Les BRISCARDS
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
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Directeur de Publication : Pierre Copine
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Alain Lanceau
Diffusion : Gérard Mérel
WEB : Pierre Copine

Numero : 119

Date : 15 AVRIL 2010

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Gérard et Louis ayant magistralement organisé cette sortie, certains pourraient penser ne pouvoir en faire autant. A les entendre, nos deux lascards prirent grand plaisir à l’organiser et la tâche ne leur sembla pas du tout insurmontable ! Ils nous avaient fait
montre de leur talent lors de la dégustation des huîtres et de la découverte des éoliennes à Bouin.
Toujours fines gueules, ils nous choisirent également une restauration de haute qualité.
Toutes les réunions de 2010 sont pourvues.
Donc, pour 2011, la tâche est loin d’être insurmontable. Que les bonnes volontés ne se
découragent pas !
....................................................................................................DM

REUNION DU 15 AVRIL 2010

Présent(e)s : Roger Batard, Marie Christine & Yves Berthelot, Roger Billy, Annie Cazères Hervy, Pierre Copine, Annick & André Corlay, Joëlle & Louis Drillet, Jean-André François, Jean & Renée Freuchet, Mireille Gaignet, Michel Gaucher, Élisabeth & Gérard Genais, Annick & Gérard Le Pommelet, Thérèse & Gérard Mérel, Marie-Henriette & Daniel Mergny, Jeannine & Michel Riault, Paulette & Alain Rouault, Marie-Thérèse & Henri Sourdin, Françoise & Jacques Thibaud, Michelle & Pierre Thomas, Danièle & Allain Verhoeven,
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Jean Claude Beasse, Yves-Antoine Caillaud, Jacques Charrance, Claude Chartier, André Coulon, Jean-Claude Dardalhon, Henri de Darassus, Bertrand de La Fourniere, Alain Delepierre, Alain Ducottet, Gérard Fontaine, Jean-Claude Foucault, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon, Bernard Grollier, Monique Guerin-Langlois, Jean Paul Jaumouillé, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Josette Lebosse, René Lefaix, Gilbert Lemerle, André Loretz, Bruno Jean Manchon, Jean Marie, Jeannine Marsollier, François Michaud, Jacques Monjoin, Pierre Moreau, Paul Mustière, Anne Neuville, Jean Neveu, Michele Papon, Jean Pellerin, Gisèle Renault, Bernard Rey, Jean Paul Rocher, Dominique Ruesche, Etienne Schmit, Joseph Simon, François Tellier,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Claude Bardin, Robert Bareau, Jacques Bouchard, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre, Yann de La Porte Du Theil, Raymond Doré, Évelyne Duval, Yvette Echappe, Jean Claude Fasseu, Jean-Claude Fauvet, Michèle Figuiere, Jacqueline Fourniguet, Antoine Gapihan, Annick Le Gal, Jean Yvon Leroux, Daniel Lesage, Suzel Macé, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau, Michel Ploquin, Romain Prudor, Jean Raynaud, Laurent Royaux, Monique Salmon, Yvon Schneeberger.
Participation: 21 et 14 conjoints
Au déjeuner à « l’Orée de la Chabotterie » : 33

COMPTE RENDU DU JOUR
En cette matinée ensoleillée, n’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour ceux qui viennent de traverser des moments difficiles et celles et ceux qui n’ont pu être parmi nous pour des problèmes de santé. Nous pensons bien à eux.
Le Logis de la Chabotterie nous accueille avec un petit café qui nous réchauffe bien. Certains qui ne connaissent pas la Vendée se
font attendre mais, pour une fois, on ne leur en tiendra pas rigueur et cela fera une occasion de les chambrer à l’occasion.
Puis nous sommes invités à commencer la visite.
Le Logis de la Chabotterie nous accueille avec un petit café qui nous réchauffe bien. Certains qui ne connaissent pas la Vendée se font attendre mais, pour une fois, on ne leur en tiendra pas rigueur et cela fera une occasion de les chambrer à l’occasion. Puis nous sommes invités à commencer la visite.
Haut lieu de la guerre de Vendée, puisqu'il fut le cadre de l'arrestation de Charette le 23 mars 1796, événement qui marqua la fin de cette guerre, le Logis de la Chabotterie présente encore l'aspect qu'il avait à la fin du 18ème siècle.
La Chabotterie est une forme-type du logis bas-poitevin, une synthèse exceptionnelle du château et de la métairie qui se répand dans le paysage vendéen entre le 15ème et le 18ème siècle.
L'origine de la construction actuelle se situe vraisemblablement à la fin du 15ème s. ou au début du 16ème s. Autour de la cour d’honneur, sont étroitement imbriqués dépendances agricoles, logements des domestiques et maison noble.
Seuls les bâtiments d'exploitation et de service bordent l'avantcour ; les bâtiments bas actuels, transformés à de multiples reprises, en sont les héritiers.
Au début du 17ème siècle, d’importants travaux sont entrepris : un haut pavillon d'angle à quatre niveaux, abritant cuisine, chambre et cabinet d'érudit, flanque désormais le logis gothique. II est desservi par une tour d'escalier fortifiée, datée de 1611, présentant sur sa travée un écu armorié aux armes des Bourbon-Chabot.
Au 19ème siècle, on construit la chapelle et, côté jardin, une large tour remplace l'ancienne tourelle des latrines.
LE SALON DE COMPAGNIE
C'est le lieu d'arrivée dans le logis. On s'y dévêt et on y entrepose les effets du voyage : vêtements, mais aussiépée, coffre de carrosse, écritoire portatif, chaufferette à pieds... Cette pièce est également lieu de détente. Sur le grand tapis oriental, trois profonds fauteuils à la tapisserie de larges fleurs entourent la table à jeux : trictrac, marelle et dames... Près de la fenêtre, l'ouvrage attend sur la petite table à rebord pivotant, une tricoteuse avec son nécessaire de couture en marqueterie de paille. Au fond, devant la bibliothèque de chêne, le paravent de soie rehaussé de « chinoiseries » peintes protège des chaleurs excessives dégagées par la monumentale cheminée gothique du château originel.
LA SALLE À MANGER
Une ambiance froide et raffinée domine dans la pièce des repas : dalles de pierre et ardoise au sol, lambris
gris rehaussés d'un filet de couleur sur les murs et planches monochromes irrégulières au plafond.
Au milieu de la pièce. la table est dressée pour le repas. La grande soupière en porcelaine de Saxe est entourée d'assiettes, présentoirs, moutardiers et salerons en faïence. Autour de la table, un ensemble de sièges cannés, un rafraîchissoir à bouteilles Louis XVI, une table d'applique nantaise Louis XV et son dessus en marbre. Près de la cheminée, un rafraîchissoir à verres posé sur une petite table en cabaret du début du 18ème s. Quelques objets complètent cette ambiance raffinée : sur la cheminée, un cartel au vernis Louis XV; sur le mur du fond. une fontaine en faïence de Rouen des années 1700 et un thermomètre
baromètre de Réaumur.
LA CUISINE
Cette pièce austère, au sol de pierre et plafond à solives apparentes noircies par le feu, est la cuisine du logis. Le potager rougeoie près de la cheminée au tournebroche à contrepoids. Quelques meubles régionaux entourent la table: un buffet bas 18ème s., une grande armoire nantaise de la fin du 17ème s.. une petite table Louis XIII et, rythmant le temps, une haute horloge dite «comtoise». Mais c'est le centre de la pièce qui attire l'attention et suscite l'émotion avec la longue table où fut allongé Charette blessé: l'écharpe de commandement et le pistolet rappellent le tragique événement.
LA CHAPELLE
La présence de Charette illumine également la chapelle à travers les vitraux : la messe clandestine dans la campagne, l'entrée triomphale à Nantes le 27 février 1795, l'arrestation dans le bois de la Chabotterie le 23 mars 1796 et, six jours plus tard. l'exécution sur la place des Agriculteursà Nantes (actuellement place Viarme).
A l'exception d'une grande « Adoration des Mages » 17ème s. et d'une vierge au Sceptre en bois peint, la chapelle accueille essentiellement un décor néo-gothique. contemporain de sa construction à la fin du 19ème s.
LA CHAMBRE
La quiétude règne sous ce plafond peint du début du 17ème s. Deux lits attirent le regard : l'unà colonnes, du 18ème s., porte des soieries 17ème s.; l'autre, «à la duchesse», est habillé d'une toile de Nantes datée 1783. Elle provient de la manufacture Petitpierre et relate le combat de Trinquemalle entre Suffren et l'amiral anglais Hugues en 1782.
Près du secrétaire à cylindre en acajou d’époque Louis XVI, se développe le coin toilette : au centre, une baignoire garnie d'un drap ; devant, une coiffeuse marquetée et ses petits objets utilitaires, boule à
éponge, éventail, boîte à mouches. nécessaire à parfumer, perruque et son support…
LA SALLE DE COMMANDEMENT
Occupée par les -troupes républicaines, la Chabotterie fut transformée en « quartier général » ; cette salle en est l'évocation. Sur le bureau à la Mazarin 17ème s., le pistolet côtoie l'écritoire. Sur la table de travail, sont disposés des instruments de visée
topographique, compas, cadran solaire de poche et règle pliante.
Aux côtés des pièces vestimentaires, des sabres, pics révolutionnaires, fusils à baïonnette et pistolet complètent la restitution.
Cette salle est riche de nombreux éléments mobiliers : un coffre renaissance
sculpté à décor de tournoi de chevalerie, une cheminée Louis XIII ornée d'une toile peinte, deux commodes nantaises 18ème s. et une grande tapisserie d'Aubusson du 17ème s.
LE CABINET D'ÉRUDIT
Cette pièce a ses murs entièrement recouverts de tapisseries d'Aubusson.
On y retrouve le goût du 18ème s. pour les arts, les lettres et les sciences.
Devant le cabinet Louis XIII en poirier noirci surmonté d’une peinture sur bois hollandaise 17ème s., une harpe entourée d’une paire de fauteuils Louis XV.
Derrière la table aux plateaux inclinables, deux meubles nantais en
acajou de Cuba : la bibliothèque et la commode-écritoire. Près de la fenêtre, des instruments liés à l'observation des planètes et des constellations : télescope, sphère armillaire.
LES COMBLES
Sous les charpentes d'origine du logis, les coffres, armoires et bancs qui évoquent le galetas, c'est-à-dire le logement utilisé par les domestiques.
En contrebas, des meubles, sièges et objets divers sont entreposés dans le grenier.
PARCOURS-SPECTACLE « La Guerre de Vendée »
Dans trois salles sonorisées, reliées entre elles par des chemins creux, des automates vous plongent au coeur des principaux événements du soulèvement vendéen de 1793 à 1796 par des scènes reconstituées et des animations sonores.
LE JARDIN CLOS
Adossé au logis, le jardin clos est limité par deux murs se terminant chacun par un pavillon carré. Une douve, appelée « ahah », ferme le jardin sans cacher la longue allée cavalière bordée de chênes.
Percée au 18ème s., cette très belle perspective est avant tout un élément visuel et n'a jamais servi de chemin d’accès au logis.
Le jardin d'agrément comporte des parterres géométriques avec des tapis de
fleurs et des bordures de buis et d'ifs. Le parterre central rassemble les plantes aromatiques et médicinales.
Le potager est divisé en carré de légumes, mêlés aux fleurs à couper pour la décoration du logis. Les pergolas de roses anciennes et l'alignement de topiaires complètent la composition du jardin.
LA CROIX DE CHARRETTE
Le chemin de Charette est un parcours de verdure conduisant à travers l’environnement bocager et le bois de la Chabotterie, sur le lieu
même de la capture du général vendéen. Un monument, érigé en 1911, y commémore son arrestation.
Un repas très apprécié nous permit de faire une pause après la visite de ce Logis de la Chabotterie.
Après d’innombrables pérégrinations, l’effectif attendu est au complet dans la salle d’accueil de l’Historial de Vendée aux Lucs-sur-
Boulogne.
Inauguré en 1993 par Alexandre Soljenitsyne, il commémore le massacre de 564 villageois des Lucs-sur-Boulogne en février 1794.
Une charmante hôtesse nous rassemble et nous présente l’organisation du site géré par le Conseil Général de Vendée.
Les oeuvres exposées à l’Historial font partie d’un ensemble de 15000 objets constituant les collections du Département de la Vendée.
Le musée qui a vu le jour sur les rives de la Boulogne est novateur, largement
influencé par lesétablissements Nord- Américains.
Un concept original : Le musée évolutif
Les cinq grands principes qui ont été retenus pour la conception de ce musée d’un nouveau type :
- Forte présence de l’interactivité et des nouvelles technologies
- « Désacralisation » du musée par l’alliance permanente entre la connaissance et le divertissement
- Intérêt porté aux très jeunes enfants, considérés comme un publicà part entière
- Abandon du principe d’exposition permanente et figée au profit du concept d’exposition de longue et courte durée dont la programmation vise l’éclectisme et la diversité des publics
- Théâtralisation des expositions et art de la mise en scène avec un respect rigoureux des normes de conservation des collections
exposées.
La muséographie est faite de grands décors architecturaux, de projections audiovisuelles, de jeux d’éclairage, de spectacles qui
viennent s’implanter sur un gril technique.
Par ailleurs, l’Historial n’est pas un musée figé. Contrairement au musée traditionnel, il offre au public des expositions partiellement
ou totalement transformées .
Afin de répondre à cette double exigence, les architectes ont conçu des espaces modulables dont l’élément principal est constitué
par le gril technique qui surplombe les espaces muséographiques à plus de 6 mètres de hauteur.
La Guerre des Vendée
Avec beaucoup d’érudition et de simplicité, notre charmante guide nous fait parcourir les différentes et très réalistes reconstitutions historiques.
La liberté de culte fut l'une des causes majeures de la guerre de Vendée.
Le 24 février 1793, la levée d'une armée de 300 000 hommes, décrétée par la Convention pour défendre
la Révolution contre les autres pays d'Europe, entraîna de nombreuses révoltes dans l'Ouest. Les troupes républicaines parvinrent à les limiter au nord de la Loire.
Près de Laval, l'ancien faux-Saulnier Jean Cottereau rallia ses hommes cachés dans la forêt en imitant le cri de la chouette.
C'est de son surnom de Jean Chouan que naquit le terme de"chouanneries".
Le 19 mars, l'armée républicaine fut mise en déroute en Vendée .
La Vendée, qui désignait un espace plus vaste que le département actuel, englobant une partie du Maine-et-Loire, de la Loire-Atlantique et des Deux-Sèvres, devint le symbole de la contre révolution à abattre.
Une armée de 25 000 paysans-soldats se plaça sous les ordres du voiturier Cathelineau, du garde chasse Stofflet, et des aristocrates Bonchamps , d'Elbée, Charette, La Rochejaquelein, Lescure ou Talmont.
L'armée catholique et royale s'empara de Fontenay-le-Comte, de Saumur, d'Angers mais échoua le 29 mai à Nantes.
Si cette dernière était tombée, les Vendéens auraient probablement marché sur Paris, avec de grandes chances
d'anéantir la Révolution. L'arrivée en Vendée de Kléber redonna l'avantage militaire à la Révolution. Battus à Cholet, les Vendéens traversèrent la Loire à Saint-Florent-le-Vieil et s'embarquèrent dans la "virée de Galerne",à la recherche d'une éventuelle aide anglaise. Elle les emmènera jusqu'à Granville qu'ils ne purent enlever.
Le retour fut une succession de défaites et, le 23 décembre, les survivants furent massacrés près de Nantes . Sur les 60 000 à 80 000 Vendéens partis, quelques milliers seulement revinrent.Il n'y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes
et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Je n'ai pas un prisonnier à me reprocher. J'ai tout exterminé", écrit le général Westermann au Comité de Salut Public.
Dans l'hiver 1793-1794, les colonnes infernales du général Turreau tuèrent et pillèrent sans distinction. A Nantes, Carrier, le représentant de la Convention, se rendit tristement célèbre par ses "noyades".
Le bilan est difficile à établir et reste un sujet de polémique. En certains endroits des Mauges (Beaupréau, Le May), du bocage vendéen
(La Gaubretière, les Herbiers) et du Marais Breton (Machecoul), entre un quart et la moitié de la population a disparu !
La résistance de Nantes à cette contre-révolution manifesta la distance que cette ville a toujours conservée avec sa région environnante.
A l’issue de cette journée bien ensoleillée et bien remplie, chacun regagne ses pénates en attendant la prochaine sortie du 20 mai à
l’Abbaye de Fontevraud.
A propos, Il reste encore de la place dans l’autobus...

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HUMOUR

Quelle différence y a-t-il entre une prostituée, une maîtresse et une épouse ? 
 Quand ils font l'amour, la prostituée regarde le plafond et se dit :
 "Quand va-t-il finir ?" 
 La maîtresse regarde le plafond et se dit :
"Quand va-t-il revenir ?"
 L'épouse regarde le plafond et se dit :
"Quand va-t-il le repeindre ?"

Loi d'urgence du gouvernement
Le gouvernement français a adopté une loi d'urgence qui entrera en vigueur le 1er juin 2010.
Tous les fonctionnaires actifs ou en retraite qui décèdent, devront obligatoirement être incinérés.
Leurs cendres seront, par la suite, récupérées pour être mélangées au béton qui servira à consolider le littoral vendéen.
Le principal but de cette mesure est d'empêcher le béton de travailler. 

Bonjour ! C'est la réception ? 
J'aimerais parler avec quelqu'un à propos d'un patient qui se trouve chez vous. J'aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s'il va mieux ou si son problème s'est aggravé.   
Quel est le nom du patient ? 
Il s'appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302. 
- Un instant je vous prie, je vous passe l'infirmière. 
Après une longue attente : 
- Bonjour, ici Françoise l'infirmière de service, que puis-je pour vous ? 
- J'aimerais connaître l'état du patient Jean Dupont de la chambre 302. 
- Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde. 
Après une plus longue attente : 
- Ici Le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute. 
- Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l'état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302. 
- Un instant, je vais consulter le dossier du patient. 
Après encore une autre attente : 
- Huuuummm, le voici : il a bien mangé aujourd'hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain, et si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d'ici le week-end. 
- Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de  joie. Merci. 
- Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu'un de très proche, certainement de la famille ? 
- Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien... 
Je voulais juste savoir comment je me porte ! Merci bien ! 


PROCHAIN RDV LE 20 MAI 2010

VISITE DE L'ABBAYE DE FONTREVAUD Organisée par nos amis Angevins
Le point de RDV sera indiqué dans les jours qui viennent
Montant du déplacement entre 45/50€ (repas, visite et transport)
PROCHAINE REUNION MICRO LE 29 AVRIL chez Tris Actif Ouest
H.B.T.Y. !

Passer la souris une seule fois sur la liste des noms
pour faire défiler les portraits
Annie Cazeres Hervy
Anne Lannic
Philippe Pellaumail
Bernard Rey

 

Fonds de Placements

A
B
C
D
F
G
H
29.39
46.69
61.54
39.39
36.71
41.31
55.07
Les BRISCARDS
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
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