REUNION DU 18 février 2010 |
Présent(e)s : Jean Claude Beasse, Annie Cazères Hervy, Claude Chartier,
Pierre Copine, André Coulon, Aurelie Sa Fille & Jean-Claude Foucault,
Jean-André François, Jean-Louis Gourdon, Bernard Grollier,
Jean Marie, Gérard Mérel, Daniel Mergny, Paul Mustière, Jean Paul
Rocher, Dominique Ruesche, François Tellier, Jacques Thibaud,
Excusé(e)s: Roger Batard, Yves-Antoine Caillaud, André Corlay, Jean-
Claude Dardalhon, Gérard Fontaine, Renée Freuchet, Mireille Gaignet,
Jacques Gaudry, Gérard Genais, Monique Guerin-Langlois,
Alain Lanceau, Anne Lannic, Bruno Jean Manchon, Jeannine Marsollier,
François Michaud, Pierre Moreau, Jean Neveu, Michele Papon,
Jean Pellerin, Pierre Thomas,
Absent(e)s: Jean-Pierre Antompietri, Bernard Barbier, Claude Bardin,
Robert Bareau, Yves Berthelot, Roger Billy, Jacques Bouchard, Jacques
Charrance, Jean-Luc Chauvin, Adrienne Cloitre, Henri de Darassus,
Bertrand de La Fourniere, Yann de La Porte Du Theil, Alain
Delepierre, Raymond Doré, Louis Drillet, Alain Ducottet, Évelyne
Duval, Yvette Echappe, Jean Claude Fasseu, Jean-Claude Fauvet, Michèle
Figuiere, Jacqueline Fourniguet, Antoine Gapihan, Michel Gaucher,
Jean Paul Jaumouillé, Jean Landrein, Annick Le Gal, Gérard Le
Pommelet, Josette Lebosse, René Lefaix, Gilbert Lemerle, Jean Yvon
Leroux, Daniel Lesage, André Loretz, Suzel Macé, Jacques Monjoin,
Anne Neuville, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Yves Petiteau,
Michel Ploquin, Romain Prudor, Jean Raynaud, Gisèle Renault, Bernard
Rey, Michel Riault, Alain Rouault, Laurent Royaux, Monique
Salmon, Etienne Schmit, Yvon Schneeberger, Joseph Simon, Henri
Sourdin, Allain Verhoeven, Alain Verneuil,
Participation: 17 et la fille de Jean Claude qui le pilote.
Au déjeuner: 11 avec nos 2 intervenants présents |
En cette période d’hiver assez rigoureux,
n’oublions pas d’avoir une
pensée amicale pour celles et ceux
qui traversent des moments difficiles
et qui n’ont pu être parmi nous.
Nous leur prodiguons tous nos encouragements
ainsi qu’à leurs proches. |
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Dominique Ruesche nous présente
Madame Monique Hias
Présidente de Pain Contre la
Faim et Louis Thomas ancien
journaliste qui a publié le livre« Le pain de la solidarité » qui
raconte l’histoire de l’association.
Monique Hias était institutrice, son mari directeur
d’école et suite à une visite de Nicolas
Castel, missionnaire français du Pérou,
qui profitait de son temps de vacances pour
prendre contact avec les correspondants qui
soutiennent ses projets humanitaires eurent
l’idée de fonder cette association. |
Cette idée
a germé suite à une affiche vue sur la porte
d’une église de Vendée « 20.000F pour soutenir
X ».
C’est en Alsace que la première association« Pain contre la Faim » a vu le jour, l’objectif
est resté dans le slogan «Donner du pain
pour que certain ait un gagne pain ».
Une réflexion s’engage
alors à Orvault sur le
recyclage éventuel de
pain dur pour en faire
un outil de travail
contre la misère : « Les
miettes de pain arrachéesà la poubelle
pourraient calmer quelques
faims ! ».
Le pain rejeté et transformé
en chapelure
pourrait être revendu
pour financer des projets humanitaires.
A l’automne 91 uneéquipe se forme autour
de Monique, Pierre et
d’autres. Cette équipe
s’est déplacée en Vendée
pour glaner les idées et
les conseils. Toutes ces
personnes avaient des
compétences diverses
telles que agriculture, finance,
relation avec lesélus ce qui a simplifié le démarrage de cette association et a permis
la réussite de sa mise en place. |
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Les débuts se firent dans le château de la Tour d’Orvault qui était
laissé à l’abandon et tout cela se fit sans l’autorisation de la Mairie.
Le château se révèlera vite non conforme pour pouvoir garder
le pain au sec, il fallait donc vite trouver un nouveau local. En 94
après avoir récupéré les matériaux (poutrelles, toiture et bardage)
de la minoterie Guillaud-Denieau et grâce aux compétences de bénévoles
de l’association ARCADE, un bâtiment est reconstruit sur
un nouveau terrain situé à Orvault. |
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Ce bâtiment regroupe les deux associations.
Le ramassage du pain se fait tous les matins dans 150 boulangeries
et 70 grandes surfaces de la Métropole Nantaise. Celui-ci s’effectue à l’aide de deux camions et comprend un chauffeur et un
ramasseur. Leur tournée s’effectue de 8h à midi. Il y a actuellement
2 tournées, une au nord et l’autre au sud de la Loire. Le
nombre de bénévoles est de 320. Il y a environ 80 chauffeurs qui
se répartissent sur 17 équipes de ramassage. |
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La masse de travail devenant importante et l’âge des bénévoles
n’évoluant pas dans le bon sens, il a été décidé, suite à l’assemblée
générale de juin 2000, de rechercher une entreprise d’insertion.
Le choix se porta sur TRAJET créée en 1983.
A partir de cette date « Pain contre la Faim » devint le prestataire
(grâce à ses bénévoles) pour la collecte du pain.
TRAJET ayant repris l’activité sur Sautron dans les bâtiments de
Chantelle (2002), ARCADE récupère l’emplacement de l’association
pour s’agrandir. |
| TRAJET emploie 33 personnes en réinsertion. L’association « Pain
contre la faim » reçoit 20% des recettes de TRAJET ce qui lui permet
de continuer à aider deux projets à Madagascar et au Pérou. Entre
1992 et 2002 ce sont 61 projets qui ont pu être financés . |
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En 2002, le chantier d'insertion Trajet-Pain contre la faim s'installait
sur la commune de Sautron. L'atelier de recyclage de pain dur, situé 9
route de Brimberne, compte aujourd'hui 33 salariés en insertion et 4
permanents. L'année 2008 a vu la production de mouture augmenter.
Baguettes moulées, de campagne, pain complet, on trouve de tout
dans cet atelier de recyclage créé en janvier 2002 grâce au rapprochement
de Pain contre la faim, une association à vocation humanitaire,
et Trajet, une structure ayant pour objectif l'insertion sociale et professionnelle.
Concrètement, le pain dur provient des 220 points de collecte de l'agglomération
nantaise. Il s'agit de boulangeries et de grandes surfaces.
L'acheminement du pain est assuré par les bénévoles de Pain
contre la faim. |
Une fois livré, le pain est trié, coupé, séché pendant
huit heures et broyé.
La mouture
obtenue est ensuite revendue
environ 160€ la tonneà des coopératives fabriquant
de la nourriture pour animaux.
20 % du montant des
ventes réalisées sont reversésà Pain contre la faim, afin
que l'association puisse financer
ses projets. |
« Le chantier d'insertion est un tremplin »
« Nous avons l'obligation d'employer 20 femmes minimum sur le
chantier », explique Didier Girard, le responsable logistique du chantier.
Et d'ajouter : « Les contrats vont de 6 mois à deux ans. Notre travail
consiste à permettre à ces adultes sans emploi de retrouver une
vie sociale. Ici c'est un tremplin ». Les salariés travaillent 26 heures
par semaine, 5 jours sur 7.
En 2009, le chantier d'insertion a traité 794 tonnes de pain dur et produit
370 tonnes de mouture. Cette |
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même année, l'établissement de
Sautron a accueilli 52 personnes. 25 de celles-ci ont quitté le chantier
soit pour chercher un emploi, soit pour commencer une formation.
La petite assemblée présente
ce jour a apprécié et a chaleureusement
applaudi Monique
Hias qui ne pouvaitêtre présente à notre déjeuner
car elle était attendue par
une autre association « Le
logis Saint Jean » qui s’occupe
des sans papiers.
Grâce à Dominique Ruesche,
nous avons pu visionner le
film qui montre la vie des personnes en insertion dans la structure de
TRAJET.
Que Dominique soit encore une fois remercier pour avoir répondu rapidementà notre demande et avoir organiser cette intervention appréciée
de tout l’auditoire. |
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Nous avons pu aussi aider l’association en
achetant le livre de Louis Thomas « Le
pain de la solidarité ». Ceux qui sont intéressés
peuvent toujours le demander à Dominique
Ruesche pour la modique somme de 8€.
La conversation sur le sujet a continué autour
du repas que nous avons partagé avec
nos intervenants. |
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Voici une lettre d'une dame de 68 ans qui a pété les plombs avec sa banque.
Sa réponse est intellectuellement savoureuse, et vaut le coup d'être connue.
Cher Monsieur,
Je vous écris pour vous remercier d'avoir refusé le chèque qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier.
Selon mes calculs, trois nano secondes se sont écoulées entre la présentation du chèque et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement. Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans.
Il me faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30 Euros de frais pour le désagrément> > causé à votre banque.
Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances.
J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque.
A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une personne de chair et d'os.Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques mais arriveront à votre banque par chèques adressés personnellement etconfidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque queje devrai donc sélectionner. Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal.
Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e) désigné(e) de remplir. Il comporte huit pages,
j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative. Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent être contre signées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés.Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez- vous. Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres mais, encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux service téléphonique de votre banque.
Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincère.
Laissez-moi développer cette procédure. Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit :
Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue
Ensuite le 1 pour prendre rendez-vous avec moi
Le 2 pour toute question concernant un retard de paiement
Le 3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais
Le 4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais
Le 5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où.............
Le 6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison
Le 7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire. Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de contact autorisée mentionnée plus tôt.
Le 8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7
Le 9 pour toute question ou plainte d'aspect général. Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique. > Le 10, à nouveau pour sélectionner la langue. Ceci peut augmenter l'attente mais une musique inspirante sera jouée durant ce laps de temps.
Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple, je devrai infliger le prélèvement de frais pour couvrir l'installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ?
Respectueusement, Votre humble cliente.
(Souvenez-vous : ceci fut écrit par une dame âgée de 68 ans)
N'ADOREZ-VOUS PAS LE 3ème AGE ?
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PROCHAIN RDV LE 18 mars 2010 |
Le 18 mars à 9h45
RDV Hangar 32
quai des Antilles
Sur l’île de Nantes
Visite
des installations actuelles
et des futures
réalisations sur le site de
l’Île de Nantes
Organisées par André Coulon |
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PROCHAINE REUNION MICRO LE 25 février chez Tris ACtif Ouest |
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Fonds de Placements
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A |
B |
C |
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G |
H |
29.33 |
40.77 |
57.88 |
35.53 |
32.30 |
39.77 |
51.60 |
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Les BRISCARDS
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
44240 LA CHAPELLE sur ERDRE
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Conception/Rédaction : Les Briscards
Réalisation : Les Briscards
Impression : Studio de la Tullaye
Copies : Publi. Copies |
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