 des cotisations des mutuelles, dont bien évidemment la notre, à hauteur de près de 13% ; ce qui devient intolérable pour beaucoup et va conduire certains à limiter leur accès aux soins ou à réduire leur couverture.
Face à cette situation, le Conseil d’Administration proposera à la prochaine Assemblée Générale de ne pas répercuter cette hausse sur les cotisations jusqu’à nouvel ordre.
Il est bien entendu que cette mesure ne pourra s’entendre que pour une période limitée car on ne peut sans risque puiser dans les réserves alors que dans le même temps, il est demandé à tous ces organismes de consolider leurs fonds propres afin de respecter les marges de solvabilité imposées par les Directives européennes connues sous le nom de Solvabilité II.
Certains Ministres et Députés vont même jusqu’à préconiser d’aller encore plus loin en créant un ISF pour les Mutuelles !
Le mouvement mutualiste vient de réagir face à toutes ces attaques et il a notamment lancé une pétition dont vous pourrez prendre connaissance sur le site http://www.mutualite.fr/.
Si vous souhaitez réagir face à cette nouvelle ponction dans vos poches, manifestez-vous par ce canal et/ou en agissant auprès de votre Parlementaire.
Je pense qu’il y va de l’intérêt de tous en notre qualité d’adhérents !
Michel Peiger - Président de la Mutuelle du Personnel IBM |
à découvrir
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PROCHAIN RDV LE 17 NOVEMBRE |
QUESTIONS POUR UN CHAMPION
à Vigneux de Bretagne sous la tutelle de Jean Rudich et Laurent Royaux |
Vous référez au mail reçu le 25 octobre et répondre à Gérard Mérel avant le 7 novembre |
PROCHAINE REUNION MICRO LE 25 NOVEMBRE |
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Fonds de Placements
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44.35 |
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34.42 |
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CARA Ouest - Les BRISCARDS
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
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