Les BRISCARDS
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
Association loi de 1901

 
 
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Directeur de Publication : Pierre Copine
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Alain Lanceau
Diffusion : Gérard Mérel
WEB : Pierre Copine

Numero : 120

Date : 20 MAI 2010

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Le voyage en autobus est un moment de franche cordialité : l’ambiance y naît pour toute la journée.
Les rives angevines de la Loire, sauvages et somptueuses ont captivé les regards. Le temps radieux s’y prêtait.
Le spectacle de la nature suscitait de joyeux propos et, comme à l’accoutumée, CloClo ne fut pas en reste.
Cette année se caractérise par un nombre de visites inhabituel.
Grand merci à chaque organisateur et, comme chaque année, aux Angevins : Pierre en tant que chef nous a encore concocté une sortie de qualité.
Comment a-t-il pu y convier le soleil ?..............................................................DM

 

REUNION DU 20 MAI 2010

Présent(e)s :Mireille & Robert Bareau, Roger Billy, Jean Michel & Annie Hervy, Patricia & Jacques Charrance, Jeanine & Claude Chartier, Annick & André Corlay, Jean Claude Fasseu, Martine & Gérard Fontaine, Jean André François, Alain & Mireille Gaignet, Michel Gaucher, Élisabeth & Gérard Genais, Annick & Gérard Le Pommelet, Alain & Jeannine Marsollier, Thérèse & Gérard Mérel, Marie-Henriette & Daniel Mergny, Arlette & Pierre Moreau, Jean- Pierre & Michèle Papon, Christine & Jean Raynaud, Jeannine & Michel Riault, Françoise & Jacques Thibaud,
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Claude Bardin, Roger Batard, Jean Claude Béasse, Yves Berthelot, Yves Antoine Caillaud, Pierre Copine, André Coulon, Jean-Claude Dardalhon, Henri de Darassus, Alain Delepierre, Louis Drillet, Alain Ducottet, Jean-Claude Foucault, Renée Freuchet, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Jean Paul Jaumouillé, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Josette Lebosse, René Lefaix, Gilbert Lemerle, Jean Yvon Leroux, André Loretz, Bruno Jean Manchon, Jean Marie, François Michaud, Jacques Monjoin, Paul Mustière, Anne Neuville, Jean Neveu, Jean Pellerin, Yves Petiteau, Gisèle Renault,
Bernard Rey, Jean Paul Rocher, Alain Rouault, Laurent Royaux, Dominique Ruesche, Etienne Schmit, Joseph Simon, Henri Sourdin, François Tellier, Pierre Thomas, Allain Verhoeven,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloître, Bertrand de La Fournière, Yann de La Porte Du Theil, Raymond Doré, Évelyne Duval, Yvette Echappe, Jean-Claude Fauvet, Michèle Figuiere, Jacqueline Fourniguet, Antoine Gapihan, Annick Le Gal, Daniel Lesage, Suzel Macé, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Michel Ploquin, Romain Prudor, Monique Salmon, Yvon Schneeberger,
Participation: 22 et 18 conjoint(e)s
Au déjeuner: 41 avec le conducteur de notre bus

COMPTE RENDU DU JOUR

En cette belle journée sur les bords de la Loire, n’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour ceux qui traversent des moments difficiles et celles et ceux qui n’ont pu être parmi nous pour des problèmes de santé ou familiaux.
Nous pensons bien à eux.
Dès 8 heures du matin, les Briscards embarquaient dans le car conduit par Jacquot (tel qu’il se présente).
L’autobus prend la direction d’Angers, puis celle de Bouchemaine où l’attend la « Cohorte Angevine » animée par Pierre Moreau,
l’organisateur de cette journée et notre chauffeur a constaté combien ils ont mis de l’ambiance en montant.
Le temps ne nous étant pas compté, Pierre avait prévu à Thoureil, un arrêt café, agrémenté de délicieuses chouquettes qu’il nous offrait pour simplifier la tâche du cafetier.

En effet, ce dernier avait, pour la circonstance, ouvert son estaminet une heure plus tôt. Le site en bordure de Loire était magnifiquement éclairé d’un beau soleil qui ne nous incitait guère à reprendre la route…
Après avoir traversé Saumur, son château et ses caves troglodytiques, les hautes oeuvres de l’abbaye se découvrent au dessus des toits du bourg de Fontevraud.
Quelques centaines de mètres à parcourir depuis le parking dégourdissent les jambes de nos voyageurs qui entreprennent une rapide visite avant que ne soit servi le repas que certains (toujours les mêmes) attendaient patiemment.
Les conversations allaient bon train autour des tables attisées par l’apéritif et le groupe termina son repas sur un gâteau au noix délicieux dont la crème anglaise n’avait pu, semble-t-il, atteindre l’étage…
Une petite demi-heure nous séparait du début de la visite que certains employèrent à dévaliser la bibliothèque.
Survint une aimable jeune personne qui n’hésita pas à prendre contact bien avant l’heure avec son groupe pour animer la visite de l’abbaye. Elle n’a pas dû le regretter tant s’avéraient pertinentes les réponses aux
interrogations qu’elle posait.
Notre visite commence.
L'abbaye de Fontevraud est une abbaye royale ne dépendant d'aucun ordre (mais d'inspiration bénédictine), fondée en 1101 par Robert d’Abrissel, et située près de Saumur en Anjou, près du confluent de la Loire et de la Vienne. La grande particularité de l'abbaye a été d'accueillirà la fois des hommes et des femmes dans des couvents séparés et d'avoir dès sa fondation été dirigée exclusivement par des abbesses, selon la règle édictée par son fondateur.
L'abbaye de Fontevraud, est un témoignage médiéval du style architectural du gothique angevin.
L'abbaye est classée monument historique depuis 1840 et au patrimoine mondial de l'Unesco en 2000 avec l'ensemble du site culturel du Val de Loire.
Réformateur religieux et itinérant qui avait le soutien du pape Urbain, Robert d'Arbrissel s'est trouvé à la tête d'un groupe de plusieurs centaines de personnes, à majorité féminine. Avec l'aide de Pierre II, évêque de Poitiers, il a dû
commencer à organiser la vie communautaire en fixant son groupe au fond du vallon de Fontevraud, à côté de la source fons Ebraldi.
« Cependant, voyant augmenter la foule de ceux qui le suivaient, il décida, pour éviter tout acte inconsidéré, et puisqu'il importait que les femmes habitassent avec les hommes, de rechercher un lieu où ils pussent vivre sans scandale et de trouver un désert, s'il en rencontrait.
Or, il y avait un lieu, inculte et aride, planté de buissonsépineux, appelé Fontevraud depuis les temps anciens... »
Cette abbaye avait donc la particularité d'accueillir en son sein mais séparément, des femmes et des hommes. Le premier protecteur en a été le seigneur de Montsoreau, dont le château est tout proche. Le rayonnement du fondateur, apparaissant comme un féministe avant la lettre, y attira de nombreuses femmes nobles dont la duchesse de Bretagne, et Ermengarde d’Anjou, qui y fit venir son frère Foulque V d’Anjou, lequel favorisa l'établissement par ses dons.
Henri II Plantagenêt, successeur de Foulque et roi d'Angleterre, en fit une abbaye royale et la nécropole de sa dynastie. C'est pourquoi lui-même et son fils Richard Coeur de Lion y ont toujours leurs gisants, de
même qu'Isabelle d'Angoulême, femme de Jean sans Terre, et Aliénor d'Aquitaine qui y finit ses jours.
Relevant de la règle bénédictine, Robert d'Arbrissel établit une règle inédite non dans la mixité mais en instituant qu'après sa mort, survenue en 1116, ce serait des abbesses qui dirigeraient aussi le monastère des hommes. Les 36 abbesses qui ont dirigé de 1115 à 1792 l'abbaye de Fontevraud ont toutes appartenu au milieu aristocratique. Parmi elles, on trouve quatorze princesses, dont cinq de la famille de Bourbon.
Les quatre grandes règles dans l'abbaye étaient : la chasteté, l’obéissance, le silence et la pauvreté.
L'ordre de Fontevraud, supprimé avec tous les autres à la suite de la Révolution française, était divisé en quatre provinces, à savoir :
· la province de France, dans laquelle, il y avait quinze prieurés.
· la province d'Aquitaine, quatorze prieurés, dont celui de Villesalem.
· la province d'Auvergne, quinze prieurés.
· la province de Bretagne, treize prieurés.
L'habit des hommes consistait en une robe noire, une chape, un chaperon ou grand capuce, auquel étaient attachées par derrière et par devant deux petites pièces de drap nommées roberts. L'habit des femmes consistait en une robe blanche, une cuculle noire, un surplis blanc et une ceinture de laine noire. En prononçant leurs voeux, les hommes et les femmes promettaient stabilité,
conversion de moeurs, chasteté pure, pauvreté nue et obéissance.
LE RAYONNEMENT
La précarité des débuts de la communauté a rapidement laissé place à une prospérité matérielle, assurée d'une part par la générosité des riches familles angevines et d'autre part par le soutien du pape et grâce à l'amitié des évêques d'Angoulême et de Poitiers.
Dès le début du XIIe siècle, l'abbaye est une institution monastique indépendante qui n'a de compte à rendre que directement au Saint-Siège pour le spirituel et au roi de France pour le temporel. Cette situation privilégiée a bien
sûr été la source de nombreux conflits avec les seigneurs, nobles, et évêques environnants, que les abbesses successives ont toujours su gérer au mieux des intérêts de l'ordre fontevriste. À la fin du XIIe siècle, l'ordre est à la tête de 123 fondations, réparties dans l'ouest de la France (essentiellement dans les terres des Plantagenêt ), le Berry et le Limousin.
Pendant la guerre de Cent Ans, l'abbaye souffre de la crise qui touche les ordres contemplatifs. Les bâtiments ne sont plus entretenus, voire abandonnés.
Aux XVIe et XVIIe siècles, les abbesses de la famille des Bourbons, bénéficiant de l'appui royal, font de Fontevraud un centre spirituel et
intellectuel, qui a connu la seconde période de faste de son histoire. Ce renouveau est accompagné d'une rénovation des lieux et de la construction de nouveaux bâtiments :
« Partout, qu'il pleuve ou qu'il vente, l'abbesse de Fontevraud a rente. »

LE PATRIMOINE ARCHITECTURAL

L'enceinte de Fontevraud a compté jusqu'à cinq monastères :· le Grand-Moûtier,
qui a accueilli jusqu'à cinq cents moniales au XIIIe siècle (environ deux cents au début du XVIIIe siècle)

· Saint-Benoît

· le couvent de la Madeleine, qui recevait les femmes mariées ou veuves se retirant du monde
· le prieuré Saint-Lazare (ou Saint-Ladre), affecté aux lépreux et aux malades
. Saint-Jean-del'Habit, le couvent des hommes - hors clôture - commandé par un prieur soumis à l'abbesse, qui hébergeait en moyenne une cinquantaine de religieux.
DES PENSIONNAIRES ILLUSTRES
Des filles de sang royal ont été pensionnaires à l'abbaye, issues des familles Plantagenêt, Bourbon, Valois. Parmi elles, Victoire (cinq ans à son arrivée), Sophie (quatre ans), Thérèse-Félicité (deux ans) et Louise-Marie (onze mois) ont été les plus illustres. Les filles de Louis XV quittèrent Versailles le 6 juin 1738, accompagnées de femmes de chambre, mobilier, argenterie, vaisselle, bagages et escorte militaire.
Elles ont été installées précairement jusqu'à la fin de la construction du logis des Filles de France en 1741 et ne retournèrent à la cour qu'en 1750.
DE L'ABBAYE A LA PRISON
Le 2 novembre 1789, les biens du clergé ont été déclarés biens nationaux. Les religieuses évacuèrent l'abbaye à l'automne 1792, Julie-
Gillette de Pardaillan d'Antin, la dernière abbesse, quitta l'abbaye la dernière, le 25 septembre 1792. Le 18 octobre 1804, Napoléon Ier signe un décret qui transforme l'abbaye en établissement de détention, ainsi que celles de Clairvaux et du mont Saint-Michel. Les travaux de conversion, confiés à l'ingénieur des Ponts et Chaussée Normand, s'échelonnent de 1806 à 1814. Des réaménagements successifs seront apportés jusqu'à la fermeture de la prison, le 1er juillet 1963, sans toucher à l'essentiel des structures. Ces travaux ont vraisemblablement sauvé les bâtiments de la ruine, contrairement à ce qui s'est passé par exemple pour Cluny ou Jumièges.
Conçue pour recevoir 700 prisonniers, la centrale en a reçu jusqu'à 1 600 en 1942 (dont 350 femmes et 100 enfants) et 1 200 en 1943. Fontevraud fut considérée comme la centrale pénitentiaire la plus dure de France, avec celle de Clairvaux, comparable au bagne. On y comptait, en moyenne, deux décès par semaine. Les ateliers fabriquaient notamment des boutons, à partir du nacre des coquillages, des gants, des filets, des couvertures pour l'armée. Cette véritable manufacture assurait également la transformation du chanvre et du lin. La plupart des détenus sont évacués à la fermeture de la prison, sauf une quarantaine, employés à l'entretien des espaces verts et à la démolition des installations pénitentiaires. Ils quittent définitivement la prison résiduelle, le quartier de la Madeleine, en 1985, date à laquelle les lieux sont rendus à la « vie civile ».
Fontevraud a inspiré Jean Genet dans son roman "Le miracle de la rose" bien qu'il semble n'y avoir jamais séjourné. Les registres d'écrou de la maison centrale conservés aux Archives départementales de Maine-et-Loire ne signalent pas la présence de l’écrivain.
AUJOURD'HUI LE MONUMENT HISTORIQUE
Dès 1840, grâce à l'action de Prosper Mérimée, inspecteur général des Monuments historiques, l'ancienne abbaye de Fontevraud figure sur la première liste nationale de classement des monuments historiques. Progressivement,
le cloître en 1860, le réfectoire en 1882, la tour d'Évrau et l'église abbatiale au début du XXe siècle sont libérés de leur affectation et ont commencé à être restaurés.
De la fermeture en 1963 à la fin du XXe siècle, les chantiers de restauration presque ininterrompus lui ont donné l'aspect que le visiteur découvre aujourd'hui. Elle a conservé une étonnante cuisine ronde dont le toit est surmonté d'une cheminée centrale et d'un cercle de cheminées plus petites.
Aucune communauté religieuse n'étant susceptible de faire revivre l'abbaye, le
Centre culturel de l'Ouest est fondé en 1975. Son but est« la défense, le développement, l'animation et la promotion de l'abbaye de Fontevraud». Cette association organise des classes du patrimoine, des manifestations rtistiques,
des stages d'initiation aux métiers d'art, au chant, et accueille des congrès,
principalement axés sur l'Angleterre, l'architecture et le chant choral.
L'Abbaye royale de Fontevraud, centre culturel de l'Ouest est membre du réseau européen des centres culturels de rencontre (40 membres aujourd'hui en Europe)
La Visite se termine à la satisfaction de tous en remerciant chaleureusement notre guide qui connaît parfaitement son sujet et qui n’a jamais eu de difficultés à répondre aux questions de son auditoire.
A 16H30, rendez-vous était donné auprès du bus pour un retour, animé par des apprentis bricoleurs qui avaient entrepris de démonter
cendriers et sièges… Jeanine parvint tout de même avant l’arrivée à remonter son accoudoir…
L’Inspection fut une nouvelle fois à la hauteur et remit tout en place…
 

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HUMOUR

FORMATION OFFERTE AUX HOMMES

THEME DU STAGE: Devenir aussi intelligent qu'une femme ( donc être parfait). 
 
OBJECTIF PEDAGOGIQUE:
 Cours de formation permettant aux hommes d'éveiller cet organe, appelé CERVEAU, dont la majorité ignore l'existence. 
 
PROGRAMME : 4 MODULES


MODULE 1 : COURS OBLIGATOIRES 
1. Apprendre à vivre sans sa mère (2000 heures) 
2. Ma femme n'est pas ma mère (350 heures) 
3. je donne ma paie à ma femme (550 heures) 
4. Comprendre que le foot n'est qu'un sport, et Ronaldo un crétin (500 heures) 
5. Ma femme n'est pas mon infirmière 
6. Ma femme n'est pas ma bonne
 

MODULE 2 : LA VIE A 2 
1. Avoir des enfants sans devenir jaloux ( 50 heures) 
2. J'arrête de dire des niaiseries quand ma femme reçoit ses amies (500 heures) 
3. Vaincre le syndrome de la télécommande ( 550 heures) 
4. Je ne pisse pas à côté. Je m'avance un peu, j'oublie ma prétention... (exercice pratique avec vidéo 100 heures) 
5. Je ne transforme pas la salle de bains en piscine municipale lors de ma douche... 
6. Comment se rendre jusqu'au panier à linge sans se perdre? (500 heures) 
7. Comment survivre à un rhume sans penser être à l'article de la mort? (200 heures) 
8. Savoir s'habiller tout seul, choisir ses vêtements tout seul, ne pas faire semblant de ne pas savoir où se trouve l'armoire. 
 
MODULE 3 : DETENTE ET LOISIRS 
1. Repassage en 2 étapes : 
 a)1 chemise en moins de 2 heures 
 b) idem pour les autres articles (exercices pratiques) 
2. Le ménage... une activité familiale et valorisante. 
3.. Je mémorise les journées de sortie des poubelles. 
4. J'apprends par coeur la définition du mot ' ASPIRATEUR' : 'appareil ménager, servant à aspirer les poussières, les menus déchets' ( j'en profite pour gagner du temps en regardant le Niveau 1 du module 4 ) 
5. Savoir se servir d'une éponge... 
6. Savoir ramasser les dégâts après une séance de bricolage... 
7.. Réviser son français : le féminin de ' assis devant la télé' n'est pas ' debout devant la cuisinière' 
 
MODULE 4: COURS DE CUISINE 
 
Niveau 1 ( débutant ) :
Les appareils ménagers : 
'ON' = mettre en marche 
'OFF' = arrêter ( ... l'appareil) 
 
Niveau 2 (avancé) :
 Mon premier ' quick soupe'  sans brûler l'eau. 
(Exercices pratiques : Faire bouillir l'eau avant d'ajouter les spaghettis) 
 
Niveau 3 (expert):
Faire du café sans oublier ni l'eau, ni le café, et ne pas utiliser le soluble qui est  incompatible avec la cafetière. 
 
Niveau 4 (best off) :
Savoir servir le café, sans en foutre la moitié à côté...  
 

PROCHAIN RDV LE 17 JUIN

Le 17 juin RDV à 9h45
Visite du Moulin à Foulon de Gaumierà Cugand 85 puis visite de Clisson et de son Château organisées par André COULON
Vous devez vous inscrire si vous désirez déjeuner
au restaurant le Croque Mitaineà Clisson
PROCHAINE REUNION MICRO LE 3 JUIN CHEZ TRIS ACTIF OUEST
H.B.T.Y. !

Passer la souris une seule fois sur la liste des noms
pour faire défiler les portraits
Yves Berthelot
Jacques Charrance
Bertrand de la Fournière
Louis Drillet
Jean Claude Fauvet
Michèle Figuière
Jacques Gaudry
Monique Guérin Langlois
René Lefaix
Suzel Macé
Jean Raynaud
Gisèle Renault
Etienne Schmit

 

Fonds de Placements

A
B
C
D
F
G
H
29.40
46.19
59.22
36.41
35.22
40.87
54.33
Les BRISCARDS
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44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
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