Les BRISCARDS
Association des Anciens du Grand Bleu de la Région Ouest
 
Association loi de 1901

 
 
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Directeur de Publication : Pierre Copine
Rédacteur en chef : Daniel Mergny
Assistant du Rédacteur : Gérard Mérel
Comité de relecture : André Corlay - Alain Lanceau
Diffusion : Gérard Mérel
WEB : Pierre Copine

Numero : 101

Date : 16 MAI 2008

Sommaire :  
  Editorial
Compte rendu
Humour
H.B.T.Y. & F.C.P.

Prochain RDV

Editorial

Saluons la venue de notre 2ème rennais en la personne de René LEFAIX. Après Jean-Yvon LEROUX, nous voici récompensés de plusieurs années d'efforts. Aussi, ne boudons pas notre plaisir.
Peut-être les heureux habitants de la capitale bretonne considèrent-ils, avec un peu de condescendance (ce que prétend la légende), leurs amis nantais comme de joyeux provinciaux… que dire de leurs voisins angevins !
Qu'ils nous pardonnent cette boutade, car vraiment nous les aimons bien.. Pour compléter ce plaisir, s'il en était besoin, des nouveaux membres tout aussi sympathiques, connus ou inconnus, nous ont rejoints à la Gatelière.
Qu'ils soient tous les bienvenus !
L'étendue géographique dans laquelle résident les Briscaraïstes s'étendant régulièrement, chacun peut rechercher autour de soi un sujet de réunion qui mériterait l'attention et susciterait l'intérêt de tous. Les Angevins nous en proposent régulièrement tandis que notre morbihannais s'en occupe sérieusement, remercions l'action en cours de nos amis Rochelais.
Merci à eux! Mais merci à vous qui allez les imiter et vous plonger dans la recherche des curiosités locales. Cela facilitera l'organisation de nos visites et nous permettra de nous réunir avec autant d'intérêt et de plaisir...
Un petit mot sympa nous vient de Christian BLAVET, président de CARA, angevin, comme vous le savez, qui, de retour du Sénégal, et effaré du volume de dossiers accumulés en son absence sur le bureau, n'a pu se joindreà nous, à son grand regret .............DM

 

REUNION DU 16 MAI 2008

Présent(e)s : Mireille & Robert Bareau, Laure & Roger Billy, Jean Michel & Annie Cazères Hervy, Patricia & Jacques Charrance, Jeanine & Claude Chartier, Marynette & Jean Luc Chauvin, Pierre Copine, Annick & André Corlay, Joëlle& Louis Drillet, Jean Claude Fasseu, Jean-André François, Jean & Renée Freuchet, Élisabeth & Gérard Genais, Christian & Monique Guerin-Langlois, Annick & Gérard Le Pommelet, René Lefaix, Gérard Mérel, Marie-Henriette& Daniel Mergny, Arlette & Pierre Moreau, Odile & Michel Ploquin, Christine& Jean Raynaud, Jeannine & Michel Riault, Paulette & Alain Rouault, Marie- Thérèse & Henri Sourdin, Michelle & Pierre Thomas,
Excusé(e)s: Bernard Barbier, Claude Bardin, Jean Claude Beasse, Yves Berthelot, Yves-Antoine Caillaud, André Coulon, Jean-Claude Dardalhon, Jean Paul Debacq, Yvette Échappé, Gérard Fontaine, Jean-Claude Foucault, Mireille Gaignet, Michel Gaucher, Jacques Gaudry, Jean-Louis Gourdon, Jean Paul Jaumouillé, Alain Lanceau, Jean Landrein, Anne Lannic, Brigitte Le Cour Grandmaison, Gilbert Lemerle, Daniel Lesage, Jean Marie, Jeannine Marsollier, Jacques Monjoin, Anne Neuville, Jean Neveu, Raymond Ollivaud, Michele Papon, Yves Petiteau, Bernard Rey, Etienne Schmit, François Tellier, Allain Verhoeven,
Absent(e)s: Roger Batard, Dominique Bertaux, Marcel Bouancheau, Adrienne Cloitre, Bertrand de La Fournière, Yann de La Porte Du Theil, Alain Delepierre, Raymond Doré, Alain Ducottet, Évelyne Duval, Jean-Claude Fauvet, Antoine Gapihan, Bernard Grollier, Josette Lebossé, Jean Yvon Leroux, Bruno Jean Manchon, François Michaud, Paul Mustière, Michel Paineau, Philippe Pellaumail, Jean Pellerin, Romain Prudor, Gisèle Renault, Jean Paul Rocher, Laurent Royaux, Dominique Ruesche, Monique Salmon, Joseph Simon, Alain Verneuil,
Participation: 25 et 20 conjoint(e)s
Au déjeuner: 45 à la Mine Bleue (Menu du mineur)

 

COMPTE RENDU DU JOUR

N’oublions pas d’avoir une pensée amicale pour celles et ceux qui n’ont pu nous rejoindre et qui traversent des moments difficiles. Nous leur prodiguons tous nos encouragements ainsi qu’à leurs proches.

Malgré la distance et la destination inhabituelles, tous les nombreux participants se sont retrouvés à (avant) l’heure dite, à l’exception de Robert Bareau. Son GPS, sans doute affolé par le magnétisme environnemental de la Mine Bleue, a refusé de lui délivrer les dernières coordonnées géographiques, c'est-à-dire les plus importantes… Il sera pardonné par le fait qu’il nous amenait un nouveau Briscard en la personne d’Alain Rouault.

Nous avons eu le plaisir d’accueillir Jacques Charrance et son épouse, provenant de CARA et installé à Avrillé, tout près de Michel Riault.
Profitant de la proximité relative de Rennes, nous avions adressé à chacun de nos anciens camarades de la capitale bretonne, un courrier les invitantà se joindre à nous, dans l’espoir qu’ils découvrent tout l’intérêt et le plaisir de se réunir au sein des Briscards. René LEFAIX a répondu spontanément et nous avons eu le plaisir de le retrouver, plaisir partagé, puisque aussitôt il demanda une feuille d’inscription.
Un courrier de Jean-Paul HEDOUX nous apprit qu’il était souffrant et ne pouvait se joindre à nous. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.
Suite à ce courrier, Daniel a reçu un appel téléphonique de Madame CARRE qui lui fit part du décès de notre camarade bien connu et apprécié, Louis, à la suite d’une longue maladie. Une pensée amicale a été adressée à son intention, Louis était connu pour son calme et son affabilité. Très actif, Louis militait au sein de plusieurs associations…

Prochaines réunions/sorties : Cliquez
Il nous parait difficile d’organiser une visite dans la région Rochelaise et maritime de Rochefort cette année. Nos amis Anne Neuville et Robert Nicolas nous concoctent un programme réparti sur deux jours qui nécessite une préparation sérieuse. En contrepartie, Jean-André François a posé une option pour septembre en vue de la visite de l’ancienne base sous-marine de Lorient qui abrite plusieurs curiosités, en particulier au musée dédié à Éric Tabarly. Ce déplacement, en car, bénéficierait de la subvention de CARA National.
Il sera l’occasion de contacter nos amis brestois et lorientais.

Pierre Copine a insisté pour que chacun apporte sa contribution à l’effort de recherche de nouvelles visites ou interventions.

Réunis autour d’une table très animée, les 45 Briscaraïstes ont apprécié, en
apéritif, la Quernelle (infusion de prunelles accompagnée de fruits rouges des
bois, baignant dans un rosé d’Anjou), précédant le Parageot (menu du mineurà base de haricots blancs, cuisse de canette, saucisse, saucisson et tranche de poitrine), suivi d’un Saint- Nectaire sur salade et clôturé d’un soufflet du Haut-Anjou, accompagné d’Anjou rouge et blanc. Un café donna le départ vers les profondeurs souterraines.
L'EXPOSE DU JOUR

Florence, notre guide, dite « Tête de Linotte », (dans la mine chacun portait un surnom), nous donna l’ordre de nous couvrir d’une charlotte et d’un casque, destinés à rehausser la beauté de ces dames… avant de pénétrer dans le funiculaire à raison de 29 passagers.
Si certains se voyaient déjà serrés comme des sardines, que dirent-ils quand il leur faudra se tasser dans le mini compartiment pour quatre mineurs du petit train à voie de 60 cm qui leur fit parcourir 800 mètres dans les galeries obscures…
A l’instant du départ, par la « descenderie » (plan incliné de 30% sur une longueur de 250 m), le cri de stupeur de ces dames couvrit le Buzzer annonçant la descente. Puis le tintamarre de la machinerie couvrit les commentaires apeurés.
Une fois tout le monde regroupé à 130 mètres sous terre, le petit train minier bondé nous déposa auprès d’un escalier nous conduisant au niveau supérieur, les galeries du fond ayant été comblées.
Des lampes de mineurs émettant avec avarice une lumière diffuse furent distribuées aux chefs désignés d’office.
Ils furent affublés du titre très honorable de Partageons. Le seul couple non Briscaraïste intégré pour faire nombre se vit attribuer la fonction très (peu) enviée de serre-file. Cela ne perturba guère les confrères du Grand Bleu.
Cette mine fut ouverte en 1916 et bénéficia de cette innovation que constitua la descenderie par laquelle remontait l’ardoise en blocs de 2 tonnes (les perdus), tirés par un treuil actionné par une locomobile à vapeur, plus souvent connues pour avoir actionné les machines à battre le grain d’autrefois, avec leurénorme roue et l’immense courroie tendue vers la batteuse…
Grâce à cette innovation, 22 chambres d’extraction furent exploitées à 126 m de profondeur, Les mineurs (les gens d’à bas ), descendaient par un autre puits oblique équipé de marches (près de 800 !), sans compter la longueur des galeries. Les chambres d’extraction pouvaient atteindre 80 m de long sur 40 de large.
A l’inverse de la pratique courante qui se traduisait par le creusement vertical et la remontée des déchets comme des perdus , on innova encore en débitant par niveaux successifs le plafond et en comblant progressivement le sol avec les déchets. Ne remontaient donc que les bons blocs, les perdus .Cela augmenta la sécurité car les blocs étaient extraits par explosion après que les mineurs aient quitté la chambre.
L’explosion se faisait le soir pour permettre le dépôt des poussières.
Le lendemain matin le contrôleur vérifiait la solidité de la nouvelle voûte et marquait son passage par des points peints à la chaux.Si la chaux en séchant laissait des traces
au sol, c’est que des failles s’étaient
produites. Il fallait consolider la voûte
en enfonçant sur plusieurs mètres des tiges métalliques dont on vissait la partie inférieure. La longueur de chaque tige était inscrite.Avant ces innovations, les explosions se succédaient dans la journée et la poussière était si dense que l’on n’y voyait pas à 1 m.
Les ouvriers se parlaient sans se voir et respiraient cette atmosphère viciée, ce qui ne les empêchait pas d’aimer leur métier.
Le nombre de mineurs par chambre était limité, pour raison de sécurité, à 6 ou 8 selon son importance. Un contrôleur par chambre comptabilisait les blocs. Etant de ce fait constamment sur le dos des mineurs, il portait le nom de bellemère.
Ils travaillaient six jours sur sept, à raison de 10 heures par jour. Naturellement, beaucoup étaient atteints de schistose qui obturait progressivement leurs poumons. Ils descendaient à la mine dès 14 ans, auparavant ils pouvaient même être appelés au fond dès 12 ans, pour conduire les ânes qui tiraient les blocs vers le puits de remontée.
Les gens d’à bas étaient payés au nombre de perdus remontés. Ces ressources étaient insuffisantes et il leur fallait cultiver un jardin, élever poules et lapins, tâches qu’accomplissaient leurs épouses. Ils en tiraient un revenu
complémentaire en revendant ces maigres produits aux villageois auxquels ils ne se mélangeaient pas. Venus d’ailleurs, bretons, gens du nord, italiens, polonais, ils faisaient preuve de solidarité et constituaient une ommunauté
soudée. La condition des mineurs était tellement douloureuse que vers 1930, un vaste mouvement de grèves s’étendit dans le pays minier. Il leur permit d’obtenir avant l’heure la semaine de 40 heures et divers avantages.
Malheureusement le propriétaire fit faillite et la mine ferma en 1935. A ce moment, il restait encore 63 ouvriers au fond…
Florence nous conduisit dans une immense chambre où elle nous projeta une présentation sonore et vivante de séquences vidéo prises à l’époque retraçant le travail, les mouvements sociaux et la vie de famille de l’époque. Puis
des mannequins très réalistes reproduisaient les gestes et les attitudes auprès de leurs outils, appareils, marteaux-piqueurs et treuils…
De retour par le petit train bringuebalant conduit par Florence dans le même tintamarre, les visiteurs revinrent en surface par l’ascenseur.......... bienvenu, car sans lui, c’était 800 marches qui nous attendaient …
Il y a 10 ans, lors de leur première visite, les Briscards avaient déjeuné au pied de l’ascenseur. Pour des raisons de sécurité, ce n’est
plus possible.
Florence nous quitta après nous avoir confiés à Poupouille, le fendeur de
surface qui faisait partie des gens d’à haut. Les perdus, une fois remontés, étaient achetés par les fendeurs pour être débités en blocs plus petits au moyen de maillets et de coins. Puis commençait la taille et la fente de ces blocs pour en obtenir les ardoises de diverses dimensions et épaisseurs. Les plus courantes atteignaient 2 à 3 mm.Ils pouvaient fendre près d’un millier d’ardoises journellement et les revendaient soit à l’exploitation minière, soit aux professionnels de la toiture.
Ils détenaient de père en fils cette profession indépendante,étaient fort enviés car considérés comme les aristocrates de la mine..
Notre fendeur, très expert et fort habile dans ses démonstrations, très volubile et plein d’humour, nous fendit une ardoise dont l’épaisseur mesurait 1,4 mm…
Il paria même pouvoir faire encore mieux mais perdit son pari et la démonstration se termina par une dégustation (à ses frais ?) des produits liquides de son bar que
tout un chacun apprécia...

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Mise à jour de l'annuaire
René Lefaix rene.lefaix@club_internet.fr
Alain Rouault arouault@free.fr

Information pratique

ASSEMBLER DES DOCUMENTS PDF
Pour cela il suffit d'utiliser un petit logiciel gratuit et tout à fait pratique pour assumer cette tâche: Gui for PDFTK.
Pour le télécharger, rendez-vous à l'adresse www.paehl.de/pdf . Cliquez à gauche sur Gui for PDFTK. Descendez au bas de page et cliquez sur Download GUIPDFTK. Dézippez le fichier téléchargé et double-cliquez sur l'icône Setup récupérée.
Suivez alors la très simple procédure d'installation. A la fin, le logiciel s'ouvre.
Avant toute chose, réunissez les documents PDF à assembler dans un même dossier, et ayez bien en tête que le logiciel les assemblera dans l'ordre alphabétique (donc, au besoin, modifiez les noms des fichiers). Maintenant, retournez sur l'interface du logiciel et cliquez en bas sur Join. Là, sélectionnez d'abord le dossier où sont réunis les PDF. Puis choississez la destination d'enregistrement et donnez un nom au fichier qui va être créé.
Cliquez enfin sur Ouvrir. La conversion est rapide et le logiciel affiche "Le canal de communication a été fermé".
Validez par OK et allez récupérer votre document finalisé................Bon usage

Sites à découvrir

HUMOUR

Le corbeau et le lapin
 
 Le corbeau sur un arbre perché
 Ne foutait rien de la journée.
 Le lapin voyant le corbeau
 L'interpella et lui dit aussitôt:
 Moi aussi, comme toi, puis je m'asseoir
 Et ne rien foutre du matin jusqu'au soir?
 
 Le corbeau lui répondit de sa branche:
 -Bien sûr, ami à la queue blanche,
 Dans l'herbe verte tu peux te coucher
 Et ainsi de la vie profiter.
 
 Blanc lapin s'assit alors par terre,
 Et sous l'arbre resta à ne rien faire,
 
 Tant et si bien qu'un renard affamé,
 Voyant ainsi le lapin somnoler,
 S'approcha du rongeur en silence,
 Et d'une bouchée en fit sa pitance
 
 Moralité :
 
 Pour rester assis à ne rien branler
 Il vaut mieux être très haut placé...


MICROSOFT ET APPLE...
Trois ingénieurs Apple et trois ingénieurs Microsoft se retrouvent sur le quai de la gare pour se rendre en train à un grand événement informatique. Les ingénieurs Microsoft demandent trois billets et, à leur grande surprise, ils remarquent que les ingénieurs Apple n'en prennent qu'un seul. Étonnés, ils demandent aux ingénieurs Apple comment ils arriveront à voyager tous les trois avec un seul billet. Ceux-ci rigolent et leur disent: " Ah, mais attendez voir... "

Au cours du voyage, le contrôleur entre dans la voiture et, aussitôt, les trois ingénieurs Apple se dirigent promptement vers les toilettes et s'y enferment. Les ingénieurs Microsoft remarquent éberlués leur manège puis, après s'être fait contrôlés, voient le contrôleur taper à la porte des toilettes en annonçant: " Contrôle des billets ! " .. Une voix à l'intérieur fait "Voilà !" et un billet passe sous la porte. Le contrôleur vérifie le billet puis repart. Les ingénieurs Microsoft sont très impressionnés de la technique des ingénieurs Apple...

Nos mêmes six ingénieurs se retrouvent sur le quai de la gare de retour de leur événement. Les trois ingénieurs Apple achètent un billet, tandis que les ingénieurs Microsoft n'en achètent même pas un. Pantois, les ingénieurs Apple ne peuvent s'empêcher de souligner le risque encouru par les ingénieurs Microsoft en cas de contrôle. Lesquels rigolent et leur disent: " Ah, mais attendez voir... "

Au cours du voyage, notre contrôleur entre dans la voiture et, aussitôt, les trois ingénieurs Apple se dirigent promptement vers les toilettes et s'y enferment. Les trois ingénieurs Microsoft, moins prompts à réagir se mettent en route doucettement. Une fois les ingénieurs Apple enfermés, l'un des ingénieurs Microsoft tape à la porte des toilettes, et annonce: "Contrôle des billets !", récupère le billet des ingénieurs d'Apple et file s'enfermer dans le second cabinet de toilettes avec ses deux acolytes..
La morale de cette histoire est que chez Microsoft, non seulement, ils piquent les idées des autres mais, en plus, ils les améliorent ! .

Microsoft ®









pple
PROCHAIN RDV LE ?

Pour le RDV du mois de juin
La date , l'heure et le lieu du rendez vous, vous seront communiqués ultérieurement
Si juin fait la quantité,
Septembre fait la qualité
PROCHAINE REUNION MICRO LE 12 JUIN chez TRIS- ACTIF OUEST
H.B.T.Y. !

Passer la souris une seule fois sur la liste des noms
pour faire défiler les portraits
Yves BERTHELOT
Jacques CHARRANCE
Bertrand de la FOURNIERE
Louis DRILLET
Jean Claude FAUVET
JAcques GAUDRY
Monique GUERIN LANGLOIS
Jean RAYNAUD
Gisèle RENAULT
Etienne SCHMIT

 

Fonds de Placements

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D
F
G
H
28.20
49.78
62.45
46.83
39.05
40.35
52.28
Les BRISCARDS
Siège social: 13, rue des Champs-Blancs
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